the walking dead survive ou mourir

Chapitre 4

Quand je parvient à ouvrir les yeux, avec de mal. Je suis confortablement installée dans un lit... Tout pourri... Mais un lit. Le soleil caresse légèrement mon visage à travers les feuilles des arbres et me réchauffe doucement mon visage couvert de sang.je suis bien, je commence à regarder le ciel. Quand tout a coup, je réalise que j'étais entrain de rêve... Et cela commence à me faire flipper... Puis tout me revient en plein visage. La réalité macabre de ce monde me frappe une fois de plus en plein visage.

En me relèvent tout doucement, en faisant le moins de bruit possible, pour pas à mettez les rôdeurs. Je recherche mes armes, c'est armes appartenez à ma mère il me sont très chers sa me permet d'être plus proche d'elle dans est moment là... En les retrouvent je réalise que Maggie et Hershel ne sont plus là... On a dû être séparés, mais je me rappelle de rien, apare Hershel qui a crier attention.

Moi : maggie... Hershel.

En crient leur nom, je me rend compte que je venais d'attirer trois foutu rôdeurs vers moi... J'attrape un bâton assez pointues et saute sur le proche... Je me retourne pour tuer le deuxième et jette le bâton et le plante dans le derniers ce qui me réconfort vraiment.

Hershel : cartwer enfin je t'es enfin retrouvé... viens vite.

Moi : j'arrive .

Je récupérer mes armes et lui suis jusqu'à maggie.

Maggie : OK... On doit essayer de retrouver Daryl et carol... Tu sais où tu les a vu depuis la dernière fois.

Moi : oui.

Maggie : Alors tu vas nous y emmener.

Moi : mais c'est à plus de trois jours de marche... Tu te rends compte que sa fait plus d'une semaine que je marche pour ne pas rencontrer les rôdeurs qui on probablement tué tout le monde.

Maggie : je t'es dit qu'il n'était pas mort.

Moi : qu'est-ce que tu en sais... Tu étais même pas la... D'ailleurs tu étais où tout se temps, ils avait besoin de toi et tu les a laissé.

Maggie : attend cartwer.

Moi : lâche moi... C'est par la.

Maggie : quoi j'ai rien dit.

Hershel : tu sais maman a ça place j'aurais réagir pareils.

...

Est me revoilà à marcher vers ce que j'essaye de fuir depuis un moment et bien sûr je le fais car Maggie en a besoin, j'aurai jamais du lui parler comme ça... mais c'était plus fort que moi fallait que sa sorte.