La Princesse aux mains d'Or [ Terminé ]

Cachots

Je venait de me réveiller .
J'étais attaché sur une chaise.
En face de moi il y avait Arthur, attaché lui aussi sur une chaise mais encore endormi.

- on pouvait pas te séparé de ton fiancé comme ça ! On n'est pas des monstres.

Je tourné la tête à gauche. C'était Jean, le chef des brigands.

- Qu'est-ce vous allez faire de lui?
Je lui demandait.

Il rit un petit moment.

- tu t'inquiète plus de son sort plutôt que du tiens?

- c'est mon ami... En fin, il était mon ami. Il m'a trahit.

- tu devrait faire confiance à tes amis tu sais. Arthur t'as dit la vérité. Rad était venu m'informer qu'Arthur côtoyé une jeune dame de la haute. Mais qu'elle ne fut pas ma surprise quand je vous ai vous tout les deux et que je t'avais reconnu princesse. Oui un homme qui recherche l'argent comme moi ne peut pas oublier le visage d'une personne très riche, comme toi! Ambre de Gambari Roselyne.

Il s'assis et commença à manger son repas .

- Donc si j'ai bien compris, vous voulez de l'argent ?

Il me regarda surpris.
Il se leva , s'approcha de moi et me gifla.

- je déteste que l'on m'interrompe quand je prends MON DÎNÉ ! Princesse ou pas princesse tu la ferme !

Je ravalé ma salive. Il avait crié tellement fort que même Arthur c'était réveiller en sursaut.

- bouge pas toi.
Lui dit Jean.
Arthur ne dit rien quand il vue Jean mangé. Il devait sûrement être au courant des habitudes de Jean vue qu'il travailler pour lui.
Il me devisagea un moment.

- c'est lui qui t'a giflé ? Me demanda t-il en regardant ma joue qui devait être toute rouge maintenant.

- espèces de fumier ! Cria Arthur en crachant sur le pied de Jean qui n'était pas assis très loin de là.

Jean se leva et se mis à tabasser Arthur.

Je fermait les yeux, je n'arrivait pas à regarder.

- lâchez le! Je supplier presque Jean.

Il s'arrêta de le frappé et crachat sur lui;
Puis il sortie de la pièce.

Arthur était toujours sur sa chaise. Il avait du sang sur le visage et c'était sûr qu'il allait belle et bien avoir des bleu ça et là.

- je suis désolé Ambre. Mais saches que je ne t'ai pas trahit.

- je le sait. Jean me l'a dit. Merci.

- pourquoi ce merci ?

- pour ta fidélité.

Nous étions rester là pendant plusieurs minutes, voir même des heures.
Puis Jean entra dans la salle avec Rad et un autre homme.

- nous avons envoyé un message au roi pour lui demandé cinquante mille pièces d'Or en échange de ta liberté. Et figure toi qu'il ne nous crois pas et il a dispersé ses garde dans tout le royaume pour te chercher. Il a toujours était aussi idiot ton père ?

Rad et l'autre homme se mirent à rire à la "plaisanterie" De Jean.

-j'ai envoyé l'un de mes hommes apporté un autre message à ton père princesse. Si dans deux semaines il ne nous livre pas les cinquante mille pièce d'Or, il retrouvera sa fille  morte et donné en pâture aux loup.

Arthur voulais parlé mais Rad le gifla.

- bon, Thomas, Rad emmener ces deux-là aux cachots. Et donnés leurs à manger aussi, je ne voudrais pas que la pauvre princesse retourne chez elle toute maigre comme une vulgaire paysanne.

Rad et son acolyte nous emmenèrent dans un cachot et ils nous detachèrent avant de déposer un Sceau d'eau et de ressortir et de fermer la porte à clé.

Je me précipité vers Arthur et je déchiré un pend de mon manteau, que je tremper dans l'eau  pour essuyer le sang qu'il avait au visage.

- ne t'inquiète pas, mon père vas faire ce qu'il demande et nous sortiront d'en moins d'une semaine.

- tu en ai vraiment sûr ?
Me demanda Arthur.

- j'en suis certaines.

*********************

Un mois était passé.
Mon père m'avais abandonné...

Le jour où l'échange devait se faire. Mon ne se présenta point. Il envoya quelques jours plutard un messager à Jean pour lui faire part de sa décision.

Je m'adresse à vous qui retenez ma fille, la princesse Ambre de Gambari Roselyne, prisonnière. Si elle était vraiment ma fille, elle n'aurai point désobéi à mon ordres et n'aurait quitté le palais royale.
Je l'ai renier et je la renie encore une fois aujourd'hui. Ce n'est plus ma fille. Et j'ai un fils qui montera sur le trône. Faite d'elle ce que vous voulez, c'est une enfant Maudite . Je ferai des funérailles en son honneur et je vous ferai parvenir une grande somme si vous me débarasser d'elle. Cordialement votre roi.
MaxenceII.

J'avais pleuré pendant trois jours. Je venait d'avoir une nouvelle preuve qu'il ne m'aimais pas. Si seulement maman pouvait être là. Elle était toujours dans son coma.
Par cette lettre, vide de tout sentiment, mon père venait de me rejeter encore une fois et il voulait même que je disparaisse.
Tout ça à cause de mes mains... Il ne m'a jamais aimé à cause de ma différence.

Jean était en colère ce jour là. Mais il c'était calmé,  et avait attendu de réservoir l'argent promis par mon père et  il recherché un client adéquat dans un autres royaume pour me vendre avait-il dit,  Il n'était pas un meurtrier mais un voleur avait-il ajouté. Un mois était donc passé, j'avais totalité seize ans.

Je travallait donc: je m'occuper de  nettoyer la vaisselle, les vêtements et je prenais soins de la basse-cour.
Arthur lui rester toujours enfermé.
Jean ne voulait pas le tué mais ne voulait pas non plus le laissé partir au cas où il informé quelqu'un de l'emplacement où  j'étais retenus .

Je dormais dans le cachot, qui avait été emménager en chambre et Arthur je ne savais où il était mais j'etait sûr qu'il était toujours dans cette demeure.

La demeure de Jean était assez grande, elle avait trois grand bâtiments.
La maison principal, les cachots et les écuries où il gardais aussi d'autres animaux : c'était une véritable ferme.
Arthur devait sûrement être dans la maison principal, enfermé quelque part. Je me devait de le sortir de là, car après un mois je n'en pouvait plus de cet endroit. Je voulais m'échapper. Mais je ne pouvait pas l'abandonner,je n'y arriver sans doute jamais sans son aide dans la forêt.

Alors je proposait à l'une des servantes d'échanger nos tâches pour la journée. Elle acceptat.
Quand Jean sortie de chez lui accompagné de Thomas, qui en fait était son fils, pour aller rejoindre sa troupes,  je me faufiler donc dans la maison pour aller chercher Arthur et quitté ce lieu au plus vite.