The Eyes Of The End (Tome 4)

Chapitre 29

Hadès se mît face à moi, il saisi mon menton, avant de plonger son regard des plus sombres et ténébreux dans le mien.

-Tu sais ne sois pas gêner de le dire. car peu importe ce que tu dira, je prendrais toujours soin de toi. Même si tu me rejette, je reviendrais toujours, même si tu ne veut pas de moi, je ferais tout pour que tu veuille de moi et ça à jamais...

Gêner, je mis mes mains sur mes joues, avant de baisser la tête. 

-En... enfaite c'est... c'est parce que je... ne... ne te connaît pas... du moins, je ne sais... sais rien de toi...

J'avais fini ma phrase dans un léger souffle, regardant mes chaussure, je n'osais d'abord pas lever les yeux vers lui, sûrement de peur de passer pour une enfant qui fait un caprice.

Enfin ce n'était pas un caprice, car ne pas le connaître m'ennuyait réellement. Comment envisager la possibilité d'un avenir avec quelqu'un que je ne connaît pas ? c'est comme si l'on me disais de fermer les yeux et d'avancer sur une corde tendu au dessus d'un précipice en me disant d'avoir confiance en moi.

Je pris mon courage à deux main et décidais de lever les yeux. Je tombais alors sur une expression des plus étonnantes qu'il n'est été donner de voir, un sourire des plus niais était viser sur son visage. Sans que je ne le veuille, je ne pût me retenir plus longtemps et éclata de rire.

Il me regardais durant ce temps, avant que je ne réussisse à me calmer. Il me fixais cherchant à savoir pourquoi je riais.

-Pourquoi tu as rie ?

Sa question avait le mérite d'être franche au moins, mais mon courage se limitais au minimum, alors je fît ce que je faisait le mieux... je me défilais...

-Non... non pour rien...

Sans attendre sa réponse, je me tournais et continua à marcher, laissant une distance s'installer entre nous.

-Non attend répond moi avant...

Je l'entendis s'approcher rapidement, et je me mît à courir. Je n'avais peut-être pas la chance d'avoir de la force, mais j'étais plutôt rapide en terme de vitesse, surtout quand il s'agissait de fuir...

-Désoler j'ai du mal à t'entendre d'ici...

Je continuais ma folle course dans la forêt, quand je me rendis compte qu'il n'était plus dérrière moi. Je me mit à paniquer sans le vouloir, ce qui me fît élever la voix, plus que je ne l'aurais pu en temps normal..

-HADES ?!?! TU EST OU ?!?! 

Paniquer je regardais dans tout les sens, je commençait à avoir des sueur froides glisser le long de ma colonne vertébrales, je sentais ma tête tourner et ma vue commençais à se brouiller par les larmes qui faisait surface.

Je pensais aussi à tout ce qui aurait pu lui arriver, je n'arrêtai pas de me demander si il allait bien, si il était vivant, si il était blesser ou pire encore, si il était mort.

-Bou...

Cette voix dans le creux de mon oreille me fit sursauter. Je me retournais vivement en lâchant par la même occasion un cri des plus perçant. Encore sous le coup de la panique, je dévisageais Hadès. Tandis que le sourire victorieux qu'il affichait, disparue en l'espace d'un instant pour laisser place à la peur et à l'inquiétude.

D'un pas précipité, il se dirigea vers moi, il me pris dans ses bras dans une étreinte qui se voulait rassurante. Sans que je ne puisse me retenir des larmes se sont mise à couler, je tapais sur son torse, laissant aller ma tristesse et ma colère se déverser sur lui.

-Tu est le gars le plus stupide, t'es qu'une idiot, je te déteste...

Mes mots mélanger entre deux sanglots, passaient la barrière de mes lèvres faiblement. Il me fallut un certain temps avant de réussir à me calmer.

Je me défit de ses bras, puis je le vit, un léger sourire au coin des lèvres qui se voulait victorieux. L'air interrogateur sur mon visage devait en dire long, vue qu'il répondis à ma phrase sans que je ne dise un mot.

-Tu vois que tu me veut

Sa phrase était dite d'un air taquin, se qui lui valu une tape sur l'épaule et une petite boutade avec.

-Idiot vas...

Alors que je voulais lui montrer que j'était en colère contre lui, son visage qui, il faut le dire était bien trop craquant à mon goût, me fît changer d'avis.

Nous reprenions notre chemin main dans la main, tandis que nous mettions à rire de ce qui venait de se passer.