The Eyes Of The End (Tome 4)

Chapitre 26

Alors que j'avançais dans cette forêt, profitant ainsi d'un calme des plus rafraichissant possible, il fallait que je m'évade de chez moi juste pour quelques instant et seule la forêt me paraissait le refuge idéal.

J'avais besoin de temps, d'espace, de liberté...

Je devais réfléchir... à quoi ? à celui qui as, à jamais, bouleverser ma vie... D'un simple regard, de deux petits mots pourtant si innocent mais qui, une fois déclarer on pourtant un sens des plus profond.

J'étais personnellement perdu, je voulais réfléchir correctement, mais je n'y arrivais pas. La cause n'était autres que l'espace qu'il prenait dans mes pensées, chaque fois que je voulais pensées raisonnablement, mes pensées dérivaient immédiatement sans que je ne sache pourquoi.

Juste en imaginant son visage, je finissais par voir ses lèvres et repensées à ce baiser que nous avions échanger. Les frissons s'emparaient alors de moi, ne laissant qu'une trainer de sensations tout aussi intense les unes que les autres, avant que le manque ne refasse surface...

Oui il me manquais, ou ? comment ? pourquoi ? 

Personnellement je m'en contre-fichais totalement, car tout ce qui contais à présent étais que je le vois. J'avais plus d'une fois imaginer la façon dont j'aurais pu aller à sa rencontre, mais à chaque fois, cela revenait à déclencher une catastrophe selon mes propres pensées.

J'avais beau avoir tourné et retourner toutes les situations dans mon esprit cela ne me convenais pas, laissant à chaque fois une trainer d'inquiétude dans chaque recoins de mon esprit. J'avais pourtant essayer plus d'une fois de l'approcher mais ses amis avait à chaque fois débarquer, me faisant ainsi rebrousser chemin.

J'étais encore une fois de plus perdu dans mes pensées à cette instant présent, que je ne m'étais pas rendu compte que je m'étais éloigner de quelques kilomètres de chez de moi.

Alors que je continuais ma marche dans la forêt, soudainement, je sentis sa présence, je le sentis lui... 

Dans ce corps que lui avait accorder la déesse, ce corps de canidé dont les dimensions paraissaient disproportionner face à un loup, il avançait, foulant ainsi le sol de ses pattes velues, laissant derrière lui cette odeur animal et dominante à la fois.

A chacun de ses pas, mon rythme cardiaques se laissa posséder par l'adrénaline de cette vision. Je le fixais du regard laissant mes pensées toute à l'abandon. Figer comme le temps qui ne laisse aucune explications, ce moment paraissait au ralentis, car malgré la vitesse dont il faisait preuve, elle ne valait rien face à ce flots d'émotions toute aussi intense les unes que les autres.

Alors qu'il courait à vive allure, sans que je ne comprenne comment, ni pourquoi, il arriva et se posta face à moi, me faisant face de toute sa hauteur.

Dominant, animal, bestial, fort, attirant, délirant, absurde, sentiments, frisson... et ainsi de suite toutes ces pensées et ces émotions m'écrasais de tout leur poids.

Tandis que mes pupilles était ancrées dans les sienne, le lien, quant à lui fît son petit chemin sans que je ne m'en rende compte, agrippant mon coeur et mon âme de ses crocs acérer, laissant ainsi la place à un sentiment de douceur infime...

Tandis que mes pensées étaient partager sur le faite qu'il m'ait trouver, ou bien qu'il venait me chercher, ou encore qu'il pouvait n'en avoir rien à faire de moi, j'étais partager...

Et si... et si le destin... et si c'était lui, si c'était lui qui nous avait donner, sans que nous le sachions, un motif pour nous pousser l'un vers l'autre...

Il se transforma devant mes yeux, tandis que son regard continuais de posséder le mien. Il s'avança, petit à petit, rétrécissant ainsi la distance qui jusqu'alors était présente entre nous. D'un pas lent, d'une démarche digne des plus grand prédateur, il s'approcha, ne se lassant pas de continuer à fixer mes pupilles...

Je ne me lasserais jamais de ce regard, son regard... de se flots de frisson qu'il provoque chez moi, du contact de sa peau sur la mienne lorsque sa joue avait toucher la paume de ma main...

Il arriva juste de devant moi, suffisamment près de moi pour laisser ainsi ma respiration saccadé venir s'écraser sur ses lèvres.

Je ne savais pas quoi pensées, j'étais perdu, partagée, attirer mais... en même temps, j'avais peur...

Pas de lui... j'ai peur... peur de moi...

Qu'est ce que j'allais encore provoquer...