ɮeast ʅove [PAUSE]

12• Bienvenue à Nosteria

  L'odeur de la nourriture, une ruelle presque interminable, il se peut que le garçon soit enfin arrivé à sa destination, il y avait quelques personnes et la chose plus surprenante était le fait que ce n'était presque des bêtes, il y a peu d'humain, certainement les autres participants, on dirait bien que cette ruelle est réservée pour eux. Le temps commence à être plus joyeux, les nuages gris s'écartent petit à petit, laissant les rayons du soleil rejoindre le sol. L'humain décide d'ouvrir la lettre et le livre que Kamui lui avait donnés, elle expliquer les environs de cet endroit et de ce qu'on pouvait y trouver. Il était perdu dans ses pensées, il y avait énormément de chose, des restaurants, des petits bars avec l'odeur de l'alcool coulant à flot et des petits supermarchés pour faire ses propres courses. La bonne ambiance était présente, des gens chantés à l'unisson en ce tenant chacun les épaules en faisant des pas si maladroits, cela le jeune garçon un petit rictus qui lui fit se sentir bien pendant un court instant mais ce n'était que le début.

Soudainement, il sentit deux mains se poser en face de ses yeux lui bloquant totalement la vue, il entend un simple "Bien le bonjour!" avec un ton dynamique et très souriant. L'humain se retourne rapidement et remarque le loup qui l'avait défendu.

  • ??? : Je vois que tu as bien reçu ma lettre, c'est déjà un grand soulagement de te voir debout.

  Réalisant parfaitement qui était le loup en face de lui, le garçon lâche un petit sourire de voir un visage familier dans cette ruelle remplie de bêtes. Le loup se rapproche doucement du visage du garçon en posant sa main sous son menton, comme s'il se questionne.

  • ??? : Et je ne t'avais jamais vu sourire auparavant, j'en conclus que tu es en pleine forme et même encore mieux.

Le garçon ne l'avait même pas remarqué lui-même, était-ce vraiment la première fois qui souriait honnêtement et sans honte? Oui, c'était bien la première fois, le regard et l'attention du loup firent rougir ses joues, autant d'attention pour une personne si futile et inconnue du monde.