Mariage Forcé.

Chapitre 16

«-Alors qu'ils se mirent à fuir pour que leur vie soit épargné, ils entendirent le dragon rugir de douleur et de terreur. Cléo et Cal se retournèrent vers la bête qui semblait les supplier du regard pour qu'ils l'aident. La queue du dragon était coincés dans un piège à ours et le pauvre animal souffrait le martir. "Il faux qu'on l'aide" fit la jeune femme. "Je vais lui retirer le piège à ours, pendant ce temps ti iras chercher de l'eau" s'exclama Cal. "J'ai du mal à réaliser que nous allons sauver un dragon" avoua Cléo. "Il suffit simplement d'y croire".
-Wow, fit Émilie ébahi.
-Ils vont sauver le dragon ? Demanda Charles.
-Peut-être, sourit Cole, tu le sauras quand je lirai la suite.
-C'est nul !»

Barbara rit à la reflexion de Charles, il était tout aussi impatient qu'elle la première fois qu'on lui avait raconté cette histoire. Elle s'apprêtait à lui répondre quelque chose mais Lili, Dylan et Tania choisirent cet instant pour pointer le bout de leur nez.

«-Je vous suis vraiment reconnaissant de nous avoir attendu, s'exclama Dylan en sautant de son cheval.
-Désolé mais voir la mocheté de ton visage de si bon matin m'aurait couper tout envie de sortie, se moqua gentiment Cole.
-Aurais-tu oublier que nous avons le même visage ?
-Il est évident que je suis bien plus beau.
-C'est beau de rêver.
-Personnellement, intervint Barbara, je trouve que mon meilleur ami est le plus beau de tous.
-Merci Barb, sourit Cole, sachant qu'elle faisait ça pour rendre Dylan jaloux.
-Tania qu'en pense tu ? Demanda Dylan.
-Je pense que vous vous ressemblez comme deux goute d'eaux.
-Tania a raison, fit Émilie.
-Je suis d'accord, approuva Charles.
-Lili donne nous ton avis, s'exclama Barbara.
-Je suis d'accord avec Tania, Charles et Émilie mais pour ne pas briser le cœur de mon meilleur ami, je vais dire Dylan.»

Dylan eu un regard satisfait alors que Cole, secoua la tête d'un air désespéré, Lili, Dylan et Tania s'assirent près des autres. Lili prit le livre des mains de Cole et elle ne fut pas le moins du monde étonné de lire le titre.

«-Le royaume fantastique, cela ne m'etonne pas le moins du monde de toi, s'exclama Lili.
-Ce livre est super, sourit Émilie. Si un jour j'ai un fille, je l'appellerai Cléo et si j'ai un fils se sera Harry. Comment appelleriez vous vos enfant plus tard ?
-Je n'y ai jamais pensé, avoua Dylan. Sûrement Sabrina pour une fille et Victor pour un garçon.
-J'appellerai ma fille Alice et mon fils Benjamain, annonça Barbara.
-J'appellerai ma fille Maya et si c'est un garçon que j'ai, je l'appellerai Florent, fit Tania.
-Je n'ai pas vraiment d'idée pour un prénom de garçon mais je sais que si j'ai une fille, elle s'appellera Elisabeth, avoua Lili.
-J'appellerai ma fille Mélania, un mélange du prénom de mère et tante Mélanie, s'exclama Charles, et j'appellerai mon fils Lilian.
-Et toi Cole ? Demanda Barbara.
-Et bien cela risque de ne pas plaire à Mil mais j'ai toujours voulu appeler ma fille Cléo ou Luna.
-Et bien tu l'appeleras Luna, s'exclama Émilie.
-Et si c'est un garçon ? Demanda Tania.
-Tom, sans hésitation.
-Comme notre oncle ? Devina Dylan.
-Oui, je ne l'ai pas connu mais père et mère l'ont toujours décrit comme un homme bon. Je sais que cela ferai leur plaisir.
-Personnellement, fit doucement Lili, je trouve que c'est un très joli prénom.
-Merci.»

Cole décida de reprendre sa lecture et Barbara et Dylan décidèrent d'aller se balader alors que les autres préférait rester pour écouter le reste de l'histoire. Dylan et Barbara profitèrent de cet instant tout les deux pour s'échanger une bonne cinquantaine de baiser.

Quand les deux amoureux revinrent, le petit groupe cassa la croûte avant de jouer avec Charles et Émilie qui étaient resté assis bien trop longtemps. Ensuite, ils allèrent se baigner et les jumeaux mirent toutes les filles et Charles à l'eau ce qui était en vrai pugilat pour essayé de couler Dylan et Cole.

Ils s'amusèrent dans l'eau une bonne heure avant de décider d'en sortir alors Cole s'était mit à nager comme un poisson, s'écartant un peu du groupe pour être plus tranquille. Il s'arrêta dans une partie du lac ou personne ne put les voir, il adorait ses cousins mais il avait besoin de calme quelques instant.

Alors qu'ils s'étaient mit à barbotter en appréciant le bruit de la nature et qu'il remettait quelques mèches de ses cheveux derrière sur son crâne il vu Lili nager vers lui en nagant et il sourit.

«-Hey, fit doucement la jeune fille en arrivant.
-Hey, dit Cole sur le même ton.
-M'évites-tu ?
-Non, j'ai juste besoin de calme quelques secondes.
-Pourquoi ne nous as-tu pas fait réveillé ce matin ?
-Je voulais te laisser dormir encore un peu.
-Tout va bien entre nous, n'est-ce pas ?
-Viens là.»

Lili qui était un peu moins d'un mettre de Cole, se raprocha de lui et il la prit dans ses bras alors qu'elle entourait ses jambes autour de la taille de Cole et qu'elle nicha sa tête dans le cou de son copain.

«-Tout va bien entre nous, je te le promets. J'ai parlé à mon père et il est d'accord pour parler à ton père.
-Vraiment ?
-Oui, c'est une nouvelle génial, non ?
-Si, mais si le mariage n'ai pas annulé, recommenceras-tu à m'éviter ?
-Non, je veux profiter du peu de temps qu'il me reste avec toi.
-Je ne suis pas à l'agonie.
-Tu me sera enlever et je déteste cela.
-Je serai toujours près de toi, n'en doute jamais.
-D'accord.
-Sais-tu ce que j'ai remarqué ?
-Dis-moi.
-Tu ne m'as donné aucun baiser aujourd'hui.
-Je vais remédier à cela.»

Lili sourit et Cole et ils s'embrassèrent doucement d'abbord puis plus passionnément ensuite. Le desir monta petit à petit et dieu sait ce qu'ils auraient pu faire dans ses eaux s'ils avaient été seuls. Malheureusement ils ne l'étaient pas et ils n'allaient pas risqué de se faire surprendre ou de traumatisé les petits.

Ils sortirent de l'eau quelques minutes plus tard, ayant faillit se faire surprendre par Émilie. Ils ne savaient pas ce qu'ils leurs prenaient, ils avaient réussit à être parfaitement discret durant deux ans et ces derniers temps, ils n'avaient fait que de se faire surprendre.

Charles et Émilie montèrent les chevaux quelques minutes avant qu'ils ne décident de rentrer, épuisé par leur séjour dans le lac. Ils ne se doutaient pas de ce qu'il allaient se passer à leur arrivé.