Chapitre 17

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PDV Ruggero

Nous venons d'arriver chez mes parents... J'aime pas être ici et puis je sais pas, j'ai un mauvais pressentiment... Je la sens pas cette réunion.

Je coupe le contact, sors et ferme la voiture.

Nous sommes accueillis par Caro qui est très heureuse de me voir et qui apparemment connaît Karol. Je n'arrive pas à déterminer si c'est une bonne ou une mauvaise chose, à la fois c'est bien parce qu'elle va avoir une amie très souvent avec elle et ça aidera peut-être Karol à s'adapter à sa nouvelle situation mais en même temps ça va lui faire de la peine de voir le sort qui est réservé à son amie, elle me connaît. 

Ma mère nous amène au salon où se trouve déjà ses parents. Karol adresse un sourire à sa mère mais ignore son père. Evidemment, elle a grandi dans le milieu, elle sait qu'il est responsable, avec mon père, de la situation.

Ma mère me sert un verre de bourbon et un Coca aux filles. J'attends impatiemment que nous passions à table histoire de rentrer dans le vif du sujet et d'en finir le plus rapidement possible. Je suis fatigué de ces échanges de formalités creuses. Elles ne trompent personnes.

Nous passons enfin à table, ma mère à cuisiner des enchiladas au poulet. J'en suis presque déçu car c'est un de mes plats préférés et je n'ai pas d'appétit. Je dois reconnaître que je suis un peu nerveux, je me demande qu'est-ce qui va encore nous tomber dessus. Je me doute que ça risque d'être fort désagréable. Mon père se racle la gorge avant de prendre la parole:

"Bien, je pense que vous êtes au courant que nous sommes réunis pour parler du contrat et des conditions de celui-ci. Après une relecture et une révision de celui-ci. Afin de conserver le plus longtemps possible la pérennité de notre accord, nous avons décidé d'ajouter une clause au contrat. 

- En effet, Emilio et moi avons longuement discuté et nous sommes parvenus à la conclusion que le mariage seul ne serai pas une garantie suffisante vis à vis de notre association. Il faudrait que nous ayons un lien, un réel intérêt nous liant autre que celui commercial. C'est pourquoi que nous pensons qu'il n'y a rien de mieux qu'un enfant pour célébrer cette union.

- Ruggero, mon fils, Karol et toi avez 30 jours pour nous mettre cet enfant en route."




Coucou ! Oui je sais, j'abuse. Me revoilà comme une fleur après presque 2 ans et demi de silence. J'avoue que j'avais du mal à me motiver à écrire mais me revoilà et cette fois je vais essayer de m'y tenir. Je vais poster les corrections des chapitres précédents dans la foulée. Je vous tiendrais au courant de la fréquence de post quand j'aurais un peu avancé. 

Love,

Sarah Sevilla

Un amor impossible (O muy difícil) ❤Où les histoires vivent. Découvrez maintenant