XIV

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Je suis assise dans la cuisine.
Les dossiers fassent à moi n'attendant juste que les ouvrent.

Sa se met à sonner à la porte.
Putain, je peux pas être tranquille.
Je range en deuspi les dossiers.

Je me lève ouvrir en fureur.

- Quoi ??

- Tu te calmes déjà ! C'est quoi ces manières.

- Désolé.

- Il t'arrive quoi Aâna ?

- Rien l'histoire avec mon paternel me prend la tête !

Elle me prit dans ces bras.
En réalité, j'avais juste besoin d'être rassurée.
Maria l'avait compris.

- On va géré ça à 2 !

Nous rentrons dans l'appart.
Elle commence à me poser un tas de question.

« Qui te connaît ici ? »
Bien évidement je lui ai mentis en disant personne.

« Quelqu'un à ton nouveau numéro à part moi dans les services sociaux ? »
Négatif.

« Laëticia n'a rien laissé concernant tes parents ? »
Je lui mentis encore une fois.
Je ne sais pas si je devrais lui dire donc pour l'instant je lui cacha cela.

« Ton adresse on peut la retrouver nul part sur internet ? »
Aucun moyen !

On tournait en rond.
Puis elle me dit.

- Tu vas devoir quitter la ville !

Je me lève

- NON ! Hors de question !

- Il en va de ta sécurité ! On ne sait qui est cet homme !

- Jamais je ne partirai ! Sa serait avouer une peur, une faiblesse ! Et sa JAMAIS !

- Tu comptes prendre le risque ? Imagine il t'arrive quoi que se soit, je ne peux être la pour te protéger.

- Je me débrouillerai comme à mon habitude seule ! Sa date pas d'aujourd'hui.

- Pas ce que je voulais dire.

- Laisse tomber Maria, je suis majeur c'est bon il faut j'apprenne à me demerder seule !

- Aâna !

Je quitte l'appart.
J'avais besoin de respirer.
Je marchais sans savoir où aller.
Je voulais juste changer d'air.

Je me retrouve dans le parc.
Plus j'avançais, plus je voyais ce visage qui m'était familier.
Je continue de marcher et m'arrête à sa hauteur.

Elle avait la tête baisser.

- Lyana ?

Elle leva sa tête.
Elle avait mauvaise mine.
Je m'assoir près d'elle.

- Qu'est-ce que tu fais ici seule ?

Elle me répond pas.

- Où es ta mère ?

- Elle est à la maison dans un sale état comme tous les jours.

- Et Hatik ?

- Il est pas rentrée cette nuit.

Adieu, mon amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant