Chapitre 8

575 37 6
                                    

Indescriptible est ce sentiment, bon ou mauvais, je n'en connaissais l'aboutissement.

Alors que mon père se garait dans le parking, je pus voir james avec ses parents non loin. La plupars des jeunes de l'IUI venaient avec leurs parents.

Non pas, pars peur ou autre sentiment que je trouvais futile, mais plutôt car les trois quart des parents sponsorisent notre Université.

Avec mes parents nous sortons du véhicule. La scène qui suivit fût des plus amusante selon moi. Mon père fière bomba le torse, ma mère lui jetta un regard, à gelée quiconque sur place et moi derrière qui me retenais de rire.

Évidemment mon père était un homme très convoité par la gente féminine, mais ma mère le fît redescendre avec la petite tape derrière la tête.

Les regards féminin, ainsi que leurs brouhaha non discret face à nos sens lupin, commençais à devenir gênant.

Puis je vît ma mère un sourire narquois sur le visage, voilà ce sourire la, celui qui prévient clairement, que le diable est parmi nous.

Elle retira sa sa veste puis me la donna, elle s'avança au côté de mon père. Finalement ce qu'elle portais en dessous était bien plus osée que ce que je pensais avoir vue...

La gêne me pris dans tout mon être, ces hommes dévisageaient et déshabillent ma mère du regard.

Mon père s'aperçut que quelque chose n'allais pas, du regard respectueux des hommes envers lui, il vît dans leurs regards de l'envie, du désir envers une autre personne.

Lorsqu'il se retourna vers ma mère, je crut à ce moment la, que le monde allait éclater en morceaux, que bain de sang et meutre à tout vas, allait être l'avenir.

Il se tourna vivement vers moi, se saisit de la veste. Il pris le bras de ma mère et lui remis sa veste. Il ferma la veste jusqu'en haut, puis, il plaça d'une main ferme et protectrice, un bras autour des épaules de ma mère.

Ma mère se mît à sourire de façon gêné, comme deux adolescent dont ils avaient le comportement, mes parents avançaient, la main de Talia, posé sur l'avant-bras de Seth.

Levant la tête fièrement face au autres, comme si toute dominance, ils voulaient montrer au monde. je ne sais comment, sachant qu'étant leur progéniture, n'en connaissant l'attitude à avoir. Avant que la voix de mon père, sévèrement, résonna telle un coup de canon au plus profond de mon esprit.

"Lève la tête, montre qui tu est..."

Puis la voix de ma mère ajouta, sur un ton d'amusement

"N'en fait pas trop non plus..."

J'étais partager entre l'idée de rire et celle d'adopter une attitude des plus sérieuses.

Soudainement, une odeur, mon présentiment, comme une flèche aiguisé transperça mon être de part et d'autre. Comme guidé par mon instinct je pris le bras de ma mère et la tira en arrière.

Ce pressentiment, celui qui depuis longtemps, au fond de mon être, me rongeait les os. Celui qui depuis son apparition, lors de mes quelques jours au monde, n'avait cesser de ce manifester.

Une flèche passa devant mes yeux, rasant l'oeil de ma mère. Venant se planter directement sur ce sol de béton, effectuant par la même occasions un bruit fracassant de métal s'entrechoquant.

Sur la flèche, un liquide de couleur verdâtre mélanger à une mélasse noir dégoulinant. L'odeur infecte de ce produit ne pouvait être que de la malidreane. Un mélange de plante et de métaux.

Quiconque lunesgrades se faisant toucher par ce liquide, mourrait dans l'heure qui suivait.

Mon père se plaça prêt de ma mère, puis jetta un regard vers la direction d'où provenait la flèche.

Qui ose s'en prendre à la Gamma suprême, gouttera à une mort des plus sanguinaires et douloureuse qui soit.

Cacher dans l'ombre, de ses yeux sombre, son sourire sanglant n'en était que plus glaçant. De ses griffes acéré, accrocher à un arbre, telle un animal sauvage assoiffé de haine, de vengeance et de sang.

Elle se trouvait la... elle est revenue... Mathilda...

L'humanité autrefois qui subsistait encore dans ses yeux, à présent n'était que poussière. Telle était le prix à payer pour une vengeance aveugle et sanglante.

Même le peu d'amour qu'elle avait ressentie pour mon père, avait totalement disparue, ne laissant qu'un grand vide à l'intérieur de cet être de chaire et de sang...

The Eyes Of The End (Tome 4)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant