Un amour dangereux

chapitre 3

PDV Ingrid :

Ce matin je commence à 10h, je vais donc rester dehors avec Lisa pour discuter et fumer ma clope. Bien évidemment je vois l'autre débarquer, il m'as énervé hier à me prendre pour acquise. Je peux plus le voir en peinture ! Il est toujours aussi beau mais plus il resteras éloigné de moi mieux ça seras. Bien évidemment quand je pense quelque chose il fait l'inverse, donc je le vois arriver vers moi avec un sourire de trois kilomètres. Je le sens mal cette histoire, il peut pas être d'aussi bonne humeur de bon matin. Personne ne peux l'être d'ailleurs il y a cas voir la tête des lycéens le matin pour savoir ça. Il a fait une bêtise et il est fière de lui c'est sûr. Il arrive à ma hauteur et me sort mort de rire:

- Voilà tu es à moi maintenant !

- pardon !?

- Bah oui je suis chef de trafic ma belle j'ai le bras long, et maintenant toute la ville est au courant qu'il ne faut pas t'approcher, te parler et encore moins te manquer de respect.

- C'est une blague j'espère !?

- Pas du tout princesse.

- Dégage vite !

- Ça te fait pas plaisir ? Dit-il en riant.

- Non ça me fait pas plaisir casse toi !

- Mais quel connard me dis Lisa ! Après s'il soit partie.

- Je te le fais pas dire, comment je vais pouvoir enlever ce droit qu'il a mis sur moi ?

- Aucune idée ma belle je savais même pas que c'était possible.

On rentre dans le lycée pour y passer la journée, en ce qui concerne Marvin je vais me renseigner au près d'un amis pour savoir quoi faire ce soir. La journée passe et je ne digère pas cette nouvelle, elle m'a tracasser toute la journée. Dans le bus, je me connecte à Instagram  et cherche le profil de Miguel qui n'ai pas dans mon lycée.

" Hey Miguel je sais que tu traîne un peux dans tout ce qui est trafic, j'ai une question a te poser."

" Je t'écoute."

" Un chef de trafic a mis un droit sur ma tête personne n'a le droit de m'approcher, qu'est-ce que je peux faire ?"

" C'est donc toi la muse de Marvin, n'importe quel autre chefs tu aurais pu faire quelque chose. Mais lui tu ne peux rien contre lui, il as décidé que tu étais a lui maintenant et tu le seras de gré ou de force. Bon courage et je ne veux pas d'ennuis."

Je ne pris même pas la peine de répondre, mon amis avais préféré la fuite plus tôt que de m'aider et me protéger de ce fous furieux. En descendant du bus, je compris que toute les villes qui était sous ça couronne était au courant de son droit sur moi. Tout le monde m'éviter, mais étrangement un groupe de garçon s'approche de moi d'un pas déterminé. L'un d'eux passe derrière moi et les trois autres ce placèrent devant moi aligner. Ils me tire a l'abri des regards indiscrets, et un par un ce mirent à me frappé. Point, pieds, jambe tout y passer pour me frapper, l'homme de derrière me laisse tomber au sol. Et ils ce mirent à me frappé dans le ventre et dans le dos le dernier coup fut donner au milieu de mon visage. Je finis avec des bleus sur tout le corps quelques côtes casser et le visage tuméfié avec une lèvre fendue. Je rentre chez moi et vas directement me couché sans donner d'explications a mes parents qui s'inquièterais pour rien.

Le lendemain matin tous les gens de mon bus me regarder apeuré, sûrement par peur que quelque chose ou quelqu'un leur tombe dessus. Personne n'ose venir s'asseoire à coter de moi, je descendi du bus et tombe directement sur le beau brun. Par honte je porter une capuche et baisser la tête, il me l'a relevât et enlevas ma capuche.

- Putain c'était donc vrais quel est le batard qui a osé te toucher !? Hurle t-il.

- Je l'ai connais pas ils étaient quatre.

- Quatre pour une fille et pas n'importe laquelle la mienne, quatre suicidaire ne t'inquiètes pas il ne te feront plus de mal. Tu seras venger je te le promets ma princesse.

Il parti en direction de la voiture je senti un morceau de papier dans la poche de mon pull, il m'avait laisser mais pas seule j'avais son numéro je pouvais lui parler quand je voulais et surtout quand j'en aurais besoin.