Shoto le fantôme de mon passée

Dis moi tout

Après l'annonce de M.mera j'étais remonter à bloc sachant maintenant que rien n'étais perdu.

Ma classe avait décider d'aller manger une glace tous ensemble après l'examen pour décompresser.

En sortant du centre une personne avec une grosse touffe de cheuveux blonde mal coiffée étais dans mon chemin et m'empêchait de sortir.

Moi: « tu est dans mon chemin bouge »

Il se retourna et je reconnue le garçon à qui avais parlé Nagamasa tout à l'heur il se nommais Katsuki Bakugo si mes souvenirs étais bon.

Bakugo: «huh? Tu te prend pour qui ? »

Moi: « Mayoi Ankoku, toi qui est tu ?»

Bakugo: « tch je suis celui qui va t'exploser la face avec ses mains si tu continue à me chauffer »

Il créa des explosions à partir des ses paumes se qui ne m'impressionna pas le moins de monde, encore un aspirant héros qui se crois supérieur juste car son alter fait du bruit.

Moi: « cause toujours ta braguette est ouverte »

Il baissa la tête pour vérifier mon mensonge et j'en profita pour passer devant lui et monter dans mon bus, je l'entendais crier qu'il allais me tuer ou d'autre insulte futile pour des gens de notre âge mais je n'y fit pas vraiment attention.

Pendant le trajet retour dans le bus je repensait à l'attitude de shoto envers moi, pourquoi vouloir m'aider alors qu'au pars avent j'avais expressément exprimé le désire d'être meilleur que lui sur tout les points, il aurais du comprendre et lâcher l'idée de nouer des liens avec moi après toute ses années à me côtoyer il n'avais toujours pas compris?

J'en conclut qu'il devais être mauvais pour comprendre les relations humaines et laissa tomber.

Une fois arriver ma classe et moi nous nous dirigions vers une crêperie qui fessait de super cafés et glaces, on s'essaya sur une grande table et discutions de la journée.

Personne n'avais encore abordé notre échec à Inasa et moi, je savais qu'il le vivait mal au fond même si il souriait comme à son habitude.

Luyi une de mes camarde de classe et amie me regardait dejas depuis un moment, je me retourna pour lui faire face et lui demander se qui clochait.

Moi: «j'ai de la glace sur le visage ?»

Luyi:( elle me sourie gentiment )«oh non non c'est pas sa c'est juste que»

Luyi étais l'une de mes amie les plus proche, étant de nature très timide cela m'avais étonnée qu'elle vienne me voir d'elle même le premier jours de rentrée.

Elle étais toujours bien coiffée avec ses deux petite tresse attacher en arrière, son uniforme toujours bien repassé et ses joue qui rougissent à la moindre émotion qu'elle ressentais.

Elle étais dévouer à ses amie et étais l'une des perssone encore doté de gentillesse à notre époque, elle voulais devenir super-héros pour soigner les autres.

Son alter assez similaire à celui de Recovery Girl consistais à réparer tout type de matériaux, peau, os, fer ect.. en utilisant une lumière blanche qui sortais de ses yeux, on n'avais pas encore pu déterminer la composition de cette lumière mais elle serais très utile en tant qu'héroïne.

Quoi qu'il en sois je la considérais comme ma seule vrai amie, elle restait avec moi dans tout les situations, même quand je m'attirais les foudre des terminale.

Et je savais reconnaitre quand elle avais quelque chose à me dire mais qu'elle avait peur de me mettre en rogne ou de me vexer et de me perdre.

Elle me regardait avec une mou désoler et je ne comprenais toujours pas où elle voulais en venir.

Moi: « c'est que ? »

Luyi: « tu peut me raccompagner chez moi ? (finit elle par lâcher ) »

Moi: « eu oui tu veut que je t'ouvre un portail ? »

Luyi: « non non je préfère qu'on marche si tu veut bien »

Elle me pris par la mains salua tout le monde et nous fit sortir de la crêperie, on se mis à marcher et je m'amusait à courir derrière les oiseaux pour les faire s'envoler, elle restais derrière moi sans rien dire.

Je commença à en avoir marre , alors pour la faire parler je m'arrêta et m'asseyais sur un muret adosser à une barrière.

Luyi: « on est encore loin tu sais »

Je tira une tronche pour lui montrer que je ne bougerais pas d'ici.

Moi: « dis moi se qui te préoccupe sinon je ne bouge pas d'ici »

Elle hésita puis vînt s'assoir à coter de moi.

Luyi: « je t'ai bien observé aujourd'hui tu sais, et, je ne veut pas te bléssée car je sais se que tu a enduré dans le passé et je sais comment tu a dû prendre sur toi pour laisser les gens entrée dans ta vie, des gens ( elle rigola doucement) surtout moi, et je t'en suis reconnaissante»

Tout son baratin commençait légèrement à m'agacer, je coupa donc ses explications en ouvrant un portail pour lui dire d'en venir au but.

Luyi: « D'ACCORD, D'ACCORD ( dit elle en agitant ses bras pour que je reste )..... tu n'est pas passée à autre chose dans le fond ( finit-elle par lacher ) tu te voile la face et si tu ne te libère pas à 100% tu traînera toujours un bout de ton ancienne vie avec toi mayoi »

Elle venais de me parler à cœur ouvert pour la première fois, je ne m'attendais pas du tout à cela, elle me regarda et continua.

Luyi: « se garçon Shoto, tu ne m'en a pas beaucoup parler mais j'ai vite compris que tu le connaissait bien plus que se que tu m'avais expliquer à l'examen, c'est un bon exemple pour te montrer que tu a toujours une rage profonde en vers ton passé et les personnes qui en on fait partie, cette rage ne te mènera nul pars saufe à ta perte si tu ne t'en débarrasse pas»

Luyi: ( elle me pris les mains) « je tien beaucoup à toi mayoi et je voie qu'au fond tu souffre encore alors plus rien ne devrais t'attendre si tu étais vraiment passé à autre chose, je ne pouvais pas rester les bras croiser sans rien te dire sachant que tu allais continuer à garder cette partie de toi étouffer au lieux de t'en débarrasser»

Ses mains tremblait et ses yeux s'humidifiais, elle me pris dans ses bras .

Luyi: « laisse lui une chance pour voir qu'il a changé, réconcilie toi avec le dernier point qui te relie avec ton passé à libère toi pour de bon »

Elle me lâcha et s'essuia les yeux en souriant.

Luyi: « c'est tout »

Elle souriait de tout son être et se leva m'entraînant par la même occasion, elle courait vite toujours plus vite.

La voire s'ouvrir plus à moi m'avais fait plaisir et même si je n'avais pas encore digéré se qu'elle m'avait dit je couru avec elle.

Après l'avoir raccompagné chez elle j'étais rentré chez moi en essayant de ne plus penser à ses paroles car je ne voulais pas lui donner raison, je ne pouvais pas encore être faible, je ne pouvais plus.