Un frère de trop-TOME 2

6. Point de vue de Nathan

PASSAGE AVEC DU LEMON (donc avec des mots crus aussi normal vous êtes dans la tête à Nathan) AME SENSIBLE PASSEZ AU CHAPITRE SUIVANT 

Je me redresse et je glisse ma langue entre les lèvres de la magnifique femme qui est sur mes genoux.  Elle ondule ses hanches contre moi, je chuchote entre deux baisers :

-Bébé fait pas ça.

Elle continue d'appuyer son bassin contre le mien, je sais ce qu'elle essaie de faire. Elle veut m'exciter. Elle veut me faire perdre le contre. Et ça marche! Nous sommes habillés mais rien qu'à sentir son corps se frotter contre le mien mon érection monte rapidement. J'agrippe ses cuisses et je jure :

-Putain.

Je mets mon visage dans son cou et embrasse sa peau douce et un peu froide, elle tire mes cheveux quand je la mord doucement. Sa main se pose entre mes jambes, j'essais de ne pas penser au renflement dans mon boxer qui prouve que mon corps réclame le sien. Elle se mord la lèvre, je sais qu'elle aime sentir qu'elle me fait bander. N'y tenant plus, je la soulève et j'enlève son bas qui me dérange. Je caresse son intimité ce qui la fait gémir, j'ai déjà entendu ce son plus d'une fois et c'est fou jamais je ne m'en lasse! Je la pénètre de mes doigts, ses mains lâchent mes cheveux pour agripper mes épaules, lorsque ses ongles s'enfonces dans ma peau elle chuchote :

-Nathan!

Putain! L'entendre dire mon prénom d'une façon aussi sensuelle va me rendre dingue! Je fais des va-et-vient de plus en plus rapide, je sens que ses jambes commence à trembler et j'accentue mes caresses. Lorsque je sens qu'elle est au bord de la jouissance, j'enlève mes doigts et je tente de l'embrasser mais elle m'oblige à reculer. Durant une seconde j'ai peur de l'avoir vexée mais elle enlève mon bas et je ne peux m'empêcher de sourire.Impatiente! Je retire mon haut, elle retire le sien et nous jetons nos vêtements par terre. Mais alors que je m'attend à la voir se remettre sur moi, elle baisse la tête vers mon sexe dressé. Je la regarde faire sans savoir quoi dire et lorsque je sens pour la première fois ses lèvres autours de moi je perd pieds. Agenouillé sur le lit, je glisse en arrière et elle m'accompagne, ses lèvres toujours autours de moi. Je met mes mains dans ses cheveux et bascule la tête en arrière, ma respiration siffle mais je n'essais même pas d'être discret. Avec une autre j'accélérerais les mouvements en donnant des coups de bassins ou en appuyant sur sa tête, mais là je ne veux pas. Maddyson y va doucement, à son rythme et putain j'adore ça! Je la regarde faire des vas et viens, je me mord les lèvres, elle est tellement sexy! Elle lève les yeux vers moi pour me regarder, son regard de jeune femme innocente me fait chavirer et je dis essoufflé :

-Princesse je vais . . . je vais pas tenir si tu continue.

Elle recule, j'attrape rapidement une capote,je l'enfile et deux secondes plus tard elle regrimpe sur moi et reprend le contrôle de la situation. Elle enroule ses jambes autours de mes hanches et d'un coup de bassin, j'entre en elle ce qui lui fait pousser un petit cris. Je panique, merde je lui ai fais mal ? Non, c'était de la surprise. Elle commence à bouger sur moi. Je souffle soulagé, faut pas me faire peur comme ça Princesse! Je met une main dans son dos, l'autre dans ses cheveux et je la colle contre moi. Je jure essoufflé :

-Putain Princesse . . . putain . . .

Elle griffe fort mes épaules, je la regarde, j'aimerais la regarder dans les yeux mais elle est trop timide. Elle se mord la lèvre et ferme les yeux. Des gouttes de sueur coule sur son front, elle est un peu rouges mais je la trouve toujours aussi belle! J'accélère nos mouvements et Maddyson atteint l'orgasme, elle pose sa main sur ses lèvres pour que personne n'entende sa jouissance. Bordel qu'est ce que je ne donnerais pas pour qu'elle hurle mon prénom sans ce retenir, un jour nous vivrons ensemble et elle pourra le crier sans avoir peur qu'on l'entende. Une décharge parcours mon corps et je jouis à mon tour. Elle appuie son front contre mon épaule et essaie de calmer sa respiration. Doucement, je la soulève pour m'enlever d'elle et je jette la capote dans la poubelle près du bureau. Je passe mes bras autours de ma belle et je m'allonge, elle se retrouve allongée sur moi. Nous sommes nue, en sueur et essoufflés mais je me sens bien. Comme à chaque fois que je suis près d'elle. Ma princesse soupire d'aise, je la taquine :

-C'était pour te faire pardonner de m'avoir forcée à dormir là bas ? 

Elle se redresse pour me regarder dans les yeux et elle chuchote :

-Tu m'as manqué. 

Une chaleur agréable se répand dans mon corps, ma Princesse me sourit et se rallonge correctement sur moi. Je repense au moment où on m'a dit de rester à la maison, j'y ai opposé une résistance mais avant j'aurais fait une crise, j'aurais attrapé Maddyson et je serais venu dormir ici de force. Mais elle aurait fait la gueule et n'aurait pas décoléré de la soirée je le sais. Je fais tous pour changer, pour être le petit ami parfait qu'elle mérite, et ça fonctionne puisque je suis revenu ce matin et elle n'était pas en colère. Même si j'ai passé un nuit chiante, je suis avec elle maintenant. Je peux supporter toutes ces petites choses qui me cassent les couilles si je la retrouve après. Je caresse son dos nue et je sens son corps se détendre sur moi. Elle s'endort. Je la fais basculer sur le côté, je ne suis pas contre le fait qu'elle dorme sur moi nue mais je la connais assez pour savoir que quand elle se réveillera, elle sera mal à l'aise. Elle a beau coucher avec moi depuis un moment, elle est toujours aussi pudique. J'ai rarement le droit d'entrée dans la salle de bain lorsqu'elle y est, ça me fait chier car j'aime regarder ses courbes, ses formes généreuses et son corps laiteux parfait. Je suis sûr que lorsqu'elle se changée dans les vestiaires scolaires, plusieurs filles étaient jalouses de son corps! Normal, elle a un corps incroyable dont je ne me lasse pas de regarder et de caresser. Mais elle tient à son intimité et je respecte ça. Je trouve même ça mignon enfaite. Je lui met son bas de sous-vêtement, puis je l'habille d'un de mes haut avant de m'allonger et de la prendre dans mes bras pour la serrer contre moi. Tu vas voir bébé, je vais changer et tu seras fière de moi.

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