A la recherche du mytère ( suite)
Poussé par un désir effréné je contacté non loin de chez nous un jeune homme nommé NTUMBA DUCOUP qui invoquait pour sa part la sirène ( mami Wata) il faisait de grand prodige et des miracles, et fabriquait par ses techniques magiques, des billets de banque, des montres-bracelets ,des bijoux de toutes sortes dont il se servait pour la protection, l amour, les affaires et bien d autres choses encore.
Quoi qu ayant vu cela et touché de mes mains, mon coeur ne fut pas apaisé. Je me sentais obliger de continuer mes recherches jusqu'à ce que ma soif soit étanchée.
Je me rendait chez lui dans heures tardives de la nuit, personne ne me soupçonnait. Il y avait cependant des gens qui me remarquaient mais tout le monde me défendait dans mon quartier a cause de mon caractère réserver.
Pendant tout le temps ou j invoquait la sirène mon désir ne fut pas satisfait. Je ressentais toujours ce vide en moi. "Les eaux stagnantes sont mangeuses d homme " affirme le dicton.
Personne ne pouvait m accusé de quoi que ce soit car tous le monde aurait témoigné en ma faveur. C est pourquoi j exorte mes frères et soeurs a toujours jugé par l Esprit et non d après les apparences. 1 corinthiens 2:10-11
Pendant tout ce temps avec la sirène, je fis tout pour poussé toujours plus loin mes recherches. J allai jusqu'à frapper a la porte de grand fêticheurs renommés a KANANGA qui pouvait faire tomber la foudre de manière surnaturel et d accomplir divers prodiges.
Ils me demandaient par exemple de me tenir sur une casserole en argile, la casserole ne cassait pas sous mon poids mais me faisait faire le tour de la maison. Toute fois je ne pu savoir qui a tué mon grand frère.
Je me retirai de toutes ses choses quand je compris qu elles ne répondaient pas à ma question mais je continuais toujours a chercher et ces recherches m entraînaient toujours plus loin dans les profondeurs ténébreuses.
Une heureuse découverte
Le mandat du curé que nous avons connu expira. Deux autres pères lui succédèrent. Je demeurai toujours un acolyte assidu. Et j étais bien compris.
Puis nous acceuillîmes un autre curé. Il était d origine italienne et apparenté a un prêtre catholique que nous avions eu quelques années auparavant.
En outre, il était l un des neveux du pape Paul VI. Il fut vite fasciné par mon caractère et s intéressa tout particulièrement à ma personne. Il aimait me faire chercher pour s entretenir avec moi des problèmes de ma vie, de mes projets d avenir etc.
C était un homme géant de taille, hospitalier et bon. Mais derrière cette taille imposante se cachaient de très profonde mystères.
Un dimanche après la messe il me donna rendez-vous chez lui a partir de 19 heures. Je fus ravi de me voir inviter par le père curé et je mis tout en oeuvre pour être ponctuel. Je savais que notre entretien allaient porté sur les activités paroissiale mais les choses prirent ensuite une autre tournure.
Nous soupâmes ensemble ce soir la, puis il engagea la conversation en ces termes :
--"Parmis tout les jeunes de ton âge servant à la paroisse, je t aime beaucoup, c est la raison pour laquelle je t ai appelé pour parler de choses importantes. En vue d orienté ta vie. Mais je me suis aperçu que ta vie est en danger. C est qui m a poussé a t appeler pour te prévenir.
Ton grand frère a été tué par neuf personnes de ta famille , tous sorciers, a présent ils s acharnent contre toi, je veux en conséquences t en préserver. "
Il cita leurs noms, je fus convaincu par la véracité de ses paroles car certaines régions du pays, le curé ne les connaissaient pas.
Je dévisageai avec avidité la figure basanée du curé. Mon but était enfin atteint j étais heureux de découvrir ce que je cherchais. Et je connaissais a présent les meurtriers de mon frère. Mais un nouveau problème se présentait : j étais en danger de mort.
---Que faire pour me protéger? Telle fut la question que je posai au curé après un temps de réflexion...