Let Them Cry [FICTION NON TERMINÉE ET À NE PAS COMMENCER]

Chapitre 12 : révélations-retour de Tendresse

Holà Chicas !!

La surprise de Noël a été postée, si vous ne l'avez pas encore vu ☺️ allez voir dans les travaux. Bref, vousavez eu quoi ?? Dites en comm' 😁 maintenant faisons tous une petite prière, une minute de silence pour les enfants pauvres qui n'ont pas eu de 🎁 ce Noël. Prions pour qu'ils en aient l'année prochaine !!

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Croyez le ou non ça fait une minute. Bref, passons. Merci merci merci d'être si nombreuses à me soutenir 😘

la chuis en mode pépère avec ma tasse de thé mmh mdrr' et mon mug New York aw

PS : habituellement j'écris sur Iphone mais j'ai décidé d'essayer avec mon PC et... Surprise ! C'est quoi ces smileys de merde ?! aww dsl tous les gens qui lisent sur ordi (vu que je mets beaucoup de smileys you see) Kyrie Eleison les amis (PTDR CA VEUT DIRE QUOI DEJA)

Love 😎❤️/I'm not crazy

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Pdv externe.

Dane caressa longuement du bout des doigts le canon de Tendresse. Tuer. Avec Tendresse. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Il sursauta quand son portable se mit à vibrer. Hésitant, il décrocha.

"... Allo ?

- Dane, c'est Logan.

-...

- Je sors de l'hôpital, aujourd'hui. Enfaite, je suis même déjà dehors. Je voulais juste te dire que je ne le dirai à personne. Mais fais attention. Si tu recommences tes conneries, je serai obligé d'en parler à la police. Tu as toujours été un ami exceptionnel pour moi et je n'ai pas envie d'en arriver là, mais si il le faut, j'emploierai les grands moy-"

Dane raccrocha. Il posa son téléphone et caressa le canon de son arme, le visage crispé. Il était sorti. Bordel. L'image d'Isabella se présenta à son esprit et il frémît. Pour elle. Pour elle, il le ferait.

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Retour au pdv normal

J'ai l'impression que le tic tac de l'horloge va me rendre fou. Tout est calme dans la maison depuis la dispute et... Je dois me rendre à l'évidence, notre rupture. Je touille mes céréales qui sont déjà imprégnées de lait. C'est écoeurant. Je laisse platement ma cuillère tomber dans mon bol, éclaboussant légèrement la table de lait au passage. J'observe l'horloge. 12h28. Je soupire. Oui, je mange mon petit déjeuner à midi et demi. Bella va bientôt rentrer à la maison. Ces derniers jours, j'ai squatté le salon tel un ado prépubère, et Isabella, elle, est restée enfermée dans sa chambre, avec son ordinateur, du moins quand elle ne travaillait pas.On ne s'est pas parlé. On ne se regardait même pas, enfaite. Jamais on a mangé ensemble, le soir. On se débrouillait toujours pour ne pas se croiser. Dès le premier jour, j'ai cessé de dormir auprès d'elle et j'ai réinstallé le matelas dans le salon. C'est peu confortable mais elle et moi savons que c'est le mieux à faire.

Je pose bruyamment le bol encore rempli dans l'évier et ouvre le robinet, m'appuyant sur le bord. Le lait se mélange peu à peu à l'eau, son niveau monte progressivement pour déborder et s'écouler dans l'évier en même temps que les céréales molles et... Dégueulasses. très peu ragoutant. Le bruit de la porte d'entrée retentit et hâtivement, je prends une éponge et frotte le bol énergiquement. J'entends les pas des talons de Bella dans le couloir. Je la sens s'arrêter devant la cuisine, y jeter un regard hésitant, mais je ne me retourne pas. Elle finit par avancer et continuer dans le salon. Soulagé, mes muscles se détendent et je ferme le robinet. J'essuie rapidement le bol avec un vieux torchon et le met dans un des placards du haut, au hasard, alors qu'il est encore mouillé, et, empli d'un très fort sentiment de flemmardise, je laisse la cuillère dans l'évier. Je m'apprête à sortir dans le couloir et à rejoindre le salon où le canapé attend impatiemment mon fessier, mais je suis interrompu par tois petits coups hésitants à la porte d'entrée.