Chapitre 3: Le début d'un jeu dangereux

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Et voilà le chapitre 3 ! C'est là où l'histoire commence réellement... (je tiens à préciser que je trouve cette phrase stupide... Je la trouve dans pas mal de fic, mais franchement, l'histoire commence à son début, tout simplement ! Est-ce que suis en train de me critiquer ? Oui, de façon très étonnante ! (Ou pas (Une parenthèse dans une parenthèse à laquelle on ajoute une autre parenthèse... Le français n'est-il pas magnifique ?)))

Le monde d'Harry Potter appartient à J.K Rowling (M'enfin bon, qui ne le sait pas de nos jours... Je tenais tout de même à le préciser) ! Oh vous pensiez que c'était à moi ! Je suis émue... Mais je peux vous affirmer que l'histoire, Aries, la trame, le déroulement, certains lieux, Aries en lui-même encore, l'ensemble de mots ci-dessous m'appartient entièrement !

LWL.

1999

' Prends garde !

L'avenir est une peste !

Elle te plantera le couteau par derrière,

Et tu ne verras rien venir...'

Nous étions le 19 septembre, et dans un restaurant l'on voyait un groupe d'amis s'amuser, dans ce groupe, il y avait : Ginny et Ron Weasley, Hermione Granger et Harry Potter. Ils fêtaient l'anniversaire d'Hermione Granger, fille née moldus, dont les parents étaient dentistes. Elle allait avoir c'est 18 ans. Ils regardaient des personnes joués au piano ou au violon, quand ils n'y eu plus personne, Harry proposa quelque chose.

- Et si on jouait ? dit-t-il se levant et tendant la main vers Hermione.

Harry savait qu'Hermione jouait du violon. Et il savait aussi qu'elle ne savait pas que lui jouait du piano. Il ne l'avait jamais dit, ni montrer à personne. Hermione attrapa la main d'Harry, et se leva en souriant. Après qu'elle et prit place au centre de la pièce, le violon en main, elle parut étonnée de voir Harry se placé en face du piano. Il lui jeta un regard, les yeux interrogateurs et Hermione lui fit signe de commencer, et qu'elle suivrait ensuite.

Dès qu'Harry posa le doigt sur une touche du piano, ils entendirent des hurlements. Les gens se mettant à courir, alors que des mères appelaient leurs enfants. Tout le monde se bousculaient, essayant de s'enfuir au plus vite. Le premier réflexe d'Harry fut de prendre sa baguette, et il se mit à la recherche de ses amis. La foule s'estompa rapidement, ce qui permit à Harry de mieux voir. Il aperçut un corp au sol et faillit avoir un haut-le-cœur, c'est cheveux châtain ne lui était pas inconnus. Il s'approcha rapidement, elle avait encore les yeux ouverts, une entaille c'était faite à l'arrière de sa tête, et du sang couler, le mélangeant à ses cheveux. Dès qu'Harry s'agenouilla à côté d'elle, les yeux en larmes, il lui murmura :

- 'Mione...Je voulais juste jouer.

Et elle prononça une dernière phrase avant que la mort ne soit venue la récupérer.

- Après ça, Harry, tu joueras, pour moi. Tu ne me verras pas... mais je jouerais juste à côté de toi...

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1976

Il prit sa valise, et la remplie de tous ce dont il avait besoin. Il remarqua aussi une autre valise, il l'ouvrit et sourit face à son contenu, à l'intérieur il y avait la cape d'invisibilité, la carte du maraudeur, et aussi l'album photo que lui avait donné Hagrid, ainsi que l'album photo de ses six années à Poudlard. En dessous, il y avait le miroir cassé de Sirius et... et ses potions...ce qui lui fit perdre toute trace de sourire. Il se leva rapidement et prit tous les habits dans l'armoire et les rangea dans sa valise. Il jeta un sort de désillusion sur sa deuxième valise et il descendit les escaliers. Quand il eut posé ses valises au pas de la porte, il retourna au salon et y découvrit Sirius et Walburga en train de se disputer, il tourna la tête ne portant pas attention au regard assassin que lui lançaient le reste de la tablé. Il fit signe à Regulus de venir avec lui dans le couloir, il lança le sort d'insonorisation et dit :

- Regulus, je ne peux pas faire quoi que ce soit pour toi maintenant. Je te promets je reviendrais, mais je crois que Sirius voudra aller cher James et je doute que moi-même y soit le bienvenue. Alors pour l'instant je te souhaite bonne chance avec ces cinglés.

