Le soleil se levait sur le monde de Claevia. Les habitants, Lunesgrades et Éphémères, se levaient tous pour ce nouveau jour.
La rentrée fût pour tous, enfants, adolescents, adultes et senior. Certains reprenaient l'école, tandis que d'autres, reprenaient le travail.
Je me lève et me prépare. À 7h pile, je suis devant mon jus de fruit et mon assiette, rempli de fruits couper.
Ce matin mes cours commence. L'excitation est telle, que, dès que le réveil à sonner j'ai bondi de mon lit et filer à la douche. Je sens que cette journée, vas être encore plus surnaturel pour moi que d'habitude.
J'ai un drôle de pressentiment depuis quelques jours, je ne saurais définir précisément ce que c'est, mais les symptômes sont asser présent. Des frissons, le cœur serrer, de la fièvre, des cauchemars...
Tout ceci est bien étrange, car je suis allée voir un lycantologue, en faite ces un médecin spécialiser dans les maladies rares des lycanthropes.
Il m'as examinée, avant de se mettre à rire et de finalement me dire que ça passera. Au finale je ne sais toujours pas ce que c'est. Ma mère et mon père, eux, ils m'ont sourie avant de continuer leurs occupations.
J'ai trouver ça étrange, puis jamie m'as dit que cela devait être un simple rhume, donc j'ai hausser des épaules et laisser tomber l'affaire.
Je n'étais pas plus inquiet que ça, car j'avais toujours mon appétit énorme, mon poids n'as pas changer et mon visage est toujours aussi... moi quoi...
Dans 45 minutes me s cours vont commencer, le plus malheureux dans l'histoire est que ma mère est encore entrain de se préparer. Ha les femmes je vous jure, 10 ans pour se préparer, au finale pour seulement 1 heure.
Tandis que je soufflais et ruminais d'exaspération devant mon déjeuner, ma mère daigne enfin se montrer.
Dans une tenue des plus normales, un jean bleu, un t-shirt noir, un blazer bordeau et une paire d'escarpins noir.
Son sourire s'agrandit quand, elle aperçoit sur mon visage un air réprobateur, puis d'une voix joyeuse me lance ceci.
-Oui papa, promis je me ferais pas draguer par les autres garçons...
Puis elle sort de la pièce en riant. Non mais quand je vous dit que c'est le diable, je ne rigole pas.
Dans cette tenue, devant un tonne d'étudiant en chaleur, sans mon père ? Je ne vais clairement pas le supporter, c'est ma mère !
Je ne pensais pas jouer les protecteur aujourd'hui, surtout pour mon premier jour de rentrer...
Tandis que je pris un morceau de fruit, j'entendis des pas s'approcher. Mon père entra dans la cuisine avec un air joyeux lui aussi.
-Alors fiston, prêt pour ta rentrée ?
Blasée de ses incessant surnoms que m'offre gracieusement mon paternel, je lui répond d'un ton lasse.
-Papa, arrête avec ces surnoms s'il te plaît, je n'ai clairement plus l'âge...
Il rie en se servant un café, puis me vient une idée. Mon père est un Alpha, qui plus est, il est avec son âme-soeur, ma mère... donc...
-Tu ne veut pas venir ?
Mon père se retourne vers moi surpris de ma remarque. Il sourit avant de me répondre.
-Non tu est un grand garçon, je suis sûr que tu peut te débrouiller tout seul...
-Hoo, je vois, et bien tu n'as pas peur on dirait...
Il plante son regard brusquement dans le mien, tandis que je lui renvoie un air des plus innoncent.
-Peur de quoi ?
Je me contient comme je le peut, pour ne pas trahir mon plan.
-Et bien au milieu de pleins de jeunes universitaires, je serait pas mal occupé on est d'accord ?
Mon père semble réfléchir, il se frotte le menton puis acquiesce. Je me lève et dépose ma vaiselle dans l'évier.
Je me dirige vers la porte, puis je m'arrête et me retourne vers mon père.
Ma mère entre à se moment précis, je lance un coup d'oeil à mon père, avant de lui répondre de façon simple.
-De ça ?
J'avais pointer ma mère, qui elle de son regard ne comprenais rien à la situation.
Je jette un regard à mon père, ses yeux son sur le point de sortir de leurs orbites, tellement la colère bouillone dans ses veines.
Puis je passe la porte et me dirige vers ma chambre pour récupérer mon sac.
Mon plan à marcher, mon père et sa jalousie...
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The Eyes Of The End (Tome 4)
WerewolfChaques jours passants se ressemblants inlassablement. Chaques pages du passé devraient être tourner, mais certaines de nos pages, reviennent nous hanter... Ils attendaient, où plutôt, ils l'attendaient. Craignant chaques jours que laissait le solei...