Dans le coeur d'une voilée.

- Partie 2 -

"Et si les femmes ne savent pas ce qu'elles veulent les hommes ne veulent pas ceux qu'ils savent, il savait que t'était une fille bien, il savait que t'était une fille brave"

Dringue, dringue mon réveille sonne, a penne ouvert les yeux je me questionne, tout ces problèmes qui s'additionnent, je réfléchis trop !! Je me lève, fais mes ablutions et vais prier, je m'habille aujourd'hui j'avais sport, donc pas de jilbab, j'étais triste je me sentais nue, je l'ai quand même mis sur la route et pris l'initiative de l'enlever seulement avant d'entrer au lycée. Je fais le petit déjeuner, je lève tout le monde, enfin les petit quoi, Dounyya, Samah, Lamiss, Elyass, Qassim, je l'ai habille et je part, tandis que mon frère Noûh les accompagna en voiture. Et Yassine le gros flemmard qui dors puis ma maman, qui parti se rendormis quand je lui fis un bisous avant de partir.

Je partis, je rentras au lycée retirais mon voile avec penne, c'était comme si on m'arracher un bout de moi tout les matin et que je retrouver ma libertés en sortant, j'avais honte d'être dans la désobéissance a Allah a cause de cet état de kuffar. Je marche toujours en baissant la tête dans le lycée quand quelqu'un m'intercepta de derrière et mis c'est mains sur mes yeux. Je mis mes mains a mon tour, en stressant de qui c'était je m'imaginer déjà un Geth Apan surtout que j'était a fond dans mes pensée, qûr'an dans les oreilles. J'enlève ses mains, et je me retourner et vois Mohammed avec son petit sourire, il était tout content de son coup, je détourna mon regard ( je déteste regarder les gens dans les yeux je peux pas) je continuais à avancer,

il me dit : ça va ?
Moi : Al hamdulillah ana bi kheir et toi ? ( je vais bien grâce a Dieu)
Lui : ouah t'aime trop parler arabe littéraire je comprend rien, mdr hamdoullah
Moi : je t'apprendrais, désolée, c'est l'habitude, hamdullah et toi ?
Lui : oklm , ch'Allah -)
Moi : arrête de sourire tu me stresse mdr (petit rire de coin, géné)
Lui : mdr pourquoi mon sourire de bg te déstabilise ?
Moi : non parce'que on dirais je suis entrain de marcher avec un hmar qui sourit pour rien mdr
Lui : ah tu m'a casser la j'ai plus rien a rajouter mdr

On arrive en court on s'assoie et la prof le déplace parce'que rien qu'il m'embêter, il parlait trop mdr, elle l'a mît de l'autre côté. En sport, j'était toute gêner je voulais pleurer je me retenais à un moment j'ai vraiment pleurer et Mohamed était là.

Lui : toujours tu pleurs toi qu'est ce que t'a dina ? Dit mois tout, (fière de sa blague il dahak)
Moi : bah t'a vu je suis voilée et j'ai jamais enlever le voile depuis 5 ans et là non seulement je découvre mes cheveux mais en plus en voit tout mon corps je suis pas bien.
Lui : (il pouvait pas comprendre ce que je ressent) mais t'inquiète dina t'es belle t'es pas nue là
Moi : mdr t'est vraiment un hegoune. Vas y il t'appelle le prof.

Il partit et un gars viens vers moi, lahchouma de ma vie interplanétaire.

Le gars : wesh la miss bien ou bien ?
Moi : hamdoullillah ahla couli hal, je m'appel pas Lamiss, on se connait ? ( en rapport avec ma soeur)
Lui : mdrrr a en plus ta de l'humour, enchantée moi c'est Mehdi et toi ?
Moi : -) dina ...
Lui : dina c'est oranais non ?
Moi : peut être, en tout cas ces musulman tout comme mehdi
Lui : oui, hessoule en tout cas ma sha Allah hein t'es grave belle
Moi : heu... Merci (Deuxième fois qu'on me dit sa depuis que je suis en France mdr, je vais commencer a me sentire fraîche)
Lui : t'inquiète azy on se r'attrape !

J'avais pas compris alors je sourit il partis mdr. Mohamed revenu après et me dis :

Lui : putain, on va faire basket sa fais chier !
Moi : j'aime bien basket moi, en Italie je faisait parti d'une équipe.
Lui : ah ouais ? Je suis choquée t'es italienne en vrai ?
Moi : mdr oui, pourquoi c'est choquant ?
Lui : comment sa se fais tu parle français et tout ?
Moi : je suis pas une blédarde je vivais en France avant mdr.
Lui : ah ouais psahtek comment sa se fait ?
Moi : Allah y Salmek longue histoires, mon père Allah y rahmo se faisait muter.
Lui : ah smeh wallah, Allah y lahmo
Moi : amîn, c'est rien.