Mademoiselle Joa (Terminé)

1. L'inconnue 🌹

Je m'appelle Makcinley Joa mais mes proches me surnoment Mak, j'ai 25 ans et je possède un prénom américain simplement dû à la passion folle de mes parents, Louise et Gabriel Joa, pour la culture et l'histoire américaine. Physiquement, je mesure 1m65, je suis d'une taille plutôt fine, mes cheveux sont châtains d'une coupe au carré, j'ai des yeux bleus et enfin j'ai un tatouage sur l'avant-bras gauche d'une tête de mort entourée de roses. Je suis actuellement militaire dans l'armée de l'air française. Mon métier consiste à me battre pour mon pays, mettre ma vie en danger est mon quotidien.

Malgré le domaine dans lequel je travaille, je suis mariée à un homme, Léo Kato, il a 27 ans et travaille, quant à lui, dans la gendarmerie criminelle de Grenoble, notre ville natale. Cet homme est exceptionnel, drôle, charmant et très attentionné. Il mesure 1m80, il est fort bâti, élancé, de beaux cheveux courts blonds et des yeux vert perçant.
Nous nous sommes mariés à l'âge de 22 ans pour moi et 24 ans pour lui, pour certains on était trop jeunes mais amoureux fou, on s'en moquait.

Tout allait bien dans ma relation jusqu'à un jour précis, ce jour-là je ne me doutais pas une seule seconde que mon état d'espit changerait à ce point. Ce fut lors d'une mission sur le terrain, ma formation eut besoin d'un arsenal de renforts.

Cette mission durait 5 semaines, lors de ce temps, les renforts partagèrent notre campement en mouvement. Cet arsenal était rempli d'hommes avec uniquement une femme. Une magnifque brune aux cheveux longs et ondulés, des yeux bleus cyans, un air confiant mais une tendresse certaine intérieure. Mon regard se posant sur cette créature d'un monde utopique n'était annodin, je ne compris pas ce qu'il m'arrivait sur le moment. Je ne voyais pas cette dame de la même sorte que les autres femmes de ce monde. Elle me laissa perplexe mais je continuais ma route sur le chemin de la vie.

Les jours suivants, je préfèrais éviter son regard de peur de me faire surprendre par elle ou un de mes confrères, cette siuation m'était certes comliquée mais tout de même plaisante. Un soir, par idnavertance et certainement un manque de sommeil de qualité, ma concentration se dirigea uniquement sur son être, en quelques instants je ne voyai juste de la beauté à l'état pure, son sourire m'ensorcelait. Lorsque je revins sur terre, je remarquais de suite que son regard loin d'être disposé du même plaisir que moi.

J'interrompis mon regard insistant, ne voulant occasionner à nouveau une telle gêne.

Plus tard dans cette même soirée, je décidai d'aller rendre visite à cette femme dans sa tente de campement, ne voulant aucunement qu'elle pense que ce regard était source d'ennuis. Je lui expliquai calmement et sympathiquement que ce regard
n'avait rien de mauvaise augure, elle me répondit vaguement qu'elle n'avait pas remarqué mes yeux la scrutant.

Cette histoire restait irrésolue dans ma tête, je n'attendais que la fin de cette dernière semaine de mission, rentrer chez moi, retrouver mon foyer, mon mari et ma vie paisible.