La Princesse aux mains d'Or [ Terminé ]

Anne-Marie

Elle était petite de taille.
Une longue chevelure blonde tresser et remonter en un chignon.
Elle avait enfiler un manteau et marcher droit devant elle, Ambre à sa suite, l'observant avec curiosité.

La reine Anne-Marie, après le dîné avait invité Ambre à l'accompagner dans les jardins du palais pour une petite promenade au clair de lune.
Pendant qu'on leurs préparés des chambres pour la nuit, Arthur et Armand étaient passés au salon pour prendre le thé, attendant le retour de la reine et de leur amie.

Ambre chercher ses mots pour entamer la discussion, mais la reine la devançait en lui posant quelques questions.

– si j'ai bien suivie, votre père sachant que vous étiez faite prisonnière, a payé vos ravisseurs pour vous éliminé et à quand même organiser des funérailles en votre honneur malgré qu'il n'avait aucune garantie de votre mort.. .

– c'est exact, Majesté.
Ambre ravalé doucement sa salive. La reine s'était retourner vers elle, et les ombres crées par les plantes et arbres du jardin se reflété sur son visage, et lui donner un air effrayant.

– ... Vous détestait il ?

– mon père n'a jamais vraiment été présent pour moi à vrai dire... Je n'irai pas  jusqu'à dire qu'il me haïssait. Il devait sûrement pensé qu'a cause de mes mains il m'aurait été difficile de diriger mon peuple, il a trouvé l'occasion de m'écarter de la couronne...

Ambre fini sa phrase en haussant les épaules, le regard complètement vide.

– mais il n'aurai pas dû aller jusque là.
Depuis le début de mon voyage, je me force à lui trouver des excuses, mais cela en vain. Il n'a pas agit en tant que père à mon égard ni même en tant que souverain honorable, de plus qu'il a dupé tout le monde... Je veux qu'il paye.

Ambre croisa le regard de son homologue, qui la fixé, les yeux brillant d'un éclat que Ambre aurait pu interprété comme de la colère.

– votre père mérite le châtiment de la mort. Payé des gens pour tué sa fille, qui est d'autant plus la future reine !  C'est impardonnable, même le peuple serait de votre côté. Et je vous assurer que le royaume d'Or-noir vous soutien à fond, ma chère.

La reine avait saisie les mains de Ambre, les serrant légèrement pour lui prouvé son soutien. Ambre sourit. La Reine Anne-Marie était très gentille et elle lui offrait une aide de plus.

– Merci beaucoup Majesté.

– ohh,  Appelez-moi Anne-Marie voyons !  Je le pré sentiment que nous allons devenir des bonnes amies vous et moi ma chère !

Elle lui offrit un sourire malicieux, que Ambre ne put interprété sur le moment.

– rentrons maintenant dans un sujet plus complexe...

– je vous écoute Majesté.. . Euh je voulais dire Anne-Marie !

La reine rit derrière son éventail puis proposa son bras à notre chère princesse à fin de continuer leur promenade.

– comment suis-je sensé annulé la malédiction ?  Croyez-moi ma chère, je n'ai jamais été confronté à une telle situation je ne sait rien du procédé.

Ambre réfléchi un moment.
Elle avait pris le temps d'y réfléchir pendant le dîné,  elle était arrivé à la conclusion la plus simple mais aussi elle lui paraissait bête.

– je pense qu'il vous suffit de le dire, comme si vous faisiez un serment.

La reine regardait son homologue, qui avait la tête lever vers la lune. Sa chevelure courte, brunes était complètement desséché, et elle avait le regard vide.
Elle avait dû en bavé, se dit la reine.
Elle-même ne s'imaginer pas vivre tout un mois dans une quelconque demeure inférieure à son palais mais en plus en tant que servante.
Elle avait en face d'elle une véritable princesse guerrière se disait Anne-Marie, elle ne serait même pas étonné si elle apprenait que Ambre Magnier l'épée, ce qui n'était pas le cas en réalité.

– mon arrière arrière grand père était vraiment un idiot de première classe.

Ambre ne s'y attendant pas, explosa de rire, sous le regard outré de Anne-Marie, qui affiché quand même un demi sourire.

– Excusez-moi. Mais, Qu'est-ce qui vous fait  dire une telle chose Anne-Marie ?  Votre aïeul était pourtant l'un des plus grand dirigeant que le continent n'ai jamais vue.

– oui mais cela n'empêche pas qu'il était un idiot.

Ambre ne comprenant toujours pas où voulais en venir son amie, lui laissant le temps de poursuivre.

– il était catégorique sur le fait qu'une femme ne pouvait pas régné sur l'un des cinq royaume, pourtant moi sa propre descendante et ce d'à peine quatre génération d'écart est reine maintenant. 

Ambre sourit.

– depuis que votre arrière grand mère est devenu reine de Celta, dans les autres royaume, si une femme est première naît de la famille royale elle peut prétendre au trône, fille légitime ou non.

À la fin de sa phrase, Ambre ressenti un frissons... Ce pourrait-il que... 

– rassurez vous ma chère,  je suis la fille légitime de mon défunt père...

Ambre se détendit, car si Anne-Marie n'était pas digne héritière du trône, il n'y aurait pas moyen d'annuler la malédiction.

– ce que je voulais dire c'est que j'avais un frère aînée, décédé il y'a six ans maintenant, et à la mort de mon père le trône m'ait revenu de droit...
Comme quoi, les préjugés du roi Richard en rapport avec la femme en tant que dirigeante n'existe plus à Or-noir aussi.

Ambre sourit.
Effectivement,  le monde évolue...

– bon !  Dit la reine en claquant des mains.

– je crois qu'il est temps d'annuler cette malédiction, et ensuite vous rentrerai chez vous et vous allez faire déguerpir votre père du trône, voir du royaume s'il le faut!

Les deux jeunes femmes riaient de bon coeurs.

– donnez-moi vos mains ma chère.

Ambre retira ses gants et tendit ses mains à Anne-Marie qui les saisies et réfléchi un moment avant de parler.

–  moi, Reine Anne-Marie, fille du roi Dimitri, descendante direct du roi Richard, en tant que digne héritier du trône d'Or-noir, aujourd'hui , par les pouvoirs qui me sont conféré du fait de mon sang royale, je lève la malédiction prononcer par mon ancêtres roi Richard en l'encontre de la reine Allerandria et sa descendance, par le biais de la princesse Ambre Gambari Roselyne, digne héritière du trône de Celta.

Anne-Marie se tut et relacha les mains de notre princesse, qui à leurs grand étonnement étaient toujours de la couleur de l'or.

– je pense qu'il faut attendre demain au levé du jour pour voir les effets.
Proposa Ambre devant la mine déçu de la reine.

– oui tu as sans doute raison.
Rentrons maintenant, il commence à faire froid dehors.

La reine tendit de nouveau son bras à Ambre, Celle-ci remis ses gants avant de saisir le bras de son amie et de se diriger vers le palais.

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