Je me réveille le lendemain avec une légère migraine . Je vais prendre une douche et m'habille d'un jean et d'un t-shirt noir . Je mets mes baskets blanches puis me lisse les cheveux .
Je me dirige vers la salle à manger et dans le couloir j'entends des bruits de couverts qui tintent entre-eux . J'en déduis qu'ils sont tous à table .
J'inspire un grand coup et les rejoins . A ma grande surprise ils sont tous à table . Même mon père qui d'habitude évite d'être réuni avec nous .
Bien sûr tous les regards se posent sur moi mais je me fais violence pour ne pas y faire attention .
Je me dirige vers ma petite sœur et lui fais un bisou à la joue . Je m'assieds ensuite à côté d'elle , et par ailleurs à côté de ma mère .
J'opte pour un bonjour général auquel ils répondent tous et me mets à manger .
Ma mère : Euh Aïda, ton directeur m'a appelé pour me prévenir du stage de trois semaines que certains élèves de ta classe devront effectuer à l'étranger.
Mon père : Comment se fait-il que nous n'étions pas encore prévenus alors que c'est prévu dans une semaine .
Moi : Faut croire qu'on se cache beaucoup de choses plus ou moins graves dans cette maison .
Arthur : Elle m'en avait parlé il n'y a pas longtemps . Elle a sûrement dû oublier . Elle ne comptait rien vous cacher .
Moi : Merci monsieur le chevalier mais on ne t'a rien demandé . T'es pas obligé de me couvrir . Je comptais vous en parler aujourd'hui .
Mon père : Aïda nous sommes bien conscients que ce qui s'est passé hier t'a affecté mais...
Moi : Tu n'as rien à me dire . Je n'ai jamais compté pour toi donc arrête de jouer au père consolateur .
Le téléphone d'Arthur sonne et au même moment Aïcha se lève en trombe et quitte la table . Quelques secondes plus tard Arthur se lève aussi pour aller répondre au téléphone.
Mon père : POUR QUI TU TE PRENDS ?
Moi : Merde ! Tu te rends compte que toutes ces années tu me boudais pour quelque chose qui n'était pas ma faute ?
Je me lève , vide mon verre de jus d'orange et prends un croissant . De mon autre main j'empoigne mes clés et décide d'aller faire un tour .
Pdv Arthur .
Je me dirige vers ma fenêtre lorsque j'entends le portillon se refermer.
Je me penche par dessus le rebord et suis ma cousine du regard .
Moi : TU NE POURRAS PAS FUIR TA MAISON ÉTERNELLEMENT.
Elle : CE N'EST PAS ELLE QUE JE FUIS MAIS LES GENS QUI Y HABITENT .
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《 UNMENTIONABLE 》
RomanceEn français , 《 INAVOUABLE 》 Il est clair qu'un secret lie Aïda et son cousin Arthur . La vraie question est de savoir lequel ? Date de création : 01•05•2019 Date de publication : 09•06•2019 Date de la publication finale : En cours / AUTRES HISTOIR...