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| Dans la vie se faire du mal est plus facile que s'aimer |

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On ressentait vraiment ses sentiments, mais j'avais l'impression qu'ils n'étaient pas assez forts, alors j'ai renchéri en lui disant :

« Ma princesse, je vais faire de toi ma femme, la mère de mes enfants et la belle fille préféré de ma mère. »

Je ne lui ai pas laissé le temps de répondre puisque j'ai directement posé mes lèvres sur les siennes.

Sans vous mentir, j'en avais envie, de ce baisé. Depuis le début, je souhaitais seulement ça.

On ressentait quand même que c'était une sensation toute nouvelle pour elle.

Elle était tellement émue par ce baiser que des larmes ont coulé sur ses joues.

En les sentant, j'ai détaché mes lèvres des siennes, j'ai collé mon front au sien puis j'ai essuyé ses larmes en la regardant dans les yeux.

J'étais trop bien là. Mais elle était assez faible à ce moment la, j'en ai donc profité. J'ai continué à l'embrasser avant de la porter jusqu'à ma chambre et de la déposer tout doucement sur mon lit.

J'allais retirer son haut, mais elle a eu un mouvement de recul.
Elle s'est décalée et m'a arrêté.

Moi : Dounia, tu es la femme de ma vie, laisse toi faire. Je te marierais *dis-je en jurant*

Je lui ai fait un bisou sur le front avant de continuer mon discours.

Moi : tu resteras avec moi ici, jusqu'à que ma mère rentre, si tu veux. Je te la présente tout de suite, mais laisse toi aller poupée. Ça ira.

À ce moment, la, sa faiblesse était à son apogée. Ses sentiments avaient totalement pris le dessus sur sa raison. C'était mon pantin et j'étais le marionnettiste...

J'avais son corps entre mes mains. J'avais son avenir, sa réputation, sa fierté, sa pureté entre mes mains.

J'allais tout simplement prendre sa virginité.

J'étais encore en train de l'embrasser. Mais je lui ai rapidement retiré son bas.

J'ai fait ça très rapidement. Je suis sortie d'elle aussi vite que je suis entré.

J'arrivais pas à continuer. Je l'ai pénétré seulement une fois dans le simple but de lui retirer son trésor.

Après, je me suis directement levé avant d'attraper mon téléphone et j'ai envoyé un message à Amir, Leyanne et Hamza pour leur dire de venir. Pour qu'ils puissent constater que le pari avait été réalisé avec succès.

Et surtout, pour récolter mes 2000 €.

...

[2] - Les âmes ont fané - NaïrOù les histoires vivent. Découvrez maintenant