La Princesse aux mains d'Or [ Terminé ]

lize

- je ne me rappelle point avoir rencontrer quelqu'un portant ce nom.

- évidemment puisque vous étiez encore bébé quand vous l'avez vue!

Je me décidait de ne plus parler, Parce que chaque fois que je disait un mot, il me répondais d'une manière tranchante pour me rabaissée où pour me traitée d'idiote.

- une dernière chose puis je me tait.

- allez-y, dit-il exaspéré.

- vôtre nom? Vous connaissez le mien mais vous ne vous êtes pas présenté. La politesse mon cher Monsieur...

Je secoué la tête alors qu'il me regarder ,visiblement en colère que je le reprenne de la sorte.

- Edward.

Il s'arrêta et le cheval fit de même. Il fit descendre Arthur et l'allongea sur l'herbe.
Je descendit à mon tours.

- nous allons dormir un peu. Maintenant qu'il fait nuit noir je ne puis nous dirigé vers l'est. Reposons nous un peu.

Il attachait sa morture à un arbre avant de venir s'assoir dans l'herbe, adossé à un arbre.

- d'accord Edward.

Je m'assied à mon tours et fixait les étoiles.

- comment ton ami s'est fait des telles blessures?

Je le regardais en souriant.

- pourquoi me regarde tu avec ce sourire stupide ?

- tu m'a tutoyer...

- et alors ?

- alors rien !

Je lui racontait ce qui nous était arriver avec Arthur chez Jean, mais je ne lui dit pas qu'Arthur était un voleur.
Il ne fit aucun commentaires.

- et toi, parle moi de toi.

- non.

- pourquoi ?

- parce qu'il n'y a rien à dire.

- bon... Parle moi au moins de lize?

Il resta un bon moment muet.

- c'est une sorcière.

Je me relever et le regarder choqué.

Il se moquait de moi avant de reprendre.

- elle a des sortes de vision. Les gens l'appel sorcière mais elle n'en est pas une. Elle a juste un don. Elle est né comme ça... Comme toi, tu es née avec quelques chose de spécial, elle aussi.
Le reste, elle t'en parlera mais pour le moment dort. On reprend la route à l'aube.

Je rester muette. Comment pouvait-il savoir que j'avais quelque chose de particulier qui me différenciée des autres.

- comment es-tu au courant pour moi?

- je t'avais vue, quand ton ami avait retirer tes gants.

- tu nous espionner depuis tout ce temps ?

Il sourit.

- disons que j'attendais le bon moment pour faire mon entrée.

Notre discussion s'arrêta là.

Le lendemain matin, je fût réveiller par la voix d'Edward.

- début marmotte ! Nous devons nous dépêché de reprendre la route et d'arriver avant Midi.

Nous avions marcher pendant des heures sans s'arrêter. J'avais préféré marcher et laisser Arthur dur le cheval. Depuis hier il ne s'était pas encore réveiller.
Edward m'avait l'air assez grognon ce matin alors je ne voulait pas plus le fatigué en parlant.