The Eyes Of The End (Tome 4)

Chapitre 22

Froide, humides, triste...

Cela est pourtant la représentation exact de cette fameuse nuit.

Tout d'abord ce fût ma mère, puis maintenant lui aussi, mon père... tout deux partie pourtant si jeune...

Rassembler dans la forêt, tous réunis, nous nous trouvions dans un espce ou aucun arbre, de ces branches ou de ces feuillages ne recouvraient le ciel...

Derrière cette façade de visage froid et sans vie, je hurlaient, criais au fin fond de mes pensées la douleur, la rage et la haine de ces pertes.

Tout le monde pleuraient, attrister et affubler par le départ de leur alpha. Je reconnaissais chaque visage, chaque personne présente ici avaient le visage tirer de tristesse et parfois, de sanglots. Certain me regardaient avec compassion, d'autres avec tristesse, et pour d'autres, ce n'était que devla pitié...

Si ils savaient comme à ce moment précis je m'en contrefiche de ce qu'ils peuvent penser... cela ne me ramènera jamais mes parents, car pour moi, avant d'être des alphas, ils étaient avant tout mes parents...

Je me remémore à ce moment certains passages de ma vie où, mon père et ma mère se chamaillaient pour des futilités d'adolescents, avant de me dire que je n'étais qu'un adolescent. Cette pensée m'arrache un léger rictus...

Pourtant, au fond de nous, nous le savions... nous le savions que tôt ou tard son âme, ainsi que sa vie partirait rejoindre sa moitié.

Tel était la nature de ce monde, pour voir le jour, sentir le vent sur nous, donner naissance, il fallait en payer le prix...

Et ce prix, ce prix était amplis de rage, de colère et de tristesse mais surtout, il était ampli d'impuissance face à la nature et à ses droits.

Alors que tout le monde part pour rejoindre leur maison, je reste planter la, à regarder cette lune ronde et blanche.

Alors que je me retrouve seul avec cette lumière, ce froid qui m'envahit et cette tristesse qui daigne enfin se montrer, je plie genoux à terre, montrant ainsi mon impuissance face à elle, face à sa nature, face à ses droits...

Sans savoir comment ni pourquoi, je craque, je relâche tout ce qui au fond de mon coeur, de mon âme et de mes entrailles, me tue à petit feu...

-POURQUOI ?!?! MA MÈRE PUIS MON PÈRE !!! JE NE MÉRITE PAS ÇA !!! QU'EST-CE QUE JE T'AI FAIT ?!?! SI TU ME HAIS AUTANT... TUE MOI !!!!

Mon corps tremblais, chaque parcelle de mes muscles contracter tremblais de rage et de haine à chaques mots, pour chaques sons qui passent la barrière de mes lèvres...

Comme le son d'une horloge, le tic tac de mon coeur, de mon âme venaient de se décharger, jusqu'à vouloir s'arrêter...

Mais alors que je venais de dire ces derniers mots, sans que je ne comprenne ce qui se passait, une voix retentis derrière moi...

-NON !!!!

Cette voix, elle était féminine, douce et protectrice à la fois. Je ne saurais précisément la définir exactement avec des mots mais, le son de sa voix, ce son était spéciale à mes yeux. Se frayent un étroit chemin, il parcourue chaque parcelle de mon être, afin de parvenir à entrer et à toucher directement l'organe traître de mon corps... mon coeur...

Celui-ci fît un bond monumentale, il se mît à accélérer de façon excessive, je ne contrôlais plus rien, ni mon coeur, ni mon corps, si bien que même mon âme ne me répondais plus. Des frissons se sont mît à parcourirent chaque parcelle de mon épiderme. Tandis que mon âme, attirer part ce petit être cacher dans la pénombre s'approche lentement.

Alors que je tentais de réprimer ce sentiments au fond de moi, la personne s'approcha doucement, ses pas se faisait hésitant, son visage dont les traits tiraient vers la compassion, et sa main tendu, qui doucement tente de se frayer un chemin vers moi.

Alors qu'elle n'est plus qu'à quelques centimètres de moi, elle pose délicatement sa main sous mon menton, le relève doucement, sans un mot, sans un son passant la barrière de ses lèvres. Mes yeux encré dans ses iris, je comprend, je comprend tout.

Sa bouche ne dit mot, mais pourtant,  ce regard, SON regard, lui, en dit long...

Dans un souffle, dans un simple murmure je parviens à faire revivre mon âme...

-Perséphone ...

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Coucou désoler de ma longue absence, mais j'ai eu une pépettes et je n'avais plus du tout de temps, mais promis je vais m'y remettre, bientôt la fin de cette histoire... alors presser de savoir ? 😉😁