La romantique désespérée...

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Le lendemain matin la lumière du soleil me réveilla. Je me levai encore un peu dans les vapes. J'enfilai un gros pulls et me dirigeai de l'autre coté de la cloison pour constater que Thomas n'était plus dans son lit. Je sortis de la chambre pour aller dans la salle de bain. Je frappai à la porte qui s'ouvrit à la volé sur Thomas avec pour seul vêtement une serviette nouée autour du torse laissant apparaître son torse un peu musclé bordel de merde. Je m'écarta de la porte tout en mettant mes mains devant mes yeux. Je balbutiai

- Dé...désolé. 

- Mais faut pas t'inquiète je savais pas que mon corps faisait autant cet effet !

- Petit con ! Va mettre un T-shirt !

Il rigola et partit en direction de la chambre et moi de la salle de bain. J'enfilai une tenue un peu plus correcte. J'optai donc pour une robe pull noir, des bas et mes fidèles converses. Je sortis et allai dans la chambre Thomas lui était toujours entrain de s'habiller. Je détournai le regard. Il lança tout heureux.    

- Petite perverse. 

- Petit con. 

- Tu tourne en rond petit chat. 

- ARGH ! Tu m'énerve le gosse de riche. 

- Touché la grunge. 

- Tu n'auras pas la dernier mot monsieur le prétentieux.  

- Je crois bien que si la tomate. 

- Tu es sur monsieur le charot ?

- Wow tu tapes fort la liseuse de romans de sexe.

- Allez habille toi ! Tu as peut-être gagné la bataille mais pas la guerre !

- C'est ça...

J'entendis quelques bruits et il me tapota sur l'épaule doucement. 

- C'est bon je suis prêt la perverse.  

- J'espère que tu m'appelleras pas comme ça devant tes parents. 

- Faut voir tout dépend de ce que j'ai en échange. 

- Mouais allez viens. 

Je lui tira la manche de son pull pour l'entraîner dans la salle à manger. Arrivée dans celle-ci une douce odeur de viennoiserie m'accueillit. Thomas s'assit sur une chaise en se léchant les babines.

- Je meurs de faim !   

Je rigolai et m'installai aussi. Personne n'était là à part moi et lui. 

- Tes parents ne mangent pas avec nous ?

- Ho seulement le soir pendant la journée il s'occupe c'est rare quand on passe du temps ensemble il faut toujours attendre 17h30. C'est l'heure où plus personne ne travaille. 

- Oh je vois et toi tu fais quoi d'habitude. 

Il soupira. 

- Tu es bien curieuse aujourd'hui. Mais si tu veux savoir rien de spécial mais avec toi ici c'est différent.

- Et c'est mieux ?

- Arrête avec tes questions !

Il sourit. Ce qui me fis plaisir. 

- Tu sais c'est cool qu'on soit ami. 

- Ouais...ami.

Il me sourit et on continua de manger. Quand on eut finis, on alla se balader dans l'immense jardin. On s'arrêta près d'un petit point d'eau. Il s'installa dans l'herbe et m'invita à le rejoindre.