Let Them Cry [FICTION NON TERMINÉE ET À NE PAS COMMENCER]

Chapitre 4 : Le monde a perdu une étoile.

Yo les zeeeeennnns !! J'ai une surprise pour vous 😉 on a passé les 50 vues, merchi boucouuuup !
Dans ce chapitre, j'ai décidé de me calmer un peu sur les explications /allusion au chapitre précédent / et de passer à l'ACTION !
Je suppose que vous avez remarqué l'image du haut 😉 eh vuiii, c'est l'arrivée d'un nouveau personnage !! Rebecca 😍😁
(Becky G)
Halala j'l'aime c'est ma chanteuse préférée je ne pouvais pas ne pas l'inclure dans l'histoire ☺️ ❤️
(Qui connait Can't Stop Dancin ?? C ma chanson du moment !! ❤️👍)
Alors vouilà...
Oh, eh, n'hésitez pas à commenter hein !! Soyez pas timides 😂 les critiques sont acceptées /et les compliments sont pas de trop hein ? Hein ???!! 😂👍 enfin je vous dis ça mais vos messages privés sont adoraaaables ❤️😁
Bon j'vais peut être arreter de parler vous devez vous dire "mais p'tain on s'en fout qu'est-ce qu'elle vient nous emmerder celle là en racontant sa vie" 😂👍 bonne lecture les zeeens aww merci encore z'vous aime 😁😘
Camoush
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Après avoir prononcé ces mots, elle m'a tourné le dos et s'est en allée, silencieuse. Et je l'ai laissé faire.
Le lendemain, elle n'est pas revenue.
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Les cloches sonnent 14h. Hier a été une journée fade et sans intérêt. Pas que les autres jours aient été exceptionnels, au contraire, ils étaient fades, eux aussi, mais hier, c'était pire. Aucune visite. Et encore une fois cette sensation.

Vers midi, ça a recommencé. Cette pulsation à l'intérieur de moi, au niveau du torse. Cette fois, il y a eu deux pulsations. Comme si quelqu'un à l'intérieur de moi s'était amusé à frapper deux grands coups afin de sortir de mon corps.

Je suis tombé sous le choc, la nuque sur ma tombe. Si je ne l'avais pas déjà été, je serais sûrement mort à cause de ce violent coup du lapin. Qui m'a fait un mal de chien, en passant. La douleur s'est vite estompée. Abasourdi, je suis resté à terre une bonne dizaine de minutes avant de me dire que finalement, la douleur dans mon torse avait décidé de se calmer. Alors je me suis rassis, et j'ai attendu le soir.

Et le soir venu, j'ai attendu le matin.

Des feuilles volent au dessus des tombes fleuries. C'est l'automne. Je suis content de ne pas ressentir le froid. Malgré le vent tourbillonnant, le ciel est bleu et un soleil éblouissant se dessine en plein milieu.

Après tout le temps que j'ai passé à admirer le soleil, ma rétine aurait du être brûlée depuis longtemps. Mais ce n'est pas le cas, alors je continue de fixer cet astre fascinant qui alimente et éclaire la Terre depuis des millions d'années.

Les cloches se font entendre, encore. Au début, j'ai cru que ce son allait me rendre fou. Puis je m'y suis habitué, au bout d'environ une semaine.

J'entends du bruit vers l'entrée du cimetière. Tiens ? Quelqu'un s'est enfin décidé à venir rendre visite à un mort parmi les quelques centaines qui reposent dans ce cimetière. La personne en question devient visible quelques secondes plus tard.
Les personnes en question. Elles doivent être quelques dizaines. C'est un enterrement. Des hommes robustes portent un cercueil noir orné de reliures dorées. Ils passent devant moi, sans me remarquer.

Je regarde les gens marcher, tous vêtus de noir, la tête baissée et le regard vide. Certains sanglotent, d'autres serrent les poings. Ce n'est jamais marrant, les enterrements. Bizarrement, je n'ai assisté à aucun enterrement depuis ma mort.

Où va être enterré le nouveau mort ? Je n'ai jamais remarqué aucune nouvelle tombe pré-creusée . Eh bien je suis bigleux. Le corps de la personne reposera deux rangées après le mien. Les gens s'arrêtent et se disposent en cercle autour de la tombe.

Le prêtre, un petit homme sec touché par la calvitie, ouvre un petit bouquin noir et commence à réciter. Je ne l'écoute pas. Comme si ma vie n'était pas déjà assez barbante comme ça...