Quand il y'a le jour, il y'a la nuit

Chapitre 19

Nous sommes plusieurs jours après mon arrestation, je viens d'apprendre que Ivar a également été interrogé par la police, mais a été relâché parce qu'il y'a aucune preuves contre lui et le polygraph s'est révélé être inutile.

À l'heure actuelle, la police doit vraiment se gratter la tête, leurs deux principaux suspects, anciens prisonniers, de révèlent être innocent. Il y'a de quoi pété un cable, je compatis.

Nous venons également de savoir que les membres manquant sont ceux de Bryce, j'ai évidemment bien rigoler à l'entente de cette nouvelle, il mérite que ce qu'il mérite. J'aurais du lui couper les testicules merde, ça aurait été plus drôle, mais bon, on va pas s'énerver pour quelques malheureux détails.

Maya vient de me déposer chez moi, aujourd'hui elle a un rendez-vous chez le médecin donc elle ne peux pas rester avec moi à la maison.

Pas grave, la solitude c'est ce que je préfère par dessus tout, je suis solitaire donc un peu de calme me fera le plus grand bien.

Je monte dans ma chambre pour me changer et mettre des vêtements plus confortables.

Les vêtements en main, je les sur le lit et je commence à ôtée mon t-shirt. Mais quelque chose m'arrête dans mon processus.

Je suis dos à la fenêtre.

Je sens une présence derrière moi, je sens qu'elle se rapproche de plus en plus, je suis bizarrement figée, pas de peur mais de stupéfaction.

- Alors, tu peux continuer de te déshabiller Sweetie, ça ne me dérange en rien.

Sa voix, je me suis donc pas trompée, c'est bien lui. Je remet mon t-shirt en place et me retourne pour lui faire face.

- Ivar.
- En chair et en os. Dit-il ironiquement.

Fuck, pourquoi est-il aussi beau, on a l'impression que sa beauté et juste là pour contrebalancer le faite que cet homme soi juste intérieurement, que ténèbres.

Il s'approche de moi, il est tellement proche que ma poitrine touche son torse. Ça n'a pas l'air de énormément le préoccupé. En soi, rien à faire aussi.

- Maintenant que nous sommes réunis, que personnes est là pour nous écouter, tu vas me dire qui tu es, et pourquoi tu as fais ça.

Quand il dit « ça » il parle de ce que j'ai fais à mon géniteur ou aux autres enfoirer. Shit, je suis perdue.

Il s'approche plus de moi, son torse écrase ma poitrine, mon 95D a du mal à supporter le choc.

- Tu vas me dire qu'elle est là vrai raison pour la quelle tu es aller en prison et par la suite pourquoi tu as décidée de torturer ces quartes gars.

« Tu vas me dire qu'elle est là vrai raison pour la quelle tu es aller en prison », sa phrase résonne dans ma tête. Ce serait-il temps que je passe aux aveux ?

- Parce que oui, je sais bien que tu ne l'as pas tué juste parce qu'il battait ta mère, c'est bien plus profond, et nous le savons tout les deux. Dit-il en prenant un ton plus que sérieux.

Je me détache de son emprise et m'assoie sur mon lit, il s'adosse sur mon bureau et m'observe. Je pense qu'il ne lâchera pas le morceau, donc autant commencer maintenant pour qu'il se barre vite d'ici. Ma maison c'est pas un fucking centre psychiatrique.

- Tu as raison, je ne l'ai pas tuer juste pour ça, mais es-tu prêt à entendre ce que je vais te dire.

Il s'assoie à coter de moi tout en continuant de m'observer. Je ferme les yeux et inspire une grande bouffée d'air, j'ouvre les yeux et regarde un point dans le vide, je sais que ce que je vais lui dire va faire remonter de terribles souvenirs en moi que j'ai essayée d'oublier depuis de mainte année. Je prend mon courage à deux et débute mon histoire.

- La première fois que c'est arrivé, je n'avais que neuf ans.

Il n'y a plus de retour en arrière pour moi, j'en ai déjà trop dis, je vais devoir continuer.

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J'espère que vous aurez aimé ce chapitre, n'hésitez pas à me donner votre avis.

Pourquoi Ivar cherche tant à en connaître plus sur Skyler ?

De quoi pourrait parler Skyler quand elle dit « La première fois que c'est arrivé, je n'avais que neuf ans » ?