"Demande à Elyass si j'ai mal au fond ou pas, Il te dira qu'ma douleur est née lors de la mort de papa"
9 mars.
Docteur : j'ai le regret de vous annoncer que votre fils est atteint du syndrome de Kawazaki.
Ma mère : hein ? Chnou hada ? (Qu'est ce que c'est?)Moi : attend yemma, excusez moi mais syndrome de kawazaki qu'est ce que c'est ? C'est grave ? Sa se soigne comment ?
Lui : malheureusement c'est une maladie rare et mortel, durant le reste de sa vie nous tenterons de le garder en vie a l'aide d'electrocardiogrammes.
Moi : d'accord on peu le voir ?
Lui : oui allez yMa mère et moi sommes rentrée vers Elyass il etait tout pale mesquine, ma mère etait en pleur, elle le prenait dans ces bras, mon petit bébé, j'appel mes frères et leurs dit de venir vite. Je me suis poser a coté de mon frère, je l'ai pris dans mes bras et je le rassuras tant que je pu.
Moi : t'inquiète pas omri, tu va guerrire c'est rien.
Lui : tu me le promet ninou ?
Moi : (je les regarder en pleur, comment prommettre a un enfant une chose a laquel nous ne sommes pas sur, meme ma mère, je n'ai pas voulu lui dire la verité.Yemma : alors il a dit quoi ?
Moi : il a dit qu'il avait wahda la maladie rien de grave et que fallais juste prendre soin de lui, on viendras souvent a l'hopital bech il lui font des radios.J'ai pas reussi a lui dire la verité. Sa l'aurais anéanti, j'ai garder ce secret pour moi. Je l'ai vu rassurer, elyass aussi, je voulais pas les atrister.
Le lendemain je suis revenu avec des jouet et tout plein de cadeau, que j'ai donner a Elyass. Mais je voyais qu'il partager avec certains enfant malade de l'hopital alors au fur et a mesure du temps je leur en acheter et les distribuer au enfant de l'hopital, je keaffer etre avec eux, il me redonner le sourrir.
A chaque fois que je sortais de l'école, je passer par la mosqué, carrefour, puis je venais a l'hopital.
C'etait ma nouvelle routine, rien ni personne n'etait plus important a mes yeux que mon petit frère, sa m'a d'autant plus fait du mal, sa maladie, car elyass parmis tout mes frères et soeurs, c'etait le seul que je portais autant dans mon galb (coeur) il rester toujours avec moi mon petit chouchou et je l'avais meme installer dans ma chambre, je prenais soin de lui plus que les autres, ils ne manquer de rien, il avait tout ce qu'il voulait. Je faisais tout pour lui, je lui aurais donner ma vie mais...
Bref .
Le docteur m'appel et me dit :
Lui : allo mademoiselle ******* ? C'est docteur Garcia a l'appareil.
Moi : oui bonjour docteur. (Bon coeur battez a mille a l'heur, je ne cesser de me repeter kheir in sha Allah)
Lui : bonjour, alors, je vous appel pour demander de passer dans mon bureau j'ai une petite information a vous restorer.
Moi : tres bien, a quel heur ?
Lui : le plus tot que vous puissiez.Puisse Allah me donner la force ouais. C'etait dans les 14h30 j'attendis la fin de l'heur puis a 15h je secha pour rejoindre l'hopital. J'arriva, en voiture, car oui, depuis j'ai eu mon permis au mois d'avril. Mon petit bout de chou etait hospitalisée depuis 1 mois déjà.
J'arrive dans le bureau je toc.
Docteur : entrée ! Ah dina je vous attendez.
Moi : oui...
Lui : asseyez-vous je vous en pris
Moi : merci, alors? Vous m'avez demander de passer. Qui y'a t-il ?Lui : il me fait le spitch des docteurs je vous dit en gros il ma dit : a tout moment, a cause des électrocardiogramme, votre frère peut perdre la vie, via le bier d'un arrêt cardiaque.
Alors là, mon coeur c'etait arreter je n'entendais plus rien, je me suis reveiller 5 minute après prise en charge par le docteur lui meme, ainsi qu'un ... infermier je crois.
L'infermier : mademoiselle ca va ?
Moi : heu oui ... Je crois que oui.
Lui : vous avez fait un malaise.
Docteur : je vous laisse, j'ai une opération d'urgence. Samy ocuper vous d'elle.Lui : si vous le voulez bien je vais vous osculter.
