Harry Potter et la baguette de sureau ( Proposez à l'adoption )

Chapitre 2: Deux semaines

Après une bonne douche, Harry se sentit revigorer et c'est avec une faim de loup et un estomac en colère qu'il vint s'asseoir dans la grande salle.
Les quatres immense table censée accueillir les élèves des quatres maisons était toute vide et l'écho de la solitude frappa Harry, il prenait habituellement tout ces repas dans la salle commune de Gryffondor mais il commençait à en avoir assez de cet espace confiné, voilà un mois et demi qu'il était seul dans l'immense château, ces rares contacte était avec Dumbledore, pour son entraînement quasi journalier , il avait croiser à deux reprises le professeur Mc.Gonagall et un autre qu'il voyait bien trop souvent à son goût...
- Potter. Lança une voix faussement mielleuse dans son dos alors qu'il buvait une gorgée de jus de citrouille qu'il avala de travers, il se retourna pour trouver devant lui cette face de Rogue et se demanda en son fort intérieur s'il était possible qu'il existe sur terre une personne plus désagréable que cette sale tête aux cheveux gras.
Harry et Rogue se toisèrent avec une animosité réciproque pendant quelque seconde avant que le maître des potions ne lui tende un parchemin venant de Dumbledore.
- Le directeur m'a demandé de vous remettre ceci. Dit-il, apparemment agacé que le le directeur l'utilise comme coursier.
Harry se saisit du parchemin sans décrocher un mot et Rogue reparti comme il était venu.
Harry se désintéresse aussitôt du professeur aux allures de chauve souris et ouvrit le parchemin, il n'y avait que deux lignes griffonner à la hâte stipulant qu'il n'aurait pas de leçon ce jour là.
'Au moins je vais pouvoir me reposer aujourd'hui.' Pensa Harry en s'étirant, il mordit dans une tranche de pain beurré et décida d'ouvrir son courrier en commençant par celui de Ginny.
"Cher Harry, j'espère que tes vacances se passe bien et que tes moldus te traite bien. Mes parents se demandent encore ci on doit revenir à Poudlard pour la rentrée après tout ce qui c'est passé pendant le tournoi des trois sorciers, nous avons du négocier durement pour convaincre maman de nous laisser revenir. Mes parents te salue ainsi que Fred et George, quant à Ron, hé bien... Toujours égal à lui-même, il est à côté de moi en ce moment et ce demande encore pourquoi je t'adresse la parole. Je crois qu'il n'a toujours pas digéré vos altercations passé. Mais bon c'est un idiot alors fait comme tu à toujours fait avec lui, ignore le. J'ai hâte que l'on se retrouve tous, en attendant je te souhaite de bonnes fin de vacances.
Ginny Weasley.''
Harry se remémoras alors sa première rencontre avec le frère de son amie.

Harry avait alors onze ans et avait réussi à se trouver une cabine de libre dans le Poudlard Express, il regardait le paysage défilé tout en laissant son esprit vagabonder quand la porte s'ouvrit à la volée, ce qui fit sursauter Harry, un garçon de son âge se tenait sur le pas de la porte, il était aussi roux qu'on puisse l'être et son visage était bourrer de tâches de rousseur, il se racla la gorge et dit.
- Je peu m'asseoir ici ? Les autres cabines sont pleines.
Harry fit un léger signe de tête et rapporta son attention sur le paysage. Le garçon vint s'asseoir juste en face de lui et le regarda avec insistance.
- Je m'appelle Ron, Ron Weasley.
Il aurait voulu lui dire tant mieux pour toi mais se força à se présenter à son tour.
- Harry. Avait-il simplement répondu sans même le regardé. Il pouvait sentir que le dénommé Ron se penchait vers lui l'air de rien et dirigeait son regard vers sa cicatrice. - Tu es Harry Potter ! S'exclama t'il sans perdre de vue la cicatrice, le dénommé Ron le regardait sans ciller, la bouche grande ouverte comme un enfant émerveillé devant les animaux de cirque.
'Le voyage va être long.' Pensa alors Harry.
C'est alors qu'une autre élève du nom d'Hermione Granger entra en leurs demandant si ils n'avaient pas vu un crapaud. Ron lui lança alors un regard glacial.
- Tu pourrais frapper avant d'entrer, la politesse c'est pas fait pour les chiens. Cracha t'il.
Harry se retenu à grande peine de lui envoyer un bon coup de savate dans le tibia.
La fille prit la mouche et lui renvoya un regard dégouté.
- Je suis vraiment désolée ci j'ai interrompu une conversation passionnante. Répondit-elle, grinçante.
Ron allait parler à nouveau quand Harry le coupa.
- Non, ne t'en fais pas tu n'as rien interrompu. Dit-il sans prêter attention à Ron.
La jeune fille tourna alors ces petits yeux noisettes vers lui, elle remarqua aussi la cicatrice mais ne ci attarda pas. '
- Hooo, tu es Harry Potter, j'ai lu plein de choses sur toi. Dit-elle, rayonnante. Je suis Hermione Granger, enchanté.

