Kansu : L'amour ou un rêve ?

Tout va vite.

{Chapitre 10}

~Les pieds sur terre, trop de parole en l'air~

Je me suis beaucoup attacher à la religion je prier je lisais mon coran, mon père était tellement fière de voir sa fille s'approcher de dieu.
Pendant ce temps j'avais supprimer les réseaux sociaux seulement quelque amis qui me contacter par numéro.

On était le 17 décembre, la veille avant mon vol en Turquie.
Je reçois un message de Mourad:

-Lui: Descend en bas j'ai une surprise pour toi

J'étais stresser de ouf, je me suis dit y a fait quoi encore ce fou.
Bon alors je descend et je dit à mon père que je devais récupérer une feuille pour les cours.

Je descend en bas de mon bloc et je voit personnes là je me suis dit il ce fout juste de ma gueule la ?
Donc j'étais entrain de lui envoyer un message quand je voit une voiture s'arrêter juste devant moi :

-Mourad: tu vois pas ma voiture sale conne ? Monte

-Moi: j'ai pas vue désoler rohh. Même pas un salut ça va ?

-Mourad: salut la femme de ma vie. Comment allez vous ?

-Moi: très bien et vous ? Je peut savoir tu vas faire quoi encore ?

-Mourad: on vas au ciné

-Moi: Pour regarder quoi ? Pas un film d'amour j'aime pas hein.

-Lui: Intouchable. Ton film préféré

C'était l'un de mes premiers films que j'ai regarder et qui m'a donné beaucoup d'émotions.

-Moi: nann ? T'es un bon toi wAllah !

-Lui: arrête de faire la racaille je vais te frapper.

-Moi: c'est gentille, je t'aime.

On était au ciné ensemble pour la première fois il m'a pris dans ses bras, je sentais son odeur qui m'endormais tellement qu'elle était douce. Ses cheveux doux que je caresser...J'aurais tellement voulue que le temps s'arrête à ce moment là.

---- Dans la peau de Mourad----

Notre première sortie au cinéma avec Zeyneb, je voulais passer du temps avec elle juste avant son voyage. Le temps qui s'écroule d'une vitesse...Elle qui ne s'arrête pas.
Elle a changer ma vie cette femme, mon coeur, mon caractère bref tout. Et si je l'avais rencontrer bien avant ? On en serait où ?
Sont petit sourire qui me donnais de la joie chaque jours qui passe...
Ses petites mains qui me fessaient des papouilles d'une tendresse...
Je la veut chaque jours à mes côtés.
Elle est moi un couple inséparable, je ferais tout pour elle quitte à donner ma vie.
Sa petite tête, les yeux fermés sur mes épaules je sens mon coeur soulager et léger.

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Ce souvenir gravée dans ma tête pour toujours.
Je me suis endormi sur les épaules de Mourad jusqu'à ce moment :

-Mourad: réveille toi petit bébé c'est l'heure de rentrer...

-Moi: déjà ? Pourquoi sa c'est passer si vite que ça ! Nul

-Mourad: tu sais on peut pas arrêter le temps...

-Moi: j'aurais tellement voulu l'arrêter mais je voulais encore un peu rester...

-Mourad: moi aussi mais quand tu rentreras on passerait plus de temps comme sa ensemble ça marche ?

-Moi: d'accord oui...

On ce dirige vers la voiture, j'ai pas vraiment regarder le film j'étais plus concentré sur lui mais c'était une superbe soirée.

Arriver déjà devant chez moi...Je voulais pleurer comme un petit bébé.
J'voulais pas le lâcher....

-Mourad: eh par contre parle à quelqu'un la ba fait un truc sans que j'soit au courant je te frappe Zeynep ok ?

- Moi: t'es jaloux genre tu m'fais pas confiance.

-Mourad: ta gueule j'suis pas jaloux en plus t'es moche personne voudrait de toi.

-Moi: whaa t'es méchant à croire toi t'es beau. Bah la preuve, tu veut moi.

-Mourad: bon prend soins de toi princesse, j'attend des cadeaux de ta part au retour et j'serait la dès que t'es rentrée. Je t'aime

Et me fait un bisous sur le front pendant 1 minutes les yeux fermer...

J'ai rougit, je me suis dit il est bipolaire ce type ? Et surtout par respect il m'a embrasser sur le front. J'avais jamais vue quelque choses d'aussi mignon

-Moi: bipolaire ce gars j'hallucine.

-Mourad: si tu parle encore je te tue. Sale moche

Je suis sortie de la voiture, je me suis dit il va me manquer ce tête de con....

Je suis à peine rentrée que mon père m'engueule...:

-Lui: T'était où Zeyneb ? Va faire le linge et la vaisselle on part demain !

-Moi: pardon baba, oui je le fait direct.

-Lui: en ce moment tu sort trop j'aime pas ça. Ressaisis-toi Zeyneb je rigole pas.

Mon père il était toujours comme ma mère, depuis petite il nous a jamais lâcher. Je pourrais jamais le remercier assez...

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