Moi : heu non merci sa iras
Lui : t'inquiète ana muslim, je te touche pas juste je regard ton rythme cardiaque.
Moi : ah ... D'accord ...
Lui : je te voit souvent ici, enfin je vous voit souvent, comment cela ce fait -
il ?
Moi : tutoyer moi, mon petit frère est interner ici.
Lui : a comment il s'appel je dois le connaitre.
Moi : Elyass
Lui : Elyass ***** souffrant du sydrome de kawasaki ?
Moi : oui oui ...
Lui : Allah y chafih, t'en fait pas remet toi en a Dieu, tout est sa volonter, je m'occuperait de lui au maximum.Moi : amin, merci, merci wallah !
Lui : pas de soucis
Moi : comment sa se fait que t'es arabes ,musulman dans un hopital?
Lui : mdr question fatale
Moi : ah desolerLui : non t'inquiete pas. C'est simple c'est juste qu'au lieu de finir comme tout mec de cité, je me suis eloigner du haram, je me suis concentré sur mes etudes, et voilà. Hamdoullah, apres tu vois je suis pas docteur, je fais pas des truque de fou, Je suis un petit infermier de bas d'echelles, je m'occupe des petit cas comme le tien, et de veillez sur les enfants mais bon, tant que sa me permet d'avoir un petit salaire, et de ramener de l'argent propre et hlel a ma mère sa me suffit, je suis heureux de la rentre fière, faut rester modeste tu comprend ? Je parle trop je sais mdrr
Lui : tu pleur ?Moi : mdr fais pas attention je suis une petite pleurnicheuse en ce moment. C'est juste que ce que t'a dis sur ta maman bah ma sha Allah ta manière de penser. Mes frères a moi, ne pense pas comme toi, c'est trop beau la manière dont tu parle de ta maman.
Lui : mdr sa me flate merci, aller viens on va voir les enfants. Je travail faut pas que je me fasse renvoyer quand meme sinon j'aurais plus le meme discours mdr.
On est aller rejoindre mon frère, il l'osculte, y'avait déja ma mère d'ailleurs, et il me dit :
Lui : heu.. T'a pas un numéro? Juste pour te prèvenir au cas ou pour ton frère...
Moi : heu je donne pas mon num habituellement mais vas y tiens, si il y a quoi que se soit, tu m'appel hein
Lui : euh saha...
Moi : vas y salam aleykoum bon courage pour la suite.J'oublie pas dans un coin de ma tête l'information que le docteur ma donner, mon petit frère avait des risque de faire une crise cardiaque et d'en deceder a la suite. Je faisais que pleurer.
D'ailleurs a ce sujet la, avant la mort de mon père j'etait une petite princess gatée par son papa malgré toute les galères je n'ai manquer de presque rien. J'etait toujours heureuse, les pleurs ? Je conaissait pas.
Je n'ai JAMAIS pleurer devant mes parents jusqu'a là, ni devant personne d'ailleurs. La seul chose qui pouvait me faire pleurer devant les gens c'etait tout ce qui avait une conotation islamique.
Devant les gens je faisais la fille forte, coeur de pierre, aucun sentiment mais j'avait un petit coeur d'artichot, toute fragile w'Allah, mais sa biensûr Dieu seul le savait. Et c'etait mieux ainsi, je m'etait forger une carapace qui me causeras surmen du tort. Mais bon, Allah Ghaleb. A chaque mal un bien.
Nous somme au mois d'avril. J'ai eu mon permis, d'une part j'etais contente et d'une autre y'avais elyass dans mes penser.
Pour fêter sa j'ai quand meme inviter Nayra, Sarah et lamiss. On a passer une journée entre filles dans les champs.
Y'avais des qataris et vu que je portais le Niqab a ce moment la j'en est profiter. Sachant que je parler arabe litteraire je faisais la riche et tout dans les magasins de luxe mdr je me suis bien changer les idée pour la premiere fois depuis 1 mois.
On s'est acheter des truque de fille pour une fois du genre : des robes, du maquillage, du parfum. Et d'autre truque habillement et esthetique pour filles je vous passe les details. Je suis rentrer chez moi avec les filles.
J'ai reçu un message de ****
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Dans le coeur d'une voilée.
Ficción General- Terminée - Dina, Tout droit venu du Liban, apres avoir vécu les dures épreuves de la vie, mutée en italie, la mort de son père puis celle de son frère puisse Allah les acepter dans son vaste paradis. Elle fut la rencontre dans une cité du 93 de M...