Dans le coeur d'une voilée.

- Partie 1 -

" On ma dit que tu porte le voile, ma sha Allah que Dieu te comble, c'est bien la le seul pansement au blessures les plus profondes"

Flash back, pour vous expliquer un peu ma vie.

Je suis née au Liban ou je suis rester trois ans, pour ensuite décoller en France, on s'installa dans la ville de Nîmes où je vécu mon enfance jusqu'à mes 10 ans, où je suis aller vivre en Italie, à 15 ans le retour en France, mon père travailler beaucoup, il se faisait muter, du coup il fallait qu'on le suivent a chaque déplacement, tout les 5 ans, à 13 ans j'ai voulus mettre le voile mon père était contre au début mais après avoir bien galèrer avec des dispute incessante, fini les cachette j'ai enfin pu le mettre librement a mes 14 ans.

Nous sommes en Juin, installer à Nîmes depuis 2 semaine.

La où tout commença ...

Je suis caler sur mon lit, je lisais un peu le coran, j'avais une de ces boules au ventre, je suis descendu passez du temps avec mon père, je ne l'ai pas laissez sortir, jusqu'au moment où je suis aller dormir, enfin je me suis endormis, je me suis reveiller avec les cris de ma mère, c'etait vraiment horrible, d'un coup mon coeur c'est mis a battre a 100 a l'heur j'avais ce presentiment de malheur depuis hier, je me disais que je psycoter simplement, je n'arriver pas a bouger, j'avais peur, kheir in sha Allah, je me met a reciter ayate al kursi (les verset du trône) puis tant bien que mal les pied tremblant je descendit.

mon coeur s'arrêta et ne fis qu'un tour lorsque je vit le corps de mon père sans vie, je compris, j'ai tout compris, ya Allah je n'osais me plaindre. Je tomba prosterner et j'implorer dieu silencieusement les larmes qui coule, de l'épargner des châtiments de la tombe, et de lui donner sa place fi el-jennah. (Paradis)

Je courrus relevez ma mère, je ne sais pas d'où m'est venus la force de garder mon sang froid, je releva ma mère est appela le 18. Je resta auprès de mon père je l'embrasser et j'ai pu constater que son index étais lever et qu'il souriait al hamdoulillah il c'était lever dans l'intention de prier al fajr. Je pleurer certe, mon père aller me manquer, mais j'étais si contente est fière que mon père est la chance de mourir dans cette circonstance croyez moi c'est bien après que le manque aller arriver ...

je vous passerez les détails, j'en pleur encore au jour d'aujourd'hui, je n'ai pas fais mon deuil. c'est très dur de perde un père à cet âge là, le roi de mon galb, l'homme de ma vie, abi <3 on est parti l'enterrer au Liban, qu'Allah fasse miséricorde a tout ceux qui sont partis.

Le jour de son enterrement, il n'y avait presque personne, bien que se soit un homme respecter et apprécier, sa seul famille c'était nous. L'imam commença a réciter, mes 4 frères sont a ces côtés, moi et mes soeur de l'autres, nous prions puis nous somme rentré en Algérie chez ma mère. Là où nous sommes rester durant le ramadan en juillet/août.

Ma mère ne connaissant personne dans le sud, décida qu'on irais s'installer a Paris là ou vis sa soeur, pour l'instant. Nous arrivâmes dans cette cité du 93 fin Août.

Abi, était encore dans tout nos esprit, ma mère est très forte et je suis fière de dire que je suis sont portrait craché.

Elle me dit : Benthi, fais comme Yassine et Noûh prend tes soeurs, et Elyass et aller faire un tour minfadhliq.

- safi, Oummi, j'y vais.

Je lui fit un bisous sur le front je m'habille en simple jilbab noir, et j'appela mes soeur elle se préparèrent et nous sommes sorti. Je connaissez pas le quartier, je n'aime ni m'afficher ni sortir donc j'alla simplement au bac a jeux du quartier, en passant dans le hall je dis Salam d'une toute petite voix en baissant la tête. Il est 16 h on est là depuis 1h je décide de rentrer. Voila, comme d'habitude je passe mes journée a la maison et mes journée se résume à cuisiner.