Chapitre 24

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Un songe d'été, une mélodie d'automne, un souvenir d'hiver et lorsque le printemps pointe le bout de son nez, une mélancolie nous envahie, ainsi chaque année le cycle se perpétue.

Heureux ou malheureux, nous naissons, grandissons et vivons avec des souvenirs ancrée au fond de nos pensées. Ceci n'est que le reflet de qui nous sommes, ainsi le passée nous rappel nos souvenirs et nos regrets. Le présent nous le vivons et notre avenir reste l'indéfinissable demain...

Alors que les pensées de nombreux souvenirs avec mes parents faisait surface, Perséphone m'interpelle faisant rappeler à mon esprit l'instant présent.

- Hadès ?

Dans sa bouche, mon nom resonnais de sa voix, comme une douce et chaleureuse caresse à mes tympans.

- Ou... Oui ?!

L'empressement dans ma voix se fit entendre plus que je ne l'aurais voulu, ce qui eu pour conséquence le fin gloussement moqueur de Perséphone. je sentis mon visage chauffer, rare sont les moments qui furent gênant en présence d'une fille qui me plaisait, mais la, il ne s'agissait pas juste d'une simple fille, il s'agissait bel et bien de mon âme soeur...

Afin de la faire cesser son rire moqueur, j'optais pour un déchainement de chatouilles, mon but fût atteint une fois que celle-ci se tordais dans tout les sens pour échapper à cette torture physique.

A force de gesticuler, Perséphone fit remonter son t-shirt, laissant ainsi à mes iris le droit de voir sous ce bout de tissu une peau fine et délicate. Ma main entra en contact avec sa peau dévoiler par son vêtement, une décharge électrique parcouru mon corps, laissant à ma peau de multiples spasmes de frisson tout aussi intense les uns que les autres.

A cette instant l'espace et le temps s'étaient arrêter, laissant le monde en pause. Autour de nous, plus rien n'était... ses pupilles ancrée dans les miennes, me transportais littéralement dans une atmosphère inconnu. Seule la lune de sa brillante clarté se faisait refléter nos ombres sur ce sol terreux.

Perséphone ne bougeais pas d'un seul millimètre, et pour cause, l'attraction entre nous était d'un force à mettre genoux à terre à n'importe qu'elle être humain.

Je m'approchais de Perséphone, d'une douceur infini et d'un geste lent, je me saisi du bout des doigts de son menton. Mon regard toujours plonger dans le siens, je continuais à m'approcher...

Nos lèvres n'étaient séparer que par quelques nanomètres infime, laissant à nos souffle cette valse rythmer par nos cœurs battant à une vitesse fulgurante telle un feu embrasant la forêt de ses intenses flammes.

Sans que je ne mis attende, elle referma cette distance déjà bien maigre, laissant à mes lèvres le plaisir de goûter ce fruit tant défendu, que je rêvais un jour de pouvoir déguster.

La rapidité de ce baiser fût de sorte que mes papilles demandais encore de pouvoir y avoir accès. Je la fixais désireux de pouvoir encore avoir la chance de redécouvrir ce fourmillement au fond de moi...

Alors que mes yeux ne cessaient de fixer ses lèvres envoûtante, je pût voir alors dans son regard ce message discret qui m'incitais qu'elle avait clairement fait le premier pas, maintenant il était de mon devoir de lui montrer que moi aussi je le voulais, je LA voulais.

Sans réfléchir à deux fois, je me saisi de sa nuque et plaqua d'un geste vif mes lèvres au siennes, afin de sceller ce baiser.

Nos bouches se rencontrais de nouveau, dans lequel mon corps parsemer de multiples frissons intense et fiévreux, désireux d'en avoir encore plus...

Alors que je dévorais sa bouche, inconsciemment je voulu tenter de laisser ma langue aller explorer la sienne, sans savoir pourquoi ni comment, elle entrouvris alors ses lèvres me laissant alors tout le plaisir de la goûter.

Elle passa ses deux mains sur ma nuque, elle accentua ce baiser par la même occasions. Chaque mouvements, chaque gestes que l'ont faisait restaient incontrôler. tandis que l'empressement se fît plus pressent de mon côter, laissant à mes mains la joie d'explorer la douceur de sa peau au niveau des hanches, elle posa alors ses mains sur mon torse et d'une légère pression me fît reculer...

Nos front coller, son souffle saccadé venant s'écraser sur mes lèvres, je fermais les yeux tentant de reprendre mes esprits...

Puis dans un souffle elle me dit doucement.

- L... Laisse... Laisse moi le... le temps...

Elle releva son regard pour fixer mes pupilles dilater par le désir, puis elle se leva et d'une rapidité étonnante, elle courut dans la pénombre de cette nuit silencieuse, me laissant ainsi, seul avec mes pensées encore troubler par ce qui venait de ce passer...

The Eyes Of The End (Tome 4)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant