After the end

38 - Mauvaise Nouvelle

* PDV Sam *

Je découvre la paternité un peu a mes dépend.
Ça fait dix jours que nous sommes ici et on peut dire qu'ils n'ont pas tous été aussi reposant les uns des autres.

Le garnement assis sur mes genoux n'aime pas qu'on le laisse dormir seul. Nous le prenons donc avec nous et autant vous dire que les nuits ou il s'endort sans bronché ne sont pas courante. Il préfère largement partir sous la couette en explorateur pour s'aventurer... a nos risque et péril.

Bilan de ses dix jours, j'ai été mordu a diverse endroit dont certain que je pensais impossible a mordre et putain il a que deux dents a la fin. Ensuite, mes poils plutôt abondant sur les jambes ont souffert, ma barbe aussi, nos cheveux n'en parlons pas ainsi que les nombreux coups qu'il nous donne.

D'après ma soeur c'est son affection, d'après moi il veut nous tuer dans notre sommeil pour toucher l'héritage. Chacun son point de vue.
Mais bon, après ce bilan très peu flatteur je dois vous parler de mon fiston très sage le jour, qui est un bon mangeur, qui aime jouer avec de simple bouteille, peu couteux mais très bruyant. Celui qui fait de gros progrès a l'aube de ses un an pour tenir debout et qui commence a notre grand désarroi a comprendre comment fonctionne les tiroirs et placards.

Aujourd'hui c'est de bon pied que nous nous sommes levé. Anna est surexcité quant a l'idée de fêter le premier anniversaire de son fils, enfin ça c'est devant les autres, depuis trois jours elle pleure tout les soirs que son bébé grandit et je dois subir ça. Ah oui, et si vous vous demandiez, Newton dors très bien depuis trois jours, mais maintenant c'est Anna que je n'arrive pas a faire taire pour pouvoir dormir.
Je suis posé sur la terrasse en surveillant mon fils jouer dans le sable... Rectification manger du sable. Je fume une cigarette lorsque mon père me rejoint.

- Les nuits sont courtes mon fils ? Me demande-t-il en ricanant.

- Y'a plus de place dans les poche sous mes yeux que dans le sac de Mary Poppins.

- Alors mon petit garçon, tu laisse pas Papa dormir ?

- Je rêve, le grand-père gaga...

- Delta... Il râle n'appréciant pas ma remarque.

- Papi gateau. Lui répondis-je avec le sourire.

- S'il te plait mon petit blond ne devient pas aussi arrogant et insupportable que ton père.

- Nan, ta raison il devrait être aussi émotif que sa mère tien ! Impossible de l'empêcher de
pleurer...

- Apprécie ce que tu as mon garçon, la vie est parfois injuste, profites-en, peut être qu'un jour ces pleurs te manqueront. Il lâche cette phrase comme une bombe avant de partir et de me laisser seul avec mes pensées les plus sombres.

Je regarde mon fils et ne peut m'empêcher de voir sa mère. Je les aimes tellement, je ne m'imagine pas vivre sans sa mère et encore moins sans lui. Ses petites boucles blondes dont je suis totalement fou. Je râle, c'est vrai mais en même temps ça date pas d'hier, en réalité ses petits yeux pourraient me demander ce qu'ils peuvent bien vouloir que je le leur donnerais.

- Ils a raison, je peux pas la perdre, après je vais devoir m'occuper de toi tout seul l'horreur. Je lui grimace et le petit blond ne comprenant rien se met a rire aux éclats. Nan, je rigole mon chat, Papa est méchant.

Je l'attrape avant de partir a la recherche de sa mère. Dans la chambre elle traine assise par terre a réfléchir a je ne sais quoi. D'un délicatesse hors pair notre fils la sors de sa réflexion d'un grand coup dans la cuisse.
Je l'embrasse tendrement et la câline mais je vois bien que son moral est a zéro. Soudain j'ai une idée.