- C'est pas leviosA c'est leviOOSa. Caquetait Ron dans une mauvaise imitation d'Hermione en rigolant comme un idiot.
Harry avait vu Hermione partir en pleurant, ce qui l'énerva beaucoup, il lança à Ron un sort Bloque-jambes, ce dernier riait encore quand ces jambes se collèrent l'une contre l'autre, il s'étala de tout son long la tête dans la boue, attirant vers lui les moqueries.
Hermione entendu rapidement parlé de cette histoire, après quoi, elle et Harry devinrent rapidement de très bons amis.

Voilà pourquoi les deux jeunes sorciers ne s'entendait pas, sans oublier la jalousie que Ron éprouvait envers lui, Harry ne s'en portait que mieux, l'antipathie qu'il éprouvait pour Ron était quasiment égal à celle qu'il ressentait pour Malefoy.
Harry posa la lettre de Ginny et ouvrit celle de Luna, son amie de Serdaigle.
"Bonjour Harry, papa et moi sommes actuellement en Allemagne car il à reçu des informations comme quoi des grenouilles-lunaires aurais été aperçue là-bas, nous n'avons toujours pas réussi à en trouver mais papa ne désespère pas pour autant, en tout cas l'Allemagne est très jolie. Je t'écrivais cette lettre quand Edwige est arrivée, elle voulait surement être certaine que ma lettre te parvienne. Toi et les autres me manquer beaucoup et j'espère qu'on se retrouvera tous bientôt.
Affectueusement, Luna."
Harry souriait, la tendresse qu'il éprouvait pour son amie n'avais pas de prix, Luna avait un don que beaucoup d'élèves ne voyait pas, sa gentillesse et sa folie douce était communicative et avait le pouvoir de soigner bien des maux. Il finit par ouvrir la dernière lettre, celle d'Hermione.
"Salut Harry, merci encore pour ta dernière lettre, elle m'a fait vraiment plaisir. Comment se passe tes vacances dans ta famille ? J'espère qu'ils te traite bien, si ce n'est pas le cas ils auront affaires à moi. J'ai lu dans la Gazette du sorcier que le ministère de la magie comptais envoyer quelqu'un de chez eux pour les cours de défense contre les forces du mal, je dois bien admettre que cette histoire ne sens pas bon du tout, j'ai un mauvais pressentiment à ce sujet. Mes parents et moi sommes toujours au Brésil et je dois dire que c'est vraiment un beau pays. Tu savais que la plupart des sorciers d'ici vives dans la forêt amazonienne et que beaucoup d'entre eux utilise la magie sylvestre, se sont des gens passionnant, j'ai écrit une thèse sur leur histoire pour le professeur Binns. J'ai vraiment hâte que les cours reprennent, les devoirs d'été qu'ils nous ont donné à faire était beaucoup trop facile, j'espère que sa sera plus difficile cette année. Plus que deux semaines à tenir avant nos retrouvailles, tu me manques beaucoup...
Je t'embrasse, Hermione."
Harry s'allongea sur le banc de la grande salle et admira le ciel bleu à travers le plafond magique en pensant à ces amies, elles lui avaient écrit tout l'été et chacune de ces lettres était un baume pour le cœur, car à la solitude qu'il ressentait depuis plus d'un mois et demi s'ajoutait aussi sa mauvaise conscience, car il avait du mentir à ces amies sur la nature de ces vacances, toute les trois croyais en effet que Harry était chez son oncle et sa tante, il leur avait menti à la demande de Dumbledore, leur entraînement devait rester confidentiel.
Harry décida d'aller se changer les idées en faisant une sortie sur son balai, après tout il avait sa journée de libre et le ciel était magnifique.