Chapitre.38

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L'euphorie est plus que présente, je suis au milieux de l'aéroport, je suis dans le terminale 2. Son avions à atterrit il y a 20 minutes déjà. Il ne sais pas du tout que je vient le chercher, il ne voulait pas que je me fatigue alors il ma demandée de rester chez moi, mais  c'est évidement je ne l'ai pas écoutée. Owen ma accompagnée car je n'ai toujours pas le droit de conduire. 

Il est la, je le voie au loin, je ne peut pas courir, je suis clouée dans mon fauteuil,  j'ai refait une crise,  je suis vraiment faibles en ce moment, mon corps n'arrive a plus a me soutenir. 

Je me met debout devant lui, il pose ses sac si vite que je ne me rend même pas compte que je suis déjà dans ses bras. J'enfouis ma tête dans son cou, il me porte comme pour alléger mon corps, il me pose dans mon fauteuil, m'embrasse tendrement. Puis il dit bonjours à mon frères et on repars en direction de chez lui. 

Il est 9h15 quand je me réveille a ses côté, après qu'il soit rentrer chez lui pour passer la journée avec sa famille, il est venu dormir avec moi,  j'aurais du lui dire la décision que j'ai prise hier, mais je ne voulait pas tout gâcher... C'était la première fois qu'il me voyais depuis mon coma, je sais que ça la vraiment attrister, me voire inerte sur un lit d'hôpital, la douleur qu'il a du ressentir, je voulais le protéger au moins une nuit. Mais je doit lui dire, je ne peut pas lui cacher ça. 

Emma: Mon amour, je doit te dire quelque chose..

Arron: Oui? Ho c'est pour me dire a qu'elle point tu m'aime! Arron je t'aime! J'aime tes cheveux! 

 Il me dit tout ça en voulant commencer une bataille de catch, mais du gentil catch. Je vais jamais arriver a lui dire si ça continue... 

Emma: Non! Enfin si je t'aime toi et tes cheveux mais je doit te dire quelque chose d'important. J'ai décider d'arrêter mon traitement, je vais arrêter de le prendre début janvier. Ma maladie a trop progresser, elle a attaquer mon cerveau et on ne peut rien faire, l'opération peut être effectuée mais je ne veut pas la faire, je ne veut pas mourir sur une table d'opération, ou devoir passer 1 ans en rééducation et mourir deux ans après, je préfère tout arrêtée, je sais que dans n'importe quel cas je ne m'en sortirais pas... Je sais que tu espérait beaucoup de chose mais je ne tiendrait pas. 

Arron: Non.. Non...Non...Tu peut pas nous faire ça! Pas à moi, pas à nôtre couple! Tu peut pas mourir. 

Emma: Je suis sincèrement désoler mon cœur, mais pour moi ces impossible de rester comme ça, dans cette situation ou je passerais la fin de mes jours dans une chambre sans vie. Je préfère raccourcir le peu de jours qu'il me reste mais être avec ma famille, au soleil, avec toi. 

Arron: Tu en as parler a ton médecin? Tu as réfléchie correctement? Tu est sur de ton choix? 

Emma: Oui pour tout, je suis vraiment sur de moi, mon médecin est d'accord avec mon avis, je suis épuisée. 

Il se lève d'un coup, il se dirige dans la salle de bain et ferme la porte,  j'entend l'eau coulée puis je l'entend pleurer. L'entendre me brise le cœur, je rentre dans la salle de bain, il est assis par terre, ses genoux replier sur lui même. Il lève la tête, me voie et pleure encore plus, je m'assoie a coté de lui, mêle ma main à la sienne, pose ma tête sur son épaule. 

Arron: Je veut pas que tu parte, je veut que tu reste avec moi. 

Je le regarde dans les yeux, je lui caresse la joue et l'embrasse, le baiser se fit délicat puis la passion commença à venir. On  se décolla, dans nos regard passa une approbation, comme si on avait besoin de ces moment intimes, de la chaleur de l'autre, de la passions et surtout de l'amours, plein d'amours. Il me porta jusqu'à mon lit, m'allonge dessus, puis on commença à se chauffer, on se fit des bisous dans le cou, les bisous de fit de plus en plus bas, les regards de plus en plus coquins et nôtre désir de plus en plus grands. Mes main descendis sur son pénis, puis les rôles s'inversa, il monta sur moi, puis dans un seule regard son pénis pénétra dans mon intimité avec tout nôtre amour. Aujourd'hui nous avons fait l'amour avec de la peine dans nôtre cœur et surtout de la tristesse dans les yeux.  







Moi Emma....et mes 9 frèresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant