Laquelle D'entre Elles ? [Terminé]

Épilogue

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Nulle ne peut échapper à son destin et le temps nous rattrapera toujours. Mais il ne suffit pas de se poser et dire que mon destin viendra à moi, non. Oui nulle ne peut en échapper mais le destin n'est rien d'autre que le résultat de nos actes, les pierres de notre édifice mondaine et céleste, ça se construit.

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***Chapitre dédié à tous ce qui suivent l'histoire depuis le début, à ce qui ont juste lis le prologue 😂, à ce qui ont commencé mais n'ont pas pu terminer, aux lecteurs fantômes, à tout ce qui lisent et votes et à tout ce qui liront ces lignes. Merci du fond du cœur ❤❤❤***

Rokhaya Ndiaye

Les rayons de soleil commençaient à s'infiltrer peu à peu par les vitres des fenêtres et de la porte du balcon. J'ouvre peu à peu les paupières quand je sens un bras qui m'entoure la taille. Je souris en pensant à qui il s'agissait et de la nuit torride qu'on venait passer. Je prends la main et y fais un petit bisou avant de me retourner lui faire face. Il dormait paisiblement tel un enfant, il est trop mignon quand il dort et j'adore le contempler ainsi et je ne m'en prive pas à chaque fois que l'occasion se présente. Je lui caresse la joue et il bouge et se met sur le dos. Je monte sur lui en faisant attention de ne pas le réveiller, je met mes genoux de chaque côté de sa taille sans pour autant m'assoir sur lui. Je commence à lui faire des bisous sur la commissure des lèvres, sur ses joues sur son front, je lui fais des tonnes de bisous. Je vois ses lèvres s'élargir peu à peu pour former un magnifique sourire avant qu'il n'ouvre les yeux.

-Bonjour madame Diop il dit en me retournant pour être dans la même position où j'étais sur lui, cette fois-ci c'est lui qui est au dessus.

-Bonjour monsieur Diop je lui répond avec un sourire coquin avant de lui faire un baiser furtif sur les lèvres.

-La nuit d'hier ne t'as pas suffit t'en veux encore il me dis en souriant malicieusement.

-Comment me suffire quand tes baisers, tes caresses, ton odeur, tout me jettent des décharges électriques sur tout mon corps, comment me suffire d'être dans les bras de l'homme de ma vie, le père de mon enfant je lui répond avant de le retourner pour me mettre dans ma position de départ avant de commencer à l'embrasser.

On s'embrasse, se caresse, se touche... La nuit d'hier ne nous a pas suffit on allait encore le refaire... On toque à la porte, on s'arrête un instant, se regarde et continue de plus belle. On toque encore à la porte, plus fort cette fois.

-Rokhaya, Aziz, je sais que vous m'entendez, je perçois vos gémissements jusqu'ici. Venez prendre votre fils vous aviez toute la nuit. Allez nous dit ma belle-mère de l'autre côté de la porte.

Je me lève, met vite fait ma serviette et part ouvrir la porte. Je lui souris un peu mal à l'aise avant de prendre mon fils dans mes bras. Ce dernier qui dormait se réveille et me regarde en souriant, je lui fais un bisous sur le front.

-Papa il dit en sautillant dans mes bras.

Je le met au sol et il commence à ramper vers son père. Il se lève du lit et le prend dans c'est bras et lui faisant des chatouilles, il adore ça.

-J'espère qu'il ne t'a pas trop déranger maman je dit à l'intention de ma belle-mère.

-Ki kay ray nama, mayou ma ma nelaw un instant, domou Aziz rek la meuna done( Il m'a tué, il ne m'a laissé dormir à aucun moment, c'est le fils de Aziz sans aucun doute). Petit il était pire lui, tel père tel fils elle me répond.