XIII

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Le lendemain matin

Je me réveille très fatiguée.
J'ai très peu dormis passant ma nuit à cogiter.

Je me lève, prend une douche me prépare et va dans la cuisine pour déjeuné.
Mais je n'avais pas faim, mon appétit était coupé.

Je prend mon téléphone et appelle la banque.
En espérant avoir un rdv dans l'après-midi.

« - C'est assez urgent il faudrait que dans l'après-midi je puisse venir !

...

- Parfait 16:00 j'y serais, je vous en remercie au revoir. »

Une bonne chose de faites.
Mon téléphone se mit à vibrer.
Le message d'Hatik me disant qu'il m'attendait.

Je prend mes affaires et descend le rejoindre.
Il est toujours à la même place entrain de m'attendre patiemment.

- T'es en retard aujourd'hui !

- J'étais au téléphone.

- Avec qui ?

- La banque, j'ai rdv cette après-midi.

- Mmh !

- Et toi t'es matinale.

- J'ai cours il faut bien que j'y aille.

- Hatik...

- Commence pas ton discours ouais les études c'est important on le connaît tous ce refrain.

- Non, je suis fière de toi !

Il ne savait pas quoi répondre.

- T'es un battant qui ne baisse jamais les bras ! Et je serais là quoi qu'il puisse arrivée tu peux compter sur moi !

- Aâna...

On nous coupa dans nos paroles.
Une voix toute douce venue nous interrompre.

- Hatik, tu peux me ramener à l'école stp ?

- Lyana elle est où maman ?

- Elle dort encore !

- Vas-y vient.

Je regarde Hatik.

- Laisse moi la déposer j'ai du temps encore.

- Non, je vais le faire.

- Tu vas arrivée en retard. Laisse moi je suis à côté.

Hatik expliqua à sa sœur que j'étais une amie et  que j'allais la déposer. La petite était contente.
Hatik me la présenta.

- Enchanté Lyana, moi c'est Aâna !

- Salut Aâna !

Elle me prit la main puis on a fait le trajet jusqu'à l'école.
On arrive devant la porte de l'école.

- Voilà Lyana on est arrivée. lui dis-je.

Elle m'enlace fort contre elle.
Je la pris et la réconforta.
Elle me chuchota un merci dans mon oreille. Je lui rend un sourire.

- À plus tard Lyana et travaille bien !

Je la laissa s'éloigner de moi, je lui finis signe de la main.

Tout sa je n'ai jamais connu et connaîtrait très certainement jamais, l'amour d'un frère ou d'une sœur.

Je marche en direction la fac.
Je fais un petit message prévenant Hatik que la petite est bien à l'école.

Adieu, mon amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant