Le palais (2)

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Ambre coupait les carottes... Du moins essayer...
Elle n'avait jamais couper des légumes avant cela. 
Chez la grand mère de Clara, elle s'occuper plus de mélanger  le tout dans la soupe et de surveiller la marmite au foyer.
Mais ici elle devait couper, hacher, écraser, éplucher, et elle avait vraiment du mal.

–  une paysanne hein !  ont dirait plutôt que tu vient d'un palace ! Allez prend ces assiettes et vas les dressées à la table royale ! ...Et ôte moi ces gants!

La cuisinière poussa Ambre en lui donnant des couvert et l'emmena vers la salle à manger royale.

Ambre entra dans la pièce.
C'était aussi grand et beau que la salle de dîné au palais à Celta, pensais t-elle.

Elle se mis à classé les couvert, heureusement que chez elle, elle faisait attention à tout les détails de la table, ainsi elle n'eu pas trop de mal à tout dressé. 

Une fois fini, les servantes apportèrent les plats et la famille royale entra puis chacun se mis à une place.
Quatre servantes étaient désignées pour le service .
La cuisinière en chef désigna Ambre pour faire partie des serveuses au grand dam de celle-ci. 

– tu vas t'occuper de servir le prince héritier Armand. 
Avait dit la cuisinière.
Bonne chance avait-elle ajouté à Ambre alors qu'elle entrée de nouveau dans la salle de dîner.

Le roi d'Aragon, Thomas ,  était veuf  et il avait trois fils. 
Le prince héritier Armand et ses frères , Gustave et Roberto dont Ambre ne connaissait que les noms pour ne les avoir jamais rencontré auparavant.

Les autres servantes se mirent à servir le roi et deux autres personnes alors Ambre se dirigea vers celui qui devait être le prince Armand.
Elle s'avança vers la table, pris l'assiette de soupe dans ses mains légèrement tremblante et s'adressa au prince Armand en ces mots.

– voulez-vous de la soupe?

Le prince Armand la devisageât un court instant de ses iris perçantes,  avant d'accepter d'un mouvement de main.  Ambre fût tellement déstabiliser par le regard que lui avait lancé le prince qu'elle s'était mise à tremblé de plus belle .

–  mais...qu'est-ce donc là? des gants? Pour une servante ?

S'étonner le prince en arrêta le poignet  de Ambre, qui était entrain de lui servir de la soupe,  celle ci trembler tellement qu'elle lâcha la cuillère qui retomba dans le bol et éclaboussa ainsi les vêtements blancs du prince.

– non, mais!  Qu'elle cruche cette servante !  Elle vient de tâcher ma magnifique chemise offerte par le roi de Celta ! 

Ambre s'excusa mais le prince ne voulait rien entendre.

– sortez d'ici !Avant que je n'appelle les gardes. 

– Armand ! Cessez donc! Elle s'est excusé,  vous lui avait assez fait peur et insulté comme cela .
En plus ce n'est qu'une chemise ! Asseyez-vous et mangez mon fils.

Le prince regarda son père furieusement,  puis lança un regard plein de reproches à Ambre avant de sortir de la salle,  visiblement en colère.

– excusez mon fils,  il est toujours de mauvaise humeur depuis son retour de Celta. Il ne fait que renvoyé des serviteurs chaque jours, mais soyez sans crainte il ne vous faira pas partir pour si peu.

Ambre resta calme et hocha simplement la tête.
L'évocation de son royaume lui rappelait des mauvais souvenirs.

– comment vous appelez-vous? 
Demanda le roi.

– Adélaïde, votre Majesté.
Menti t-elle.

Le roi lui demanda de nettoyer les dégâts de la soupe et de retourner aux cuisines,  ce qu'elle fît sans rechigner.

À la fin de la soirée, elle pu retrouvé Arthur pour finalement rentré à l'auberge.
Mais Ambre n'était pas en paix...
Elle se poser une question qui la troublé énormément... 
Qu'était allé faire le prince Armand à Celta et pourquoi était-il de si mauvaise humeur depuis son retour ?

**

Pendant ce temps, quelque part à Eldoret...

Voilà en tout,  un mois et quelques jours que je n'avais pas eu des nouvelles d'Ambre et son ami, Arthur.
J'espérais bien qu'ils ne s'étaient pas éterniser à Karkwa.
S'ils étaient déjà à Aragon j'aurais reçu la lettre de la petite Clara me signifiant l'arrivée de Ambre.
J'étais arrivé ici à Eldoret il y'a maintenant dix jours pour rencontrer mon père qui était en déplacement et venait de rentrer à peine de son voyage à Celta pour les funérailles...

J'hesitais entre continuer ma route vers Or-noir , retourner vers Karkwa ou Aragon ou même rester ici à Eldoret, chez mon père.

– excusez-moi prince Edward, votre père vous demande et tenez, cette lettre arrive de Aragon pour vous. 

Je regarder Gregori, mon fidèle ami et le majordome de la demeure de mon père.
Je récupérer la lettre, et tout en la lisant, je répondais à Gregori. 

– j'ai vous ai déjà dit de ne pas m'appeler ainsi Gregori. Je ne suis pas prince.

– excusez-moi de vous contredire mais vous êtes le fils du roi.

– un bâtard, vous l'oubliez?

Gregori secoua la tête de dépit puis quitta la pièce, suivie de près par Edward.

Edward était le fils cadet du roi d'Eldoret. Un fils eu hors mariage.
Il ne voulait pas créé de troubles entre lui et son frère aîné william, pour la succession, alors il quitta le royaume de son père à l'âge de treize ans et alla vivre avec sa mère sur une île pas loin du continent, un petit royaume appelé Castel Vania où il entra au service de ce roi étranger qui le fut chevalier quand il eu atteint sa majorité.

Puis il y'a quelques mois, alors qu'il totalisait ses vingt, il reçu une lettre venue d'Eldoret de la part de son père, lui demandant de venir en urgence le voir, à Eldoret
Edward décida alors d'installer sa mère à Karkwa puis voulu repartir pour Eldoret quand cette dernière lui demanda un service:  allez à la recherche d'une jeune fille,  il s'agissait d'Ambre.

Edward laissa alors sa mère à Karkwa et alla à Celta à la recherche de cette Princesse.
Les prémonitions de sa mère était toujours exact et il était habitué qu'elle lui demande des services aussi fous qu'allait à la recherche d'une princesse enlevé et de la ramener auprès d'elle.
Il accepta la mission de sa mère parce qu'il n'était pas si pressé de revoir son père, ni même son frère aîné qui devrait bientôt monté sur le trône.

Après avoir accomplit la mission que lui avait confié sa mère, il était prêt à se rendre à Eldoret quand sa mère lui demanda de nouveau de veiller sur Ambre jusqu'à Or-noir, ce qu'il accepta vue que sa destination était sur le chemin ...
Et qu'il ne pouvait laissé une princesse se balader de ville en ville avec pour seul sécurité un vulgaire paysan comme ce Arthur.
Mais Edward n'avait pas prévu qu'il se sépareraient en route ou encore, il n'avait pas prévu qu'il se soucierait autant de Ambre.
Maintenant qu'il avais reçu la lettre de Clara, lui signifiant qu'ils étaient bien arrivaient à Aragon et qu'ils travaillés pour gagner de l'argent dans le but de continuer le voyage, Edward soufflait de soulagement,  il pouvait enfin se détendre en sachant que Ambre serait bientôt ici.

Il entra dans la salle du Trône où son père, le roi,  allait finalement le recevoir. 

La Princesse aux mains d'Or [ Terminé ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant