My Life Is Strange

Chapitre 25

Je me réveil à 13h, Matthew n'est plus dans mon lit.
Quand j'arrive dans la cuisine, il est juste en short de sport et semble cuisiner.
Je sais qu'on est juste amis mais je vais pas me priver de matter son merveilleux corps. J'ai une putain de vue dès le matin moi, qu'elle chanceuse je suis.
Je m'approche silencieusement, il sifflote en cuisinant.
So cute.
Je saute sur son dos et m'y agrippe tel un koala à son arbre.

- Molly ! Tes réveillée.

J'enfuie ma tête dans son cou.

- Hmmmm.

Il sent trop bon, c'est abusé.

- Je t'ai fait des pâtes, à la carbo, t'es préférées.

- Oh merci merci merci merci.

Je lui fait pleins de bisous sur sa tête, il rigole.

- Bon par contre, faut que tu descendes de mon dos si tu veux manger.

- Bon bah je mange pas alors.

- Aller descend la moche.

Je lui mors gentillement l'oreille suite à ce surnom.

- Je rigole Molly, tu sais très bien que je te trouve trop belle.

Je rougis.

- Aller, manges tes pâtes. Il me dit.

- Main non, tu sens trop bon, je veux continuer de te sentir.

C'est vrai que dit comme ça, ça fait chelou.

- Eh bah va chercher un de mes tee-shirt, il soupire.

C'est exactement ce que je voulais, je saute de son dos et cours chercher son tee-shirt de la veille, comme ça j'aurais encore plus son odeur que si il était propre.
J'enlève mon pull et l'enfile, il me crie :

- Les filles sont où ?

- Elles sont chez Harper.

Je reviens dans la salle à manger où une assiette de pâtes m'attend.
Je commence à manger, Matthew me fixe.

- Pourquoi tu me fixe ? Je lui demande.

- Ça va ?

- Bah oui pourquoi ?

- Je sais pas, par rapport à tes révélations de ce matin.

Ah oui, c'est vrai.
Je dis rien et continue de manger.

- Tu regrettes de m'en avoir parlé ?

- Non, juste je veux pas qu'on me plaigne ou qu'on ai pitié de moi et je suis mal à l'aise que quelqu'un connaisse mes faiblesses.

Il prend ma main dans la sienne et relève mon menton.

- C'est pas des faiblesses de pas avoir eu de chance avec sa famille. Et peut importe ce qui peut se passer entre nous, jamais je dis bien jamais je parlerai de ça à qui que se soit.

- Merci, je lui souris.

Je recommence à manger.

- Bon, je crois que tu as un rendez vous ce soir.

Oh oui, putain c'est vrai.

- Oui, je sais pas où il m'emmène donc je sais pas comment m'habiller.

- Habille toi simple mais classe. Il suggère.

- Ouais, tu as raison.