- Et qui te dit que je veux sortir de là ? Et si je vous trahis en allant tous raconter à nos parents ? Je n'ai pas besoin de toi !

- Je sais que tu es bon à l'intérieur, je sais que tu as mal de nous voir te laisser ainsi ici. A chaque fois, pense que je viendrais te chercher. Je te fais confiance.

Il partit vers le salon et trouva la scène tel qu'il l'avait quitté.

- Traître à ton sang ! Comment peux-tu prononçais des paroles aussi immondes contre ta propre maison ! Tu...

- Ses paroles, dit Aries d'une voix lasse, sont aussi immonde que la vérité...

- Comment oses-tu ! Sirius...

Il souffla à Sirius de partir pour de bon cette fois. Dès qu'il fut partit il dit à sa mère en plaçant un masque indiffèrent sur son visage :

- Excusez-moi, je reviendrais, et je vous expliquerais tout.

Alors qu'il passait dans le couloir il entendit un vase exploser juste à côté de lui. Il poussa un juron et le répara d'un coup de baguette. Il savait que c'était parce qu'il avait perdu le contrôle de sa magie, heureusement qu'il n'avait pas cassé plus que ça d'ailleurs. Il prit ses valises et retrouva Sirius qui avait encore une moue ahurie, après qu'Aries et du lui crier trois fois son prénom, Sirius sortit enfin de son état et demanda :

- Quoi ?

- Sirius, tu dois sortir ton balais. Nous devons y aller. J'espère que tu sais au moins où nous devons aller ?

Nous irons chez James, répondit finalement Sirius.

Aries qui jouait le jeu fit semblant de s'étouffer avec sa salive et cria en enfourchant son balai et frappa du pied pour décoller :

- Q. Quoi ? Ils ne m'accepteront jamais là-bas ! Je suis un Black en plus d'un Serpentard, la maison des mangemorts en herbe juste au cas où tu aurais oublié !

Sirius ne répondit pas, il dit simplement, changeant de sujet :

- Je n'ai jamais vu de balai comme ça ! Il est magnifique ! Où la tu eu ?

En effet, le balai de Aries était magnifique le bois était comme une sorte de dégradé de couleur, allant d'un brun presque noir à un beige au reflet rouge clair. Les fils se regroupant en une sorte de boucle à la fin.

- Modèle unique, répondit Aries légèrement déçus du fait que Sirius n'est pas répondu.

- Cela existe des balais à modèle unique ?

- Non, je les fais moi-même.

- Tu l'as... QUOI ?

- Moins fort, nous ne sommes même pas encore arrivées au niveau des premiers nuage, et l'on risquerait de se faire repérer ! Je t'en parlerai plus tard si tu veux.

Cela était vrai, Harry l'avait réellement

Fabriqué lui-même lors d'un... séjour chez Tom Jedusor. Le reste du chemin ce fit en silence. Quand ils descendirent enfin de leur balais, alors qu'ils arrivaient dans le jardin des Potter, Aries demanda enfin :

- Tu es sûr ?

- De quoi ?

- N'as-tu pas d'autre mots dans ton vocabulaire que 'quoi' ! Oh j'ai oublié qu'il savait aussi dire le mot 'de' ! répliqua Aries. Je te demande s'ils me laisseront ne serais ce que rentrer chez eux !

- Ils te laisseront rentrer seulement si tu arrêtes d'être aussi cynique !

- Regarde juste, murmura doucement Aries, il fait nuit, il pleut, donc nous somme trempé.

- Je sais, dit Sirius alors qu'il toquait fortement à la porte.

- C'est tout ce que cela peut te faire ? Je pourrai te signaler que James me déteste.

- Oh, arrête de paniquer pour rien.

- Je ne panique pas, gronda Aries.

Quand ils entendirent la porte s'ouvrirent, il se retournèrent vivement vers la porte, mais à présent, se trouvait à sa place une vielle femme aux cheveux blonds avec quelque mèches grises, et des yeux noisette pétillants de vie.

Le Souffle Du Temps ( Tome 1 )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant