Chapitre 6 : Le portrait

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Et voilà (Voilà, voici, voilà, voici, à croire que j'ai aucun vocabulaire à répéter les mêmes choses à chaque chapitre) le chapitre 6 ! Alors j'ai bien galéré dessus celui-là, je voulais qu'il soit vraiment bien...je l'ais réécris plusieurs fois (J'ai fait une petite correction de ce chapitre et je n'arrive pas à croire que je l'ai écrit plusieurs fois vu le nombre de faute ! Et je sais que j'ai pas encore tout corrigé – Mais j'étais une vraie catastrophe !) Jusqu'à que ça me semble correct. J'espère que vous aimerez !

Blablabla= quand ils parlent Français, parce que oui, ils sont anglais pour ceux qui l'aurait oublié - ou simplement jamais pensé.

Bonne lecture !

LWL

"La douleur d'un adieu qui ne ramène que la peine,

Qui fait de ton bonheur, un trésor enfoncé au fond du trou.

Mais réussiras-tu à prendre cette or,

Sans avoir à devenir fou ?"

1999 :

Harry était dans le canapé, la tête entre les mains, songeant à la prochaine attaque qu'ils avaient prévus dans une semaine. Il entendit la porte s'ouvrirent brusquement, cognant contre le mur, alors que Ron venait s'asseoir sur la table en face de lui, titubant légèrement. Il avait bu et cela se voyait comme un Basilic au milieu des licorne. Harry souffla :

- Ron je t'ai déjà parlé de ça, ce n'est pas bon pour nous...

- La ferme ! s'écria celui-ci. Ferme-la ! Tu ne sais pas ce que je ressens. Tu n'as jamais aimé une femme. Je me demande même si tu mérites que l'une d'entre elles t'aimes !

Harry lui envoya un regard douloureux et ouvrit la bouche, mais Ron ne regardant même plus son ami, ce mit à tituber vers une chaise continuant à parler.

- Et bien moi j'en ai aimé une ! Et elle est morte ! De ta faute ! Tu étais à côté d'elle ! Tu étais juste là et tu n'as rien fait !

- Ron...

- Tais- toi ! Je te suis dit de te taire ! Tous ce que tu as trouvés à faire, c'est tué Abraxas par vengeance ! Tu n'es plus toi Harry ! Jamais tu n'aurais tué ! Tu...Tu...Regarde ce que tu deviens ! Tu es devenue un assassin ! Un monstre !

- Ron ! cria cette fois Harry. Nous...nous sommes en guerre...que pourrais-je y faire ? J'essaie juste de vous protéger...

- Et bien, tu es vraiment pourrie à ça ! Tu aurais dû la sauver...tu aurais...tu aurais dû...bégaya Ron alors qu'il éclatait en sanglots.

Harry voulu s'approcher pour le prendre dans c'est bras, mais Ron le repoussa, et lui dit avant de transplaner.

- Harry...Il n'y a plus aucun espoir ici...je m'en vais...je la rejoins...

Et Harry pleura sa douleur, impuissant face au parole de son ami.

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1976 :

Fleamont n'était pas là, il était souvent au travail, d'après Euphemia, et honnêtement Aries n'allait pas se plaindre de son absence. Il le trouvait trop méfiant. Quoi qu'il pensât que lui aurait réagis d'une manière bien pire à sa place. Aries marchait juste à côté de Sirius, et lui dit :

- Hier c'était moi qui répondais. Aujourd'hui, ce sera à toi.

- Je parlerais, mais tu auras encore des explications à nous donner ! répondit Sirius.

Aries leva les yeux au ciel avant d'accélérer, passant devant Sirius, et regardant attentivement les tableaux autour de lui. Il s'arrêta devant un portrait qui avait particulièrement attiré son regard et souffla :

- Magnelia Zan ? Championne de Duelliste, médicomage, et mage de guerre ?

