Un amour dangereux

Chapitre 18

PDV Ingrid :

Je suis assise à coter de lui à ma place depuis bientôt une semaine. Je ne me lève que pour me changer et me laver. J'ai donner l'ordre que l'on m'apporte à boire et à manger pour ne jamais quitter sont chevet. La peur qu'il se réveille perdu et seul fait que je ne bouge jamais de sa chambre. Je ne sais pas si il m'entend mais je lui parle constamment, je lui demande de me revenir et lui dit qu'il n'as pas le droit de me laisser. Mais je n'ai bien évidemment encore jamais eux de réponse. Je n'ai pratiquement pas parler avec Lisa depuis qu'il est dans ce lit. Elle me manque un peu je lui est donc demander de passer me voir dans la chambre. Ce qui l'a étonné car a par les médecins et Evan je ne laisse entrer personne. Mais elle était aussi heureuse de pouvoir me retrouver pour me parler et me soutenir dans cette épreuve. Je ne m'en remet toujours il m'avais toujours promis de me revenir et quelque part c'est ce qu'il as fait à ça manière. Mais moi j'aurais voulu pouvoir lui sauter dans les bras l'embrasser et répondre à sont je t'aime. Mais bon la vie ne fait pas toujours ce que l'on attends d'elle. Lisa ne vas pas tarder à arriver.

- Coucou ma puce, ça vas tu tiens le coup ?

- Tant que lui vas bien ça vas, mais c'est dur de le voir comme ça. J'ai l'impression d'être folle je lui parle a longueur de journée en sachant très bien que je n'aurais pas de réponse. Puis j'ai toujours eux la certitude qu'il ne lui arriverais rien donc toute mes certitudes vole en éclat c'est assez compliqué à gérer.

- Oui je m'en doute mais sont état est stable ce n'ai qu'une question de temps avant qu'il ne ce réveille. Tu vas le retrouver bientôt ton idiot.

Je me mis à rire à l'entente de la dernière phrase nous continuons à parler de tout et de rien. Mais j'écoute et répond sans vraiment faire attention à la conversation. Mon attention et maintenant par le corps de Marvin à coter de moi qui ne se réveille toujours pas. Je fini par m'endormir la tête sur le bras de Marvin et je senti une couverture ce poser sur mes épaules.

PDV Marvin :

J'ai senti mon corps peu à peu s'endormir je l'ai aussi senti se faire transporter. Mais moi ou du moins mon esprit vagabonde dans un grand espace blanc. J'ai l'impression que je cherche quelque chose sans vraiment savoir ce que je cherche. Je viens d'arriver je ne sais pas trop comment dans une pièce blanche avec un siège rouge qui trône au milieu de la pièce. Je m'avance vers le siège et il est vide je regarde au tour de moi mais rien d'autre n'ai présent. Pourtant je sens que je suis arrivé, c'est cette endroit que je chercher pendant tout ce temps. Je m'assoie sur le siège et vois d'un coup Ingrid dormir sur un de mes bras et moi brancher à plein de machine. Je me relève du siège comme si il m'avait brûler, cette vision m'a attristé au plus haut point. Et je comprend enfin que je suis dans le comas ce siège et mon seul lien avec le monde réel. C'est mon seul moyen de pouvoir voir Ingrid le temps que je me réveille si je me réveille un jour. Je me remets sur le siège et l'observe dormir à mon chevet je vois quelque médecin venir de temps en temps puis repartir. Ingrid viens de ce réveiller et la première chose qu'elle fait est de me regarder et me dire bonjour. Cette fille m'étonnera toujours elle se lève et continue de me parler.

- Tu c'est j'ai fait un rêve cette nuit, tu te réveiller et tout redevenez comme avant. Tu me demander même en mariage.

Pour elle cette déclaration est anodine mais moi je garde ce rêve dans un petit coin de ma tête. Je viens de me rendre compte à part les médecins Evan et elle personne ne viens dans ma chambre. Non pas que cela me dérange mais je trouve ça étonnant d'habitude quand il se passe quelque chose on se regroupe tous au chevet de la personne. Evan viens de rentrer dans la pièce je vais peut-être avoir ma réponse.

- Coucou toi ça vas ?

Coucou toi ! Mais il se prend pour qui celui là je sais très bien que quand il dit ça c'est que là personne l'intéresse. Quand je vais me réveiller il vas falloir remettre les points sur les i.