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Il m'entraîna sur l'herbe en dessous d'un arbre. Il s'assit et je pris l'initiative de poser ma tête sur ses cuisses. Ça le surpris mais il se détendit. On parla une bonne partie de l'après midi tout en rigolant c'était agréable. C'est comme si il n'y avait personne autour de nous, plus le temps passait plus je me sentais bien avec lui. 

- Sérieux ?! 

- Oui je te jure les gens quand il te demande ça va il s'en foute de ta réponse !

Je fis les gros yeux à Thomas.

- Thomas... 

- J'i déjà fait l'expérience laisse un blanc et il ne le soulève pas réponds juste un et toi ? sans le oui ou non et c'est bon. Il s'en foute.

Il termina sa phrase le regard dans le vide puis attristé. Je me relevai assise sur ses jambes et plaqua mes lèvres sur les siennes pour l'embrassée avec le plus de tendresse que je puisses donner. Je m'écartai de lui et planta mon regard dans le sien.  

- Moi je m'inquiéterai toujours de ce que tu me répondras après ma question !

Je finis ma phrase avec un sourire rayonnant ! Il me regarda tendrement avant d'ajouter.

- Tu es trop mimi avec cette bouille.

Je levai les yeux au ciel et il rigola.

- Alors tu en as des autres des études sociales ? 

- Pleins ! Quand on vit avec des riches on assiste à beaucoup de choses !

On rigola et la conversation reprit et dévia sur nos bêtises étant petits. Quand le soleil commença à se coucher on se laissa repartir chacun de notre coté. Le lendemain la journée passa pour arriver à notre exposé avec Noémie. Comme prévue elle m'attendait devant la grille.

- Et c'est parti pour un exposé de malade !

Je rigolai. 

- Et cette fois c'est toi qui choisit l'endroit Leila ! 

- D'accord. Suis moi alors.

- Oui chef !

Elle prit une pose de soldat avant de me suivre en rigolant. Au bout de quelques temps on s'arrêta dans un parc sur un banc où étais gravés "De quoi que sont faites nos âmes et la siennes sont pareilles" Tout autour du banc des mètres de pelouses vertes et de fleurs s'étendaient à nous. Noémie prit place sur le banc en souriant.

- J'aime bien cet endroit.

- Ma grand-mère et mon grand-père nous emmenait souvent ici. J'adorai quand ma grand-mère me racontait des histoires et que mon grand-père râlait parce que ma grand-mère les racontait pas assez bien. Il formait un drôle de couple. 

Noémie rigola. 

- Bon ! Au travail !

Je hochai la tête.

- J'avais pensé d'illustrer par des amitiés hors du commun connus.

- C'est une bonne idée pour ma part je voulais trouver des projets grandioses qui ont été réalisé par deux amis.

- Ok on rédige tout ça et on aura presque finis.

- Ouais ! 

On se connecta au wifi public et fit des recherches. Au bout d'un petit temps on m'y en commun et décida qu'on avait assez travaillé pour aujourd'hui.

- C'est bon mon cerveau sature !

- J'aime beaucoup cet exposé mais là j'en peux plus !

On se lança un regard avant d'exploser de rire. 

La romantique désespérée...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant