XV

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Le lendemain matin

Je me réveille.
Lyana dans mes bras.
Je lui pose un petit baisser sur sa tête et me lève lui préparer de quoi déjeuner.

Hatik m'a envoyé un message dans la nuit pour savoir si tout aller bien.
De son côté il me dit que sa mère était dans un état pitoyable qu'il a du s'occuper d'elle.

J'étais dans mes pensées. Enfin je pensais plus tôt à Hatik et toute sa situation.
Il en dosse plusieurs rôle à la fois.
Celui de parent pour Lyana, de « mari » pour sa mère, et de bras droit pour son frère.

Dans toute sa lui il n'est nul part !
Il passe toute sa famille avant lui.

Je comptais pas le lâcher.
Je l'aiderai au maximum notamment pour Lyana.

Mon téléphone sonne un message d'Hatik me disant qu'il est au pied de la porte.
Je pars lui ouvre.

Il avait des cernes à tomber par terre.
Très clairement une mauvaise mine.
Il n'avait que très peu dormis.

Il entre et me suit dans la cuisine.
On s'assoit l'un en face de l'autre.
Je lui pris sa main.

Son regard me brisa, un regard complètement vide.

- On trouvera une solution pour ta mère !

- J'ai tout fait Aâna ! Je me suis battu pour qu'elle arrête mais à chaque fois il y replonge !

- On peur l'envoyer en cure !

- On a pas les moyens.

- On trouvera une solution.

- J'espère. Lyana dort encore ?

- Oui elle est dans ma chambre si tu veux aller la voir.

- Aâna merci !

- Merci pour quoi ?

- Pour tout ce que t'as fais pour moi, depuis le début je t'en fais voir de toute les couleurs.

- Tu es tout pardonner si c'est sa le problème.

- Et ?

- Oui ?

- C'est comment pour ton père ? Ça avance ?

- J'ai pas encore eu le temps de m'occuper de sa !

Hatik s'en va dans la chambre voir Lyana.
Il la réveille.
On déjeune.
Lyana était tellement heureuse.
L'insouciance d'une enfant je trouve sa tellement beau !

Hatik me dit qu'ils vont rentrée.
Lyana m'enlace dans ces bras et me chuchote un merci.

Hatik me lance un regard et referme la porte derrière lui.

*

La réalité me rattrape.
Je vais dans ma chambre récupérer les dossiers.

Cette fois-ci je coupe tout. Afin qu'on me dérange pas.

J'ai les dossiers dans les mains et l'album.
Je vais m'asseoir sur le canapé.

Mon cœur bat à cent à l'heure.
Je prend une grande aspiration.

J'ouvre le premier dossier.
Je prend la première photo qui me tombe.
Je la contemple pendant plusieurs minutes.

C'est ma mère.
Je n'ai pas de mot.
Je n'avais jamais vu de photo encore d'elle.
Toute ma vie j'ai vécu dans l'inconnu.
Je me suis jamais trop posé de question vis à vis de mes parents car personne voulait m'en parler. Donc à force j'ai finis par faire comme si personne n'existait !

Mais là avoir le visage de ma mère était un cadeau, tout ma vie je rêvais de voir celle qui m'a donné la vie.

C'est fou ce qu'elle était belle.
Je tenais mes beaux yeux bleus d'elle.

Après avoir contempler pendant de longues minutes la photo, je me suis mise à lire les pages derrière.
Des larmes se misent à couler.
Au fond, j'étais peiné de devoir découvrir à 18 ans l'identité de sa propre mère, celle qui m'a mise au monde...
Il n'y a pas de douleur plus profonde que l'abandon !

Nom : Garcia
Prénom : Mélina
Née le 17 mai 1985 à Madrid

Ma mère avait donc très certainement des origines espagnol du côté de son père chose que j'ignorais totalement.

Il était noté juste en dessous l'identité de ses parents, son adresse.
Elle n'était pas mariée, je suppose qu'elle était juste en couple avec mon père.

Il est noté qu'elle était enseignante.
Petit à petit j'en apprenais plus sur ma mère et sa me fessait tellement bizarre de ne pas savoir tout ces détails.
Je n'aurais jamais la chance d'avoir mes 2 parents ensemble réunis.
J'aurais tellement aimé connaître ce que s'est l'amour d'un père et celui d'une mère.

Je continue de regarder le dossier je tombe sur une photo de ma mère accompagné d'un homme qui m'est évidement totalement inconnu !
Je la met de côté.

J'ouvre ensuite le second dossier celui-ci concernant...

La suite dans la prochaine  partie...

Adieu, mon amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant