No control ( Mikasa x Livaï )

Chapitre 4

PDV : Mikasa

c 'est la cohu dans le couloir personne ne m'entenderas, j'ouvre la fenétre, le froid me saisit mais je ne flanche pas à mes plans pour cette nuit et saute du troisième étage, me rattrapant au liers qui grimpe le long des murs du château. C'est la pleine lune se soir, le jour fatidique, j'ai assez d'argent pour ce mois ci bientôt tout seras finis enfin bientôt dans dix ans. Je longe la forêt en fondant parfaitement dans la pénombre de la nuit. Arrivé au point de rendez-vous, j'attends qu'ils arrivent.

- Hahaha, ma petite Mikasa, tu es venus.

Un homme dans la cinquantaine, Kenny et sa bande d'assassins arrivent en rigolant à groge déployer, je me retiens de lui foutre mon point dans la figure, si je le fait ce seras la fin, la fin pour moi mais surtout pour LUI, celui que je protége depuis maintenant huit ans. Et puis ils sont beaucoup plus fort que moi, moi la petite Mikasa, faible et impuissante.

- Oui Kenny, je suis venus comme toujours, sinon je sais ce que toi et ta bande de porcs feront.

Il s'arréte de rigoler pour me regarder de ses petit yeux noir. Puis il se rapproche de moi et attrape mon menton de ses mains sales et rugeuses, il rapproche son visage pour me voir de plus près et me murmure à l'oreille de sa voix qui empeste l'acool à plein nez.

- Fait gaffe à toi, il se risquerais que tu n'ai plus de langue si tu continu comme ça...

Ma gorge se sers et je réprime en fond de moi l'envie de lui cracher à la figure.

- Kenny dit lui pour la surprise ! C'est un de ses potes bourrés qui a parlé de sa voix grâve et cassé.

- Ah oui j'avais oublié, on q effectivement une surprise pour toi  ma petit Mikasa. Suis moi...

- Désolé j'ai ce qu'il te faut maintenant laisse moi rentrer en paix.

- Aller tu ne vas quand même pas reffusé un cadeau de ma part, et puis sa vie en depands je te signale. Tu tiens sa vie entre tes mains.

Ses arguments sont correctes, je suis là pour ça après tout, donc je le suis, je suis leurs pantin par SA faute. C'est pour ça que je LE haïs, que je haïs Kenny, que je haïs ma mère, que je haïs la vie et que me haïs, moi. Ils m'entrainent dans les bas fonds, j'ai l'habitude maintenant je connais je le chemin par coeur, après celà fait huit ans que je l'arpente toute les semaines dans l'espoir de pouvoir me sortir de ce pertrin et d'avoir la vie sauve et libre et surtout sa vie sauve et libre. Je traverse la même rue puis le même quartier et enfin j'arrive devant cette même maison. Mais cette fois Kenny ne m'emmene pas chez lui, il continu son chemin plus loin en s'enfonçant de plus en plus dans les bas fonds. Je connais pas les quartiers qu'ils traversent et sa me fait peur. On arrivent devant une devant de se qui me semble être un café, les hommes de Kenny sans vont nous laissans tout les deux.

- Entre. M'ordone t-il

c'est ce que je fais. A l'intérieur je regratte d'être entrer, des filles nues servent de serveuses, et des garcs bourrés en profite. Kenny part s'installer à une table et je le suis en baissant le regard au sol.

- Alors ma petite Mikasa, tu as l'argent ?

- Oui tiens. Dis je d'une toute petite voix.

Je sors un gros paquet de billet de ma poche et le lui tends. Il les compte, puis se tourne vers moi avec son sourire flippant.

- Il en manque un. Tu vas devoir le payer avec ton corp si tu ne l'as pas.

- Recompte !

La peur me grimper peu à peu dans le bas du ventre, j'ai chaud tout un coup. Alors j'enléve ma veste. Il recompte à voix haute avec son habituel air que je ne saurais décrire, seulement je sais qu'il me fait peur.

- Il en manque un. Répéte t-il.

Je tremble, si il n'y a pas le compte il Le tueras avant, celui qui m'a sauvé la vie enfant. Et puis moi. Non je ne veut pas, je refuse qu'il me tue et surtout qu'il LE tu après tout les efforts que j'ai fournie jusqu'a maintenant il ne me reste plus que dix ans à tenir, plus que dix....

Je sors de ma poche le billet qu'il attends tant et pars sans me me retourner.

- Que tu est malpolie Mikasa, me crie t-il de la table où j'étais assise il y à encore quelques secondes appenne.

Je l'ignore et sors, ce tipe me fait flipper presque autant que celui que j'essaye de sauver, peut être même moins enfaîte. La brume est tombé sur les bas fonds et j'essaye de retrouveer le chemin vers l'unique sortit. Une fois dans la ville, l'aube commence à se lever je regagne alors le château. Ma fenétre et fermer !!! Quelqu'un est entrer dans ma chambre. Je passe donc par l'entré pprincipal en courant et je regagne ma chambre. Exténué je me jette sur mon lit toute habillé et avec encore l'équippement tridimentionnelle que je prends toujours par surreté, on ne sait jamais avec Kenny. Et je m'endors très rapidement ignorant l'entrainement qui commence en bas dans la cour.

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Voilà, j'espére que ça vous à plus ce chapite était un peu plus long que les autres donc gomene 😉🙂 !!! A +