Il est actuellement vingt-deux heures et je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes là, et surtout depuis combien de temps on le torture.
Il ne répond presque plus aux douleurs que nous lui infligeons.Il est dans un sale état, il a plusieurs dents arrachées, la mâchoire disloquée, les extrémités écrasés, plusieurs parties de son corps brûlées, un œil presque crever et il crache du sang à cause du détergent qu'elle lui a fait boire.
Oui, c'est un vrai massacre, et on en est fier et surtout la chose dont j'en suis le plus, c'est le sourire que je lui ai fait, je lui ai fais un sourire à la joker en lui ouvrant les deux extrémités de la bouche, jusqu'aux oreilles, comme ça, nous avons l'impression qu'il sourit constamment.
Il commence à cracher de plus en plus de sang, comme si il voulait dire quelque chose.
- Amenez moi à l'hôpital, s'il vous plaît, je ne...je ne dirais rien sur tout ce que vous m'avez fait. Dit-il difficilement.
- Ah oui ?
- Oui, je ne dirais jamais rien, je dirais que je ne vous connaissez pas. Je veux juste revoir le peu de famille qu'il me reste, s'il vous plaît.Je le regarde, et j'explose de rire.
Bah non, je vais pas le laisser filé comme ça, j'ai pas fais tout ça pour que à la fin il s'en sorte vivant. Non, aujourd'hui c'est son heure.- Désolé pour toi, mais c'est aujourd'hui que tout s'arrête pour toi. Dis-je sinistrement.
- Non ! Ne faite pas ça ! Ma femme mourra si elle apprend que je ne suis plus de ce monde !
- Nous, ça fait bien longtemps que nous sommes morts, nous sommes détruits.Pourquoi c'est toujours dans ce genre de moment que tous les souvenirs remontent. Mon père, Emma, toutes mon enfance bafouée, je n'ai pas assez de mots pour décrire la haine que je ressens.
- La seule chose qui nous forcent à nous lever tous les matins, ces ce désir désir de vengeance. Et malheureusement pour toi, tu vas en faire les frais ce soir.
- Vous êtes que des pourritures ambulantes ! Je vous hais !À ça on ne me l'avait jamais dit.
- Mais bon, je parle mais je ne sais pas comment je vais mettre fin à tes jours, je n'ai pas de couteau sur moi, donc heureusement pour toi, je passe mon tour. Némésis tu propose quoi ?
- Je ne suis pas trop adepte du meurtre mais plus de la torture et en plus je n'ai pas toutes mes drogues et poisons donc je passe mon tour, à toi Ivar. Dit Némésis.
- On le brûle.
- Quoi ?! Non pas ça ! Je ne veux pas mourir brûler !
- Pourtant c'est ce qu'il t'attend, mais j'ai envie de rajouter du piment à tout ça, Némésis va me chercher quelques planches dans l'atelier, et est-ce qu'il nous reste des clous ?
- Tu comptes faire quoi ? Demandais-je intriguée
- Tu crois en Jesus ? Demande t'il
- Je suis de confession musulmane, fin je crois.
- Ah ouais ? T'es de quelle origine alors ? Demande t'il intrigué.
- Je te dirais ça plus tard, moi toi que compte tu faire ?Némésis reviens avec plus planche en bois et les poses à coter de Ivar.
- Et si notre invité, brûler crucifié, qu'en pensez-vous ? Dit-il sournoisement.
Mais ce gars est vraiment imprévisible, sa manière de réfléchir peut être perçu à la fois comme quelque chose de macabre mais merveilleux à la fois.
- C'est parfait ! Disons à l'unisson Némésis et moi.
Franchement, quoi de mieux, et qui sait, peut-être que le faite de mourrir dans la même position de Jesus, lui ferra accéder aux portes du Paradis.
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J'espère que vous aurez aimé ce chapitre, n'hésitez pas à me donner votre avis et à voter.
Que pensez-vous des violences que le trio a infligé au père de Bryce ?
Sont-ils aller trop fort ?
Ivar a décidé de le brûler vif en le crucifiant, qu'en pensez-vous ?
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Quand il y'a le jour, il y'a la nuit
Ficção GeralEt si c'était dans la souffrance, dans les ténèbres, que pouvait naître un puissant amour. L'une est assoiffé de vengeance. L'autre est malade de la vie. Et si nous mettions ces deux âmes tourmentées sur un seul et même chemin, qu'en serait-il ? ...