La Princesse aux mains d'Or [ Terminé ]

À l'Est

Arthur ! Réveil toi!.

Après plusieurs minutes à fouillée les chambres, j'ai finit par trouvé Arthur dans l'une d'elles. Il était vraiment mal en point . Il avait même de la fièvre.
Il ouvrit à peine les yeux, me reconnaissant à peine.

-Arthur, c'est moi ,Ambre !

Il clignait de yeux plusieurs fois avant de prononcer mon nom.

- Ambre ?

- oui, On doit s'en aller avant que Jean ne revienne !

Je l'aidait donc à se lever et on se diriger vers le couloir,  j'entendit la voix de Rad et j'intimer à Arthur de ne faire aucun bruits...

- mais lui aussi il aurait pu prendre sa hache lui-même.

Je rester calme, j'entendit le bruit de la poignée d'une porte. Je fermait les yeux pensant que nous venions de nous faire prendre entrain d'essayer de s'enfuir.. .  plusieurs secondes après j'ai ouvert mes yeux, C'était la porte d'à côté !

Je tirer donc Arthur de toute mes maigres forces et on sortit de la Chambre.
Il tenais à peine sur ses jambes mais fesais un effort pour marchés.
Nous étions sortie par la porte arrière et nous avons courru pendant une bonne dizaine de minutes dans les bois.

- attend! Me dit Arthur avant de s'effondrer sur le sol

- Arthur !

Je tiré le corps inertes d'Arthur , j'avais essayé de le mettre sur mon dos mais je n'y été pas arrivé...il était vraiment lourd.

Nous étions à peu près à Trente minutes de marche du domaine de Jean quand j'aperçu un petit cours d'eau. 
J'allais en profiter pour nettoyer les blessures mal soigner d'Arthur et aussi j'étais vraiment fatigué, il me fallait du repos.

Je nettoyer les blessures d'Arthur, toujours endormi.
Alors que je nettoyer une plaie qu'il avait sur le côté, il se réveilla en sursaut et attrapa ma main; sous la surprise je retiré ma main de son emprise et mon gant resta dans la sienne .

Il m'observa un moment.
Ses yeux faisaient des aller retour entre les miens et ma main. Il retira sans prévenir mon deuxième gants et resta bouche bée.

- de... De l'or ?!

Je lui arracher mes gants puis je me suis levé pour aller chercher du bois et faire un feu et tenté d'allumer un feu pour nous réchauffer... Le soleil commencé à peine à se coucher que la fraîcheur du crépuscule se faisait déjà bien sentir.

Arthur avait vue mes mains.
Quand nous étions chez Jean, je refusé de les retirait parce-que j'avais dit avoir une maladie qui rendait mes mains pas du tout plaisante à regarder c'est pourquoi je devais continuellement mettre des gants. Personnes n'avaient posé des questions.

Qu'est-ce que j'allais dire à Arthur ? Il était bien conscient , il a bien vue.

J'étais rentrais au camp quelques minutes après avec du bois.
Arthur c'était rendormi, et c'était tant mieux . J'allumais donc un feu , avec beaucoup de peine, pour nous réchauffer et je recouvrir Arthur de mon manteau déjà bien déchirer... Il n'était vêtu que d'un pantalon et d'une chemise déchirer. Il devait avoir froid.
Quand à moi, j'avais mon uniforme de servante, une robe sans froufrous, mais assez épaisse pour me protégé du froid.
Je m'assis à ses côtés et me mit à réfléchir à quel mensonge je pourrais inventé.

Devrait je dire qu'il y avait des lucioles sur mes mains? Non, il n'était pas idiot.
Ou peut-être que c'était les rayons du coucher de soleil? Oui, ça pourrais le faire.