No control ( Mikasa x Livaï )

Chapitre 7

PDV : Eren

Ce matin je n'ai pas vue mikasa, je m'inquiète un peu car jamais elle n'a raté un seul entrainement.

- Jeager.

C'est Livaï, il a l'air de mauvaise humeur.

- Dans la lune ? me demande t'il sarcastique, comme à son habitude avec moi.

Je prends sur moi pour ne pas lui répondre méchament et j'imite Mikasa en lui jettant à la place un regard noir. Quand il me voit il me lance à son tour un regard noir, qui me glace le dos.

- Tch, bon les gamins vous savez où est Mikasa Ackerman ?

D'une même voix peu assuré on réponds tous.

- Non, caporal Livaï.

- Elle n'était pas dans sa chambre ce matin quand je me suis levé. Commente Sasha d'une toute petite voix, elle à peur du caporal.

Le caporal semble réfléchir intensément. Puis lâche d'une voix totalement indifférente et un tout petit peu méprisante à mon égard.

- Eren, tu sais qu'elle est la chambre de Mikasa ?

- Oui, pourquoi ?

- Tu vas aller voir si elle dans sa chambre, si elle n'y est pas tu redescends immédiatement et tu viens me le dire. Si elle y est, tu resdescends est tu viens me le dire. Pendant ce temps les autres cinquantes pompes !!!

J'entends un grognement général puis le soufflement exasperé du caporal Livaï. Sans plus attendre je pars très content d'évité les cinquantes pompes infernales du caporal. Je traverse toute la cour avant d'entrer dans l'immence hall d'entré. Il n'y personne. Je connais le chemin par coeur pour aller au dortoir des filles, vue le nombre de fois où l'on y est aller en cachette avec Armin pour retrouver Mikasa. J'arrive devant sa chambre, et je toque absence de réponce alors je rentre. Sa chambre est par un fin rayon de lumière qui passe à travers les volets entrouvert de sa fenètre et qui diffuse une douce clarté réconfortante dans la pièce. Elle dors, je ne sais pas de quoi elle rêve ou plutôt de quoi elle cauchemarde mais elle ne fait que bougé et murmure des mots incomprenssible et qui n'ont aucun sens. Je redscends immédiatement prévenir Livaï, qu'elle est endormie. Mes camarades n'ont toujours pas finit leur pompes et ceux qui les font mal ou qui s'écrase au sol ( je me décrie là 😆, désolé j'arréte de vous embété dans votre lecture) doivent en plus recommencé.

- Heu, caporal ?

Livaï se retourne carrément rapidement, comme si il m'attendait ou qu'il voulait me faire peur, en tout cas sont est réussi je sursaute. Devant mon silence il s'impatience.

- Tch, Alors Eren ?

- Heu, oui c'est vrai. Elle est dans sa chambre, elle dort.

Livaï commença à partir, mais reviens sur ces pas.

- Je vous laisse tout seul, on va dire que cette journée, seras une journée de repos pour tout le monde. C'est exceptionnel les gamins.

Puis il partit, nous laissant seul dans la cour. Je part avec Armin, Jean, Riner, Bertolth, Sasha et Conni au réféctoire en ne m'inquiétant pas pour ma " soeur " adoptive.

PDV : Livaï

Quand Eren m'a dit qu'elle était dans sa chambre j'ai faillis partir sans leur dire aucune consigne, heuresement que je n'est pas fait bétise. Enfin un peu quand même une journée de repos qu'est ce qui m'as pris ? J'arrive dans le dortoir des filles, je me souviens parfaitement laqu'elle est sa chambre la troisième en en partant de tout au fond. J'arrive enfin devant sa chambre, j'ésite à toquer mais au final je ne le fait pas de peur de la réveiller. Elle est assise sur son lit, la couverture remonté jusqu'à son cou. Je la regarde est me rapproche, son regard est effrayé, il fixe le vide. Je m'asseois sur le bord de son lit et remarque qu'elle tremble de la tête au pied, ses cheveux sont collée à sa peau lui cachant ses joues et des goutte de sueurs perle sur son frond et son cou. Sa me fait mal au coeur de la voir comme ça, tremblante choqué et.... vide ? Elle porte sur elle son équipement tridimentionelle sur elle et elle est toute habillé, depuis hier je sais que c'est elle qui c'est enfuie dans la nuit mais je n'ose pas lui demanderpourquoi elle est partit en se cachant, ce n'est pas le bon moment. Je lui prends doucement la main, sa me fait remonter à des souvenirs lointains, quand nous étions enfant et que les soirs je la réconforter en lui prenant doucement la main et en lui racontant une histoire. Ses yeux se fixe sur moi, dedant son regard je perçois de la tristesse, de la reconnaissant et de l'étonnement.

- Li....? Li....Liv...

Elle n'a même pas le temps de finir de prononcer mon nom que sa main quite la mienne pour venir se mettre devant sa bouche et elle se lève en sursaut pour courir au toilette. Je l'entends vomir tout son repas d'hier, et je pars la rejoindre dans les toilettes. Une odeur execrable m'envahit les narines mais je n'en tiens pas compte, j'ai déjà sentis des odeurs bien pires. Je lui caresse tendrement le dos pour essayé de la réconforter. Elle se tourne vers moi tremblante comme une feuille prise dans une tempéte. Ses yeux sont embrumé de larmes et sa bouche est légérement entrouverte. Je la prends contre moi et la berce doucement. Maintenant seul le bruit de ses sanglots romptent le silence et ses larmes mouillent mon tee-shirt.

- Tout vas bien..... Ne t'inquiète pas, je suis là. Murmurais je d'une voix douce, pour l'apaiser.

Je ne sais pas pourquoi je lui sort ces mots et je les regrettent aussitôt en me traitant intérieurement d'imbécile.

- Mer... Merci Livaï. D'être là a... avec moi.

En faîte je ne regrette pas mes mots. Elle lève la tête vers moi se décollant de mon torse, pour planté ses beaux yeux bleux, gris et noir dans mon regard. Je lis dans le fond de son regard fatigué, de la reconnaissance et de la tendresse envers moi, mais aussi de la haine, une haine profonde, une haine dirigé vers des personnes que je connais très bien, mon oncle et sa bande, une haine dirigé vers sa faiblesse et aussi une haine dirigé vers moi.