Ce n'est qu'un aurevoir

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- Maman, Papa vous pouvez faire une chose pour moi ?

- Bien sûr chérie.

- On peut faire comme si il ne s'était rien passer ? Comme si je n'avais pas à partir ? Comme si je ne savais pas que vous m'avez adopter ?

- Si ça peut te faire plaisir...

- Alors faisons la fête !

Oui je suis une hypocrite. Mais je ne veux pas que le dernier visage qu'ils aient de moi soit la tristesse. Je veux juste passer une belle journée avec mes parents... Enfin parents adoptifs...

- Joyeux Anniversaire !

- Oh mon Dieu ! Il est magnifique ! Comment avez-vous fais pour vous en procurez un !

- Je l'ai trouver au chemin de traverse. Alors qu'en penses tu ?

- Papa ! Merci milles fois ! J'ai toujours voulu en avoir un.

Un magnifique bébé fléreur gris bleu tachetée de noirs se tenait fièrement dans une boîte en carton.

- Mais ! Comment as-tu fais pour le ramener dans le monde des moldus ! Il faut un permis et et–

- Du calme chérie j'ai tout réglé ne t'en fais pas.

- Alors comment vas-tu l'appeler ?

- Mh.

Je regardais le magnifique bébé fléreur dans sa boite. Il semblait fier et sur de lui. Son pelage argenté brillait à la lumière couchante du soleil. Ses beaux yeux bleus étaient remplis de malice. On se fixa. Je ne sais pas combien de temps. Quelques secondes ? Minutes ? Heures ? Je pose alors délicatement ma main sur la tête de celui-ci. Il ferma la yeux et ronronna. Il était tellement mignon.

- Félix. Je le pris dans mes mains. Alors tu aimes ce prénom ?

Il ronronna de plus belle comme pour dire oui. Je le serre dans mes bras en murmurant un "merci papa"

- J'ai fais un gâteau ! Dit ma mère en agitant les bras. Elle rentra dans la cuisine pour en sortir un magnifique gâteau. Un fraisier ton préféré.

- Oh merci ! Il est magnifique.

On profita d'un moment rien que tous les trois enfin 4 avec Félix. Il était 18 heures quand cette idée me vint à l'esprit. Je monte rapidement dans ma chambre et sort une feuille. J'écris alors les mots suivant:

- Les amis. Je vous aime. Vous allez
Me manquer mais je n'ai pas le choix de partir. Bonne chance au collège sans moi et n'oubliez pas de lire vos livres des cours, je ne serais plus là pour vous passez les résumés. J'espère qu'on se reverra un jour. Votre ami Aria.

Je redescend et donne ma lettre à ma mère.

- Tu pourras la donner à mes amis ?

- Évidemment chérie.

Tout se passa bien mais 25 minutes après tout le monde étaient tendu. Narcissa Malefoy allait arriver dans 5 minutes. J'avais une énorme boule au ventre. Mes valises étaient descendus. Félix était lové sur mes jambes et je le caresser d'une main distraite en jettant des regards à la porte d'entrée.

Je ne peux toujours pas croire ce qu'il m'arrive. Toute ma vie... J'ai été adopté alors, et je vais vivre avec une autre famille...qui est supposé être la mienne..

18h30 pile.
La porte sonna.
C'était elle.
Je prend mon bébé fléreur et le pose sur le canapé. Mes parents adoptifs se dirigeaient vers la porte suivit de moi. Je l'ouvre.

- Tu es prête ?

- Oui euh... Mère.

Narcissa me fit un sourire bienveillant qui me mit tout de suite en confiance.

- Merci infiniment d'avoir garder ma fille.

Elle donna à mes parents un sac remplis de gallions.

- C'est... C'est énorme ! Nous ne pouvons pas accepter !

- Oh si vous allez accepté. Vous ne savez pas comment j'ai due harceler mon mari pour qu'il accepte. Je vous en aurez donner beaucoup plus si ça ne tenais qu'a moi.

Ma mère au bord des larmes lui sourit. Ce sourire qui te met tout de suite de bonne humeur même si tu venait de passer la pire journée de ta vie. Il allait me manquer.

- Bon allons-y.

- Je vais prendre mes bagages.

- Oh non nous avons tous qu'il faut au manoir et mon mari et bien n'apprécie pas vraiment les choses moldus. Prend seulement les choses qui te tiennent à cœur.

Alors je prend juste une petite boite. Dedans il y avait mon bracelet d'amitié, qu'on partageait ensemble. Tout mes autres amis avaient le même. C'était une promesse de toujours rester ami.

- Vous allez me manquez. Oh et enfaite je peux ramener mon bébé fléreur ?

- Je n'y vois pas d'inconvénients.

Je cours dans mon salon le prend et ressort pour prendre la main de ma vrai mère. Mes parents adoptifs pleurais.

- Ce n'est qu'un aurevoir. Dis-je.

Et on transplana. 

Aria MalefoyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant