L'ennui. (Elle & Lui).

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Elle & lui.

Sur le lit douiller était calé leurs deux corps, le sien à elle, et celui de lui. Le temps était froid dehors, mais ici grâce au chauffage il faisait plutôt bon, elle avait enlevé son pull, et jouait à un stupide jeu sur son téléphone. Étalée de tout son long sur le lit, affalée sur le ventre elle faisait face au mur et à la tête de lit.

Lui aussi était en t-shirt, il avait abandonné sa veste à l'entrée de la chambre, et assis dos au lit, les fesses sur le sol il traînait sur les réseaux sociaux, s'efforçant de chasser l'ennui, mais l'ennui ne voulait pas le lâcher, et aucun de ses potes ne répondait au téléphone, alors il décida de combattre l'ennui avec la meilleure solution qu'il connaissait.

Elle le sentit escalader le lit, les montagnes de couvertures, de couettes et de coussins pour la rejoindre, abandonnant son portable on ne sait où, elle le sentit remonter son t-shirt le long de son dos, cela la fit sourire, discrètement en bougea pour se rapprocher de lui, se tourna et lui sourit, elle voulait la même chose que lui. Ensuite elle le sentit poser des baisers le long de sa colonne vertébrale, lentement, sans précipitation il remonta, plus il montait plus le t-shirt le dérangeait, elle exila son téléphone sur la table de nuit et entreprit de faire passer son propre t-shirt au-dessus de sa tête, dans le but de l'enlever, une fois cela fait elle le balança dans une direction qu'elle ne connaissait pas, et à vrai dire cela ne l'intéressait pas : il avait saisi ses hanches pour la retourner, dos contre le matelas, et s'emparer de ses lèvres.

Couchée sur le matelas, elle se laisser dominer par lui, qui était affalée sur elle. Lèvres contre lèvres, ils s'embrassaient, plus le temps passait et plus l'un comme l'autre, ils approfondirent le baiser, elle plaça ses mains sur son corps, sur le haut de son dos, et les fit descendre le long de son corps.

Ils se séparèrent, le souffle cour, tentant de retrouver un rythme de respiration normale, alors qu'ils pensaient déjà à recommencer, et à faire plus. Il voulait la faire sienne, elle voulait le déshabiller, et inversement, étrangement, ils se comprenaient sans un mot, ils étaient bien les seuls.

Elle n'avait plus de t-shirt ? Bien, mais maintenant, il fallait égaliser, alors, elle entreprit de lui enlever son jogging. Il ne fit rien contre, après tout, même si aujourd'hui c'était lui qui voulait prendre les devants il la laissa faire.

Elle avait attrapé le bord du jogging, au niveau de ses hanches, à lui, et baissa lentement le jogging, elle s'attendait presque à ce qu'il s'y oppose, en prétextant qu'aujourd'hui était son jour à lui de prendre les devant mais il ne fit rien, donc sans se presser elle l'enleva, provoquant elle-même une fausse maladresse qu'elle répéta plusieurs fois : passer le gout de ses doigts sur son entrejambe, qui se transformer peu à peu en érection en le fixant droit dans les yeux avec un regard qui en dit long.

Il se mit à grogner de contentement, en basculant la tête vers l'arrière, lui offrant à demi-mots sa gorge, elle y déposa ses lèvres un court moment, puis fit en sorte de définitivement faire disparaître le pantalon, il reprit alors ses esprits.

Une fois le pantalon partie, et reprit les devants. Il décida de la débarrasser complètement de ses vêtements encombrants, allongée sur le lit elle se laissa faire tout du long, il commença par ses chaussettes, son pantalon, ne lui laissa même pas sa culotte de dentelle, et dirigea ses mains vers son soutien gorge, mains qui la caressèrent tout du long, de les chevilles à la limite de ses seins, en passant par ses fesses, pour les caresser, il lui fit doucement lever les hanches du lit, massa la croupe un instant et la délaissa au profit de sa poitrine encore habillée, et avant de la débarrasser du dernier vêtement il prit un moment pour l'admirer, étalée de tout son long, les joues rosies, les jambes écarter, le souffles erratique, la bouche entrouverte, coloré rouge vive sans maquillage, elle lui plaisait, la tout de suite il n'avait envie de rien à pars elle. Et malgré son jeune à âge et son ignorance en la matière, il l'aime, mais peut-être il ne l'aimera pas pour toujours, peut-être elle ne l'aime pas. Et enfin la débarrassa du soutien-gorge.

Il s'allongea sur elle, et pausa ses lèvres contre celle de son vis-à-vis, il se saisit d'un préservatif qu'il enfila. Et un coup de rein doux et précautionneux, il la pénétra. Elle gémit de plaisir, l'excitation l'avait dilaté, et le sentir en elle lui fit du bien, et beaucoup de plaisir, elle mis ses mains sur ses fesses, le poussant implicitement à aller plus vite, ce qu'il fit, elle se mit à en trembler, par mouvement saccadée, se serrant autour de lui. Il en jouit presque, tenailler par le plaisir, et commença alors de long mouvement de plus en plus rapide en elle. Elle se courba sous ses assauts, et du bout des lèvres quémanda un baiser qu'il lui céda sans résistance, le baiser s'intensifia, les coups de reins aussi, elle sentit quelque chose grossir en elle, et finir par éclater, l'emportant dans un long et doux orgasme, qui le fit succomber lui aussi, pendant qu'elle l'enserrait en elle. Il se laissa tomber à coter d'elle, tandis qu'elle se blottit contre lui, fatiguée.

Oui, il avait vaincu l'ennui.



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Merci d'avoir prit le temps de lire ce première essai, n'hésitez pas à laissez votre avis s'il est formulé de façon constructive.

Affectueusement, Balheryon. 

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