Harry Potter et la baguette de sureau ( Proposez à l'adoption )

Chapitre 3: Virtus fraudulentus

Harry comptait les jours qui le séparait de ces amis et l'entraînement avec Dumbledore devenait de plus en plus ardu, les sortilèges complexe que ce dernier s'évertuait à apprendre à Harry était d'une grande complexité et demandait au jeune sorcier toute sa concentration, Dumbledore était très fière de son élève qui faisait des progrès à une vitesse fulgurante.
Lui et Dumbledore se faisait face, l'un et l'autre attendant son heure pour lancer une attaque.
- Nebulus. Chuchota Harry juste avant qu'un brouillard épais ne recouvre la salle d'entraînement.
Avec sa Dumbledore ne devrait pas pouvoir le détecté, même si cela mettait Harry dans la même situation, il eu alors une idée mais savait qu'il allait devoir agir rapidement, il lança le sortilège d'attraction sur le chapeau pointu de Dumbledore, le chapeau vola jusqu'à lui et aussitôt Harry dit à voix basse.
- Avensegium. Le chapeau repartirait alors vers son propriétaire et Harry pourrait alors lancer l'offensive.
Mais tout ne se passa pas comme prévu, la coiffe de Dumbledore tournoyait dans toute les directions comme ci le vieil homme se trouvait de partout à la fois, le jeune homme sentit un léger mouvement venant de sa droite et réagit aussitôt, lui et Dumbledore lancèrent un sort informuler au même moment, les rayons coloré se percutèrent avec une violence telle que le brouillard fut dissiper, chacun d'eux tenais bon, tout deux voulais la victoire, Harry mis plus de puissance dans son sortilège et eu la surprise de voir que Dumbledore reculait, Harry n'en revenait pas, cependant le vieux sorcier n'en était pas à son coup d'essai et mit également plus de puissance dans son sort et repris l'avantage, Harry sentit ces deux pieds décoller du sol et fut éjecté sur plusieurs mètres avant de retomber durement sur les fesses.
Le choc fut rude mais cela ne le découragea pas pour autant et se remit debout rapidement, le combat n'était pas terminé.
Les yeux pétillants de malice, Dumbledore lui dit.
- Ce brouillard était une bonne idée mais comme tu as pu le constater, se n'étais pas suffisant pour m'avoir.
Harry lui renvoya son sourire.
- Pourquoi n'avez-vous pas dissiper le brouillard avec le contre-sort? Demanda t'il à son professeur.
- Parce que c'était amusant. Répondit joyeusement ce dernier.
Ils continuèrent ainsi leurs duel durant d'arrancente heure jusqu'à ce que Harry déclare forfait, épuisé.
Ils étaient à présent dans le bureau de Dumbledore et buvait le thé en discutant.
- Dit moi Harry, as-tu entendu parler de cette histoire au sujet du futur professeur qui enseignera la défense contre les forces du mal ? Demanda Dumbledore.
Harry acquiesça avant de répondre.
- Vous voulez parler de cette personne du ministère monsieur ?
- Il s'agit de Dolores Ombrage, elle occupe actuellement le poste de sous secrétaire d'État et le ministère... M'oblige disons à la prendre parmi nous. Dit Dumbledore, son regard ne pétillait plus à présent.
Harry pouvait y lire beaucoup de crainte. Dumbledore repris.
- Cette femme tout comme Fudge te crains Harry, depuis ce qui c'est passé pendant le tournoi. Le ministre nous l'a envoyé uniquement pour nous espionné car il croit que je veux le renverser afin de prendre sa place.
Harry n'en croyait pas ces oreilles, Fudge était décidément bien stupide, tout le monde savait que Dumbledore ne voudrait quitter son école pour rien au monde.
- Il faudra te montrer très prudent en sa présence Harry, le ministère ne cherche pas seulement à te discridités aux yeux de tous, ils savent à quel point tu m'es dévoué et ça ne jouera pas en ta faveur.
- Quelqu'un qui vint frapper à la porte, interrompant leur conversation, c'était Rogue, une des personnes que Harry adorait le plus à Poudlard, après les scroutts à pétards et touffu, le chien à trois têtes de Agrid.
Il traversa la pièce non sans jeté un regard venimeux à Harry et vint poser sur le bureau une grande fiole rempli d'un contenu peu engageant.
- Merci Severus. Dit Dumbledore avant de tourner son regard vers Harry. Virtus fraudulentus, ceci Harry est une potion que tu devras absolument boire tout les matins dès la rentrée. Devant le regard interrogateur de son protégé, Dumbledore précisa. Cette potion a pour but de cacher ta puissance magique.
Harry comprenait de moins en moins.
- Pourquoi la cacher monsieur ? 
- Sais-tu pourquoi le ministre me craint Harry? Ce dernier fit non de la tête. Beaucoup diront que c'est à cause de l'appui de mes confrères du magenmagot mais se n'est pas que ça, ci Fudge me craint autant c'est parce que je suis puissant, et toi Harry, même si tu ne le maîtrise pas encore, ton pouvoir est égal voir supérieur au mien et tu peux être certain que sa ne plaira pas au ministère. Tu vois où je veux en venir j'imagine ?
Harry déglutit, il savait très bien tout ce que ça voulait dire.
- Je comprends monsieur. Répondit-il alors.
Rogue se racla la gorge comme pour rappeler qu'il était là et dit.
- Sachez monsieur Potter que cette potion ne fera pas que cacher votre pouvoir, elle a comme effet secondaire de la faire diminuer également, bien évidemment l'effet sera temporaire.
Harry compris au ton mielleusement écoeurant de Rogue, qu'il en était très heureux.
Avant de le congédié, Dumbledore assura à Harry que tout était pour le mieux, mais ce dernier n'étais pas sur d'être d'accord.
Il passa le reste de la journée à la réserve de la bibliothèque à feuilleter de vieux grimoire normalement inaccessible aux élèves sauf autorisation exceptionnelle, mais Dumbledore avait accordé à Harry le droit d'apprendre tout ce qu'il voulait mais seulement durant l'été. Il y avait beaucoup de livres qui restait indéchiffrable mais il ne doutait pas du talent d'Hermione pour y remédier, il avait alors fait de nombreuses copies des livres de la réserve grâce à un sortilège et les cachait dans sa malle dans laquelle il avait jeté un sort d'extension pour faire tenir les nombreux grimoires qui commençait à s'entasser à l'intérieur.
Deux jours plus tard, Harry rentra de son entraînement, une fois arrivé dans sa chambre, il se mit en pyjama et rajouta une croix sur le calendrier, il fut heureux de constater que c'était la dernière. Demain c'est la rentrée et il allait retrouver tous ces amis.