My Life Is Strange

Chapitre 40

Il y a 9 ans.

PDV Erine

Je suis allongée à côté de Peyton, dans le lit de sa chambre miteuse.
Comme depuis un moment, j'ai d'extrême nausée, j'arrive juste à temps au dessus du vieux toilette.
Peyton vient tenir mes cheveux.

- Erine, faut que tailles voir un médecin, tu trembles et vomi h24.

- C'est parce que j'ai plus de beuhh. Je rétorque.

- Tu devrais recontacter ta mère.

- Hors de question ! Je m'énerve. Je n'ai besoin de personne.

Et surtout pas de ma chère mère.

- Arrête Erine, je sais que Molly te manque aussi.

Elle n'a pas tord sur ce point, la bouille de ma petite soeur me manque, ça fait 2 mois que j'ai coupé les ponts avec elles.
Mais si j'appelle Molly, ma mère sera la et je veux plus voir sa gueule.
Peyton poursuit :

- T'es en plein sevrage, tu as besoin d'elles. Toi même tu sais que ses paroles t'ont touchées et que c'est pour ça que tu essaies d'arrêter.

- Non ! Si je le fais, c'est pour N..Nate, il m'aurait détestée comme ça.

- J'en doute, il avait une mauvais influence sur toi et il te trompait et tu le sais. Et je doute qu'il y ai que ça.

- TA GUEULE PUTAIN TA GUEULE, IL M'AIMAIT OK ? ET TU NE SAIS RIEN DU TOUT !

- Erine, on sait rencontrées dans le fart club, tu sais aussi bien que moi que tu n'y étais pas pour rien, c'est les gens douteux qui vont la bas.

- Je te rappelle que tu y été toi aussi.

- Mais moi je fais parti d'un gang, c'est normal. Tu cherche quoi Erine ? Qu'on retrouve ton corps une seringue dans le bras ?

- Fou moi la paix Peyton.

Elle sort des toilettes.
Mon téléphone sonne, le message vient d'un numéro inconnu :

"Que dirais tu de revoir ton père ?"

Papa ? Quoi !? Non !! Impossible.
Il est partie et ne reviendra jamais point.
J'éteins mon téléphone et rejoins Peyton.

***

Depuis ce message, ça cojite dans ma tête, qui est cet homme ?
Est ce que c'est vraiment possible que je revois mon père, après 3 ans, en ai je envie ?
Ma curiosité prend le dessus, je réponds au message.

"Qui êtes vous ?"

La réponse arrive dans la minute.

"Je savais que tu répondrai, tu as toujours été très curieuse"

"Vous n'avez pas répondu à ma question, qui êtes vous ?"

"Ton père"

Non, c'est impossible comment aurait il eu mon numéro ?
Je réponds :

"Impossible, comment avez vous eu mon numéro ?"

"Je sais tout Reine Erine, je sais aussi que t'es nausées ne sont pas du qu'à ton sevrage, il y a des signes qui ne trompent pas"

La panique me gagne.