Mariage Forcé.

Chapitre 15

Le roi Philippe marchait dans les couloirs du château, il avait une idée bien précise en tête trouver le roi Georges pour lui parler de se mariage. Il était déterminé à rendre son fils et Lili heureux.

Il se souvenait de tout ce que son frère avait fait pour lui, d'à quel point il s'était battu pour que Mélanie et lui puisse être heureux. Sur son lit de mort, son frère lui avait fait juré de ne pas devenir comme leur père et cela serai une insulte à sa mémoire que de ne pas rendre son propre fils heureux.

De plus Cole le méritait, il avait toujours un bon garçon et un bon prince, il traitait tout le monde comme ses égaux, qu'ils soient de sang royal ou non, que ce soit une fille ou un garçon, qu'il fasse partie de son royaume ou non. Il avait toujours aidé les villageois comme il le pouvait, il était au petit soin pour sa famille, il avait un énorme respect pour dame nature et était quelqu'un de très cultivé. Il était la bonté incarné et il méritait d'être heureux, tout comme Lili qui était la personne la plus gentil que le roi Phillipe ai rencontré.

Sa décision était prise, il parlerai à Georges. Après tout, il était un père lui aussi, il voulait forcément le bonheur de ses enfants. Il comprendrait suremement et accepterai de faire annuler le mariage.

Phillipe arriva dans la salle du banquet où se trouvait le roi George accompagné de ses plus fildèle chevalier. Il sourit, l'ayant enfin trouver et s'avança vers lui, le visage rempli de joie. Il devait faire bon impression pour ne pas tout gâcher.

«-Roi George, enfin je vous trouve.
-Philipe, que voulez-vous ?
-J'aimerai que nous discusion, seul à seul s'il vous plaît.
-Entendu.»

Le roi George n'eut pas besoin d'ajouté quelques choses, ses chevaliers étaient dors et déjà entrain de quitter les lieux. Les deux rois s'assirent et 1attendirent que tout les portes de la salle du banquet soit fermé pour reprendre leur conversation.

«-De quoi vouliez vous me parler ?
-C'est à propos du mariage, je crains que cela ne soit pas une bonne idée. Nos deux peuples n'ont pas l'air de se réjouir de la nouvelle et les deux principaux concernés ne veulent pas de ce mariage. Il serai mieux pour tout le monde d'annuler ce mariage. Rassuez-vous j'ai une solution pour votre fille.
-Et quel est donc cette solution ?
-Votre fille Lili est éprise de mon second fils Cole. Mon fils est de sang royal, pourquoi ne pas les marrier ? Tout le monde serait gagnant, vous y compris.
-Nous avions un accord.
-J'en suis conscient mais le bonheur de nos enfants n'est-il pas plus important ?
-Je me fiche éperdument des amourettee futiles de ma fille ! Nous avions un accord !
-Je vous le répète, je pense au bonheur de nos enfants.
-Et je pense à l'avenir de ma famille ! S'exclama George en se levant du banc. La fille du roi d'Allemagne à toujours été destinée à devenir reine. Je me fiche que votre fils soit de sang royal, il n'est pas destiné à devenir roi et puis un homme qui n'est pas capable de tuer son adversaire sur le champs de bataille n'est pas un homme à mes yeux.
-Au contraire cela fais de lui un homme d'honneur, fit fièrement Philipe en se levant à son tour.
-L'honneur ne sert à rien si l'ont ai mort et d'après mes sources, votre fils l'a vu de très près.
-Mais il est en vie, cela prouve qu'il est un homme fort.
-Êtes-vous entrain de me provoquer Phillipe ?
-Non mais je refuse de vous entendre salir l'honneur de mon fils.
-Il n'épousera pas ma fille. Est-ce bien clair ?
-Nos enfants sont amoureux, vous ne pourrez jamais leur enlever cela.
-Peut-être mais je peux envoyer Lili dans un autre Royaume et la faire se marrier à un autre prince destiné au trone.
-Vous n'oseriez pas.
-Bien-sur que si, à moins bien évidement que vous respecteriez notre accord. Si vous ne le faites pas, non seulement vous pourrez dire adieu à ma fille mais je vous déclarerai la guerre et d'après ce que mes espions m'ont dit, la dernière guerre a bien affaibli l'Italie. Il ne vous reste que peu de chevalier et ils sont épuisé.
-Ne sous-estimé pas mon royaume, il a plus d'une fois fait ses preuves.
-C'est vrai, mais j'ai bien plus d'allié vous et ils n'hésiterai pas à se tenir derière moi pendant chaque bataille que je livrerai pour vous anéantir. Et quand cela sera le cas, je m'occuperai personnellement de vos précieux fils.
-Osez toucher à un seul de leur cheveux et...
-Rien de tout cela n'arrivera si vous repecter notre accord.»

Le roi Philipe réfléchi à toute vitesse, il voulait le bonheur de son fils c'était certain mais il voulait aussi que ses deux fils soient en vie, en bonne santé et en sécurité, tout comme le reste de l'Italie. Le roi George étaient bien informé, les troupes de l'Italie était considérablement affaiblie et elles ne surviveriaient pas à une autre bataille.

«-Lili épousera Dylan comme il en avait été décidé, céda le père des jumeaux.
-Bien nous sommes d'accord, sourit le roi d'Italie, je savais que vous seriez compréhensif. Oh et une dernière chose, je refuse que votre fils s'approche de ma fille. Pour l'instant ils sont en dehors du château alors nous allons les laisser profiter de leur dernier moment ensemble mais ensuite je refuse de le voir dans la même pièce qu'elle et vous feriez mieux d'approuver si vous ne voulez pas qu'il arrive quelque chose à l'un de vos fils.
-Lili va vous haïr.
-Peut-être mais un jour elle me remerciera pour tout ce que j'ai fait pour elle. Nous nous verrons ce soir au diner. Bonne journée.»

Le roi Georges quitta les lieux et le roi Philipe frappa sur la table, dégoûté d'avoir tout gâcher entre Cole et Lili. Jamais il ne se le pardonnerai jamais et son fils allaient se mettre à le détester. La reine Mélanie entra dans la salle.

«-J'ai tout entendu, avoua la reine en arrivant près de son mari.
-J'ai tout gâché, fit tristement le roi Philipe.
-Non, tu as fait tout ce que tu as pu et tu as voulu protéger nos enfants, j'aurais fait exactement pareille que toi.
-Cole va me haïr.
-Il comprendra.
-Nous ne pouvons pas leur dire la verité, Gorge est cruel mais il reste le père de Lili et je ne veux pas qu'elle le déteste.
-Qu'allons nous faire ?
-Nous allons trouver.»