- Bonjour, jeune homme ! C'est bien la première fois que je vois autre chose qu'un idiot sans cervelle, soupira-t-elle en jetant un coup d'œil significatif vers les deux adolescent qui s'étaient arrêtés juste derrière Aries. Cela fait plaisir, termina-t-elle.

- Un honneur pour moi aussi, Dame Magnelia. Est-ce vrai tout ce que l'on raconte sur vous ? Je veux dire les personnes que vous avez protégés en tuant, demanda Aries.

Elle se mit à lui parlait en Français, sachant que personne ne parlait cette langue dans cette maison.

- Vous savez bien parler cette langue jeune homme ?

Aries approuva et elle continua sa voix devenant plus agressive :

- Ces légendes sont belle est bien vrai, pour mon plus grand malheur. Et de ce que je vois vous avez déjà tué.

Le visage de Aries se ferma et il demanda tranquillement, dans la même langue, savant que ça ne servirait à rien de nier.

- Comment le savez-vous ?

- Votre aura, garçon. Elle est rouge, noir est verte. C'est couleur montre les trois trait qui vous décrit le plus. Méfiant, assassin, et vous n'êtes pas totalement humain. Seriez-vous un vampire ? Cela justifierait le sang sur vos mains.

- Certes, répondit sèchement Aries. J'ai quelques attributs du vampire mais je n'en suis pas un. Notre discussion se termine ici Dame Magnelia, puis Aries termina en reparlant Anglais. Ce fut un plaisir de vous rencontrer.

Elle chuchota d'une voix hautaine de sorte que seul Aries entende.

- Ton plaisir n'est pas partagé.

Aries sourit ironiquement avant de dire.

- Je partage vos sentiments.

Et il reprit son chemin sans attendre de réponse. Alors que Sirius l'inondait de questions- qu'il ignora bien entendu - et que James le noyait de coups d'œil suspicieux. Aries répondit à Sirius, lui disant de se taire, alors que James lui jetait un regard moqueur. Une voix les coupa :

- Et si nous commencions les questions ?

- Je commence ! s'écria James. Black, pourquoi ne pas être aller vivre quelque part d'autres ? Ou bien tu comptes nous envoyer tes amis, tu sais les Mangemorts...

- James ! cria soudain Euphemia. Arrête ça tous de suite !

- Je pose juste des questions ! Alors, pourquoi n'es-tu pas resté auprès de ta moman chérie ?

Aries faisant fi du ton moqueur de James, lui répondit simplement.

- Ne te l'ai-je pas dit hier ?

- Je ne te crois pas Black. Tu es un mangemorts. Et tu le seras toujours à mes yeux.

- James ! Ça suffit ! Sirius, le travail m'appelle, dit-t-elle en voyant la cheminée projeter une lettre du feu devenue vert. Puis elle marcha dans la cheminée dans laquelle elle disparue quelques secondes plus tard.

- Je l'avais oublié ! soupira ironiquement Aries. Je suis un vilain Serpentard, ennemis de Gryffondor, et cible de Maraudeurs ! Je ne peux absolument pas devenir gentil, cela renverserait toutes les bases des Maraudeurs !

- Aries...commença Sirius.

- Répète ce que tu viens de dire ! s'écria James.

- Je le répèterais si je n'étais pas sûr qu'un idiot comme toi ne comprendrais pas, répondit froidement Aries.

James aller se jeter sur Aries, mais Sirius l'attrapa juste avant. James finit par dire alors que Sirius faisait signe à Aries de quitter la pièce.

- Je prouverais que tu es un menteur ! Je ne sais pas quelle potion ou sort tu as utilisé sur Sirius ou ma mère. Je te surveillerais autant qu'il le faudra !

Aries ne répondit pas, fermant juste la porte derrière lui. Il craignait bien que si le comportement de son ancien père restait ainsi, il ne risquerait pas de s'entendre avec lui.

Son séjour ici aller vraiment être compliqué.

Le Souffle Du Temps ( Tome 1